Les meilleurs films de 2019 selon Jabo

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D'un mythe à un autre, une épopée poétique en forme de huis-clos émotionnel qui fera date.

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La conclusion de la carrière de Tarantino, qui nous montre que son cinéma fait bien plus que cumuler les codes de la série B. Cette ode à la cinéphilie est aussi belle que désespérée.

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Un voyage vertical sur l'échelle sociale structurellement irréprochable. Comment un objet aussi élaboré peut-il être si humain ? Seul Bong Joon-ho a la réponse.

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Simple mais efficace, la perle de Jérémy Clapin n'en fait jamais trop, et fait preuve d'une douceur (aidée par la sublime BO) qui va droit au cœur.

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Pur OVNI réalisé pour 3 bouchées de pain par une bande d'étudiants japonais, Ne Coupez pas ! prouve qu'avec une idée de génie, une ambition visuelle certaine et surtout des couilles en béton armé, on peut marquer l'histoire du cinéma.

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Gigantesque trip hallucinatoire de 2h30, c'est une véritable expérience qui est proposée ici, dans tous les sens du terme. Vivement que je me procure le director's cut.

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L'incroyable ouverture de Wargames étalée sur presque 2 heures, c'est-à-dire un brûlot épique sur la dissuasion nucléaire, et la guerre en général.

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Un vrai pur film fantastique qui traite de la différence sans prendre la moindre pincette.

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Les 40 premières minutes sont les meilleurs moments d'action américains depuis Fury Road. Et le reste est cool aussi.

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Le génie de Shyamalan réside probablement dans la façon dont il percoit et agence sa propre filmographie. En ça, Glass devient un pilier de son oeuvre.

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Sans surprise, Imaishi nous sort le film d'animation le plus barré de l'année, avec une scène d'intro à couper le souffle.

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Clairement l'une des propositions de cinéma de genre français les plus osées de ces derniers temps, un film fascinant par son jusqu'en-boutisme. Soutenez-les et achetez le super blu-ray qui vient de sortir.

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Ils sont beaucoup à attaquer la société américaine, rares à le faire avec un tel panache et surtout un humour aussi incisif.

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Pixar a su faire du "film de trop" un long-métrage indispensable qui étend les thématiques de la trilogie sans oublier bien sûr de vérifier le fonctionnement de nos systèmes lacrymaux.

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Non seulement c'est un film social qui sait de quoi il parle, mais c'est aussi une vraie oeuvre de cinéma, modulant son discours pour étayer son propos.

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Un maxi-best-of Sono Sion décortiquant une fois de plus les mécaniques de la domination chez l'être humain, en allant très très loin.

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Pour moi l'un des meilleurs films de Dupieux, et probablement le plus noir. Il n'est plus question d'une réalité en décalage, mais d'un homme seul dans sa folie. Forcément, Haenel et Dujardin défoncent tout.

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Même sans être au courant des évolutions de la franchise, comment ne pas profiter de ce dantesque spectacle visuel ? C'est un prologue de 40 minutes et une baston de 1 heure. Que demande le peuple ?

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Aja n'est jamais meilleur que quand il s'attelle à la confection d'une série B honnête. Crawl fait vraiment plaisir.

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L'année a été pauvre en bons blockbusters. Heureusement que Cameron et Rodriguez étaient là pour sauver un peu les meubles. Pitié, on veut la suite.

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Contrepied total des néo-giallo sensoriels type Cattet et Forzani, In Fabric utilise le fétichisme transalpin pour parler de son temps, voire plus encore.

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Tout est dans le titre.

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Le prototype de la grosse machine hollywoodienne qui utilise son académisme pour doser son spectacle. Si tout le monde imitait Mangold, les multiplexes se porteraient très bien.

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Un postulat de série B et une exécution à la hauteur pour une critique acide et sanglante du Brésil 2.0. Et en plus, il y a Udo Kier !

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A travers un fait divers qui pourrait presque préter à sourire, Olivier Abbou met en scène une escalade assez fascinante, pessimiste, brutale mais indéniablement pertinente.

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Le plus gros feel-good movie de l'année est indien. Mieux, il est sur Netflix. A partir de là, il n'y a plus d'excuses.

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Ca fait quoi de vieillir ? Almodovar le sait bien et il le raconte avec une dextérité qui force le respect.

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Caster Zac Efron en Ted Bundy n'est pas le seul coup de génie de ce biopic qui évite soigneusement tous les pièges posés par son sujet.

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Certes, on perd un peu de la simplicité qui faisait le charme du premier film, mais encore une fois, chaque plan regorge d'idées de mise en scène renouvelant sans condition mon amour pour les studios Aardman.