Les meilleurs films de 2020 selon Cubick

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Une maitrise de bout en bout! Je m'attendais à aimer, je m'attendais à voir cette fameuse technique... mais il se trouve que mes attentes ont été dépassées! En effet, le changement de décors m'a impressionné alors que le l'histoire est présentée en plan séquence. La maitrise de la caméra était excellente, comme le moment où la caméra fait un travelling par dessus la boue pendant que les soldats contournent la flaque.

Sam Mendes nous propose une véritable histoire, une expérience cinématographique incroyable accompagnée d'une forte intensité émotionnelle. Il nous plonge dans un film nuancé, puissant de part sa mise en scène mais également ses symboliques, démiurges d'émotions.

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Un moment incroyable au cinéma qui m'a emporté, transcendé. Le film joue avec nos sentiments et s'en amuse, je n'ai pas arrêté de chialer par moment puis le film se calmait, je me calmait. Et il recommençait à nouveau, à toucher mes émotions. Cette histoire est magnifique et j'ai été d'autant plus emporté par cette histoire que celle de Your Name qui était également émouvante.

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Un film qui s'inscrit comme la suite directe de l'animé, lui même repris en deux films que je n'ai pas vu. En revanche, la suite est nécessaire de voir en film car elle n'est malheureusement pas sous forme d'animé.

Le film reste dans l'esprit de la série et j'en profite pour conseiller fortement cette fabuleuse série, bien loin des antipodes des animés trop mignons avec un monde sombre toujours aussi violent et perturbant.

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Lire ma critique: https://www.senscritique.com/film/Drunk/critique/222728540

Thomas Vinterberg fait le choix de nous montrer un prof en action seulement lors de cours peu instructifs, on se demande comment ils peuvent réussir aux examens, autant pour moi; tout le monde se connaît et les profs semblent pistonner leurs élèves... c'est du moins l'image que j'en ai !

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Voir ma critique:
https://www.senscritique.com/film/Tenet/critique/195514367

Un film à revoir pour se qui découle de l'impact émotionnel, en revanche les scènes d'action et sont concept sont admirablement mis en scène.

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Voici le nouveau film Pixar qui aurait acquit un plus grand impact dans ma petite âme au cinéma, j'en suis convaincu. Malgré sa position assez haute du classement, il s'agit d'un film à revoir car il détient beaucoup de détails, à en donner l'illusion que le film avance beaucoup trop vite en enchainant sans arrêt dans l'histoire.

En outre cet aspect qui demande vérification pour ma part, le long métrage est ingénieux dans son animation, entre vision très réaliste (scène de jazz qui ressemble à de vrais humains avec un travail des lumières impeccable) et une vision plus abstraite qui s'autorise à transmettre des moments plus expérimentaux visuellement. Les personnages sont tous très bons et évoluent dans une musique également bien menée.

Risque de spoil:
Le message est assez déséquilibré par moment, l'homme se retrouve à quelques secondes de réaliser son rêve, c'est pourquoi il se battra pour revenir dans son monde afin de pouvoir l'effectuer. On peut alors noter un message moralisateur hors de ses rails, le fait qu'il revienne à sa vie d'avant mais qu'il y prenne goût pour son rêve et pas seulement sa vie antérieure pour aider une élève/des élèves, aimer la vie pour chaque moment avec le coiffeur comme avec sa mère. Ensuite, on peut parler du message qui est existentiel et habituel, c'est-à-dire que l'on a pas de surprise au niveau du fait que le badge soit une accréditation pour pouvoir vivre sur terre, néanmoins cela n'enlève pas la force du message qui a pu me faire réaliser deux moments d'émotions. Finalement, nous pouvons parler de la fin, qui est contestable comme bien écrite, le fait d'aider une vie à exister tout en acceptant et donnant sa vie réellement aurait été assez couillu mais notre personnage à le droit à une rédemption. Cela n'est pas un problème en soi, car il à tout de même permis d'aider 22 qui n'avait jamais réussi jusqu'à présent à apprécier la terre, son exploit est donc récompensé légitimement. Je regrette peut être la naissance d'une vie avec une belle musique, les yeux d'un bébé face caméra puis le film qui se termine.

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Avec ce film, Albert Dupontel dresse sa vision de la société, une vision qui lui est chère dans chacun de ses films. Ce regard est toujours pertinent car il est malheureusement réel, tout le monde est con car la société nous y contraint. C’est ainsi qu’il dévoile une réalisation et une direction d’acteur toujours aussi maitrisés. Le point culminant dans la panoplie d’acteurs se trouvant être la fabuleuse Virginie Efira, touchante dans une « grosse » comédie. Une comédie ? Dans la salle, 70% des personnes devaient rire à grande exclamation, peut être gros con sur les bords, j’ai très peu rigolé face à ces moments soit disant drôles. Mais à défaut de rire énormément, j’ai largement plus pleuré. Pas des vagues de larmes bien sûr, ne rentrons pas dans l’hyperbole, mais le film est touchant, poignant, vrai… Et alors je me suis demandé pourquoi dans une scène où mes yeux pétillaient d’humidité, d’autres rigolaient. Parce que j’y voyais le caractère tristement vrai et eux, le pathétique qui leur était destiné. Ainsi, on y revient, tout le monde est con, même moi…

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Finalement je le place dans le top 2020 car il est comme une sortie française de 2020. Ce long métrage est bouleversant, la PLS est recommandée.
J'ai en revanche un souvenir un peu plus mitigé de la fin, mais cela reste globalement un très bon film d'animation !

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Voici une très belle surprise. J'ai adoré ce film, une ode au voyage, à la simplicité et au bonheur. #Jesuislà apporte de la joie de vivre, une leçon de la vie à travers Alain Chabat qui partage sur les réseaux sociaux, ses moments de partage avec des personnes qu'il rencontre après son voyage.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce film, une surprise pour un film dont je n'attendais pas grand chose, sauf Alain Chabat.

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J'ai beaucoup aimé ce film, très retenu dans sa façon de filmer afin de coller d'avantage au cadre du procès. Les acteurs presque tous impressionnants: mention spéciale à Anaïs Demoustier, Annie Mercier et la fille au bracelet, Melissa Guers. Bref, c'est un jugement captivant que je recommande vivement.

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"Les gens ne vont plus au cinéma..."
Une belle surprise, certes il y avait le nom de Fincher, mais je dois avouer que l'histoire ne m'enthousiasmait guère, j'avais du mal à en trouver un potentiel intérêt. Bien entendu la réalisation est impeccable, on a l'impression de regarder un vieux film avec des codes qui sont repris, le noir et blanc fonde une esthétique parfaite. Gary Oldman est puissant dans son rôle.
Et finalement l'histoire est très intéressante, on ne s'ennuie pas une seconde, toutes les scènes s'enchainent parfaitement illustrant une véritable maitrise du rythme. On assiste également à des thématiques qui sont mises sur la table, embrassant alors notre époque actuelle avec une écriture parfaite.

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Une belle surprise, je ne m'attendais pas à autant apprécier. C'est fort, c'est drôle, c'est bien écrit.

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Quel film! Voici un hymne à l'humanité, à la véritable justice.
Touchant par sa réalisation et ses acteurs très convaincants, Just Mercy se présente comme un film puissant et propose encore un film de plus dans la lutte contre le racisme, mais plus que ça; il montre la vision d'une justice
manipulée et influencée par des hommes qui s’érigent en tant que parangon du pouvoir. Comme bien des films, je dois l'avouer, il prône la reconnaissance et le respect des droits des Hommes mais il le fait de façon crédible et s'inscrit dans un film fort qui se détache des récits habituels malgré sa conformité, plus qu'importante lorsque l'on parle de conformité de droit.
Dans la même veine et sans doute plus puissant, je conseille fortement la mini-série "When They See Us" composée de quatre épisodes.

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J'ai été assez surpris du film après avoir entendu des nombreuses critiques négatives. Mais je dois admettre que j'ai passé un bon moment. Cette réflexion avec les frontières culturelles, la vue du barbare (celui qui ne parle pas la même langue) qui se transforme au mot barbare (dans le sens d'ennemi) par un manque de connaissance, de compréhension de la part des autorités. Les trois acteurs en tête d'affiche sont très convainquants avec bien sûr, un Johnny Depp froid et sombre dans son rôle de Colonel.

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Le réduire simplement à un film qui fait pleurer est dérisoire.
A t-on perdu le goût du cinéma et sommes nous devenus des juges sévères qui attendent seulement de la haute gastronomie cinématographique?
Ce film dégage un charme, déjà avec la langue qui créait un voyage hors de nos habitudes comme dans l'exemple des films coréens. Les acteurs sont très bons, touchants, la musique est bien, l'histoire grave et joyeuse est maitrisée.

En voyant ce film, je vois le passage d'un film amateur à un niveau supérieur avec des maitrises de plan, de mise en scène malgré quelques éléments à retravailler. C'est pourquoi je constate que nous sommes devenus sévères, pourquoi un film qui fait pleurer devrait obligatoirement être considéré comme une œuvre qui force seulement le spectateur en oubliant le reste du film?
Pourquoi nous mettons en valeur les défauts en oubliant les qualités?
Parce que c'est une habitude que nous avons pris, des boulimiques de grand cinéma que nous sommes qui jugeons même les films qui essayent, nous jugeons également négativement pour la plupart car il y a eu une vague de c'est un "chef-d’œuvre", il fait pleurer donc c'est forcément un film pour ignorant, pour ceux qui n'ont pas l'habitude de savourer du cinéma mais seulement les fast-food "made in Netflix"

Personnellement, pour avoir une réputation pour pleurer facilement, j'ai pleurer un peu vers le début du film car j'ai vu où le film voulait m'amener, et ma capacité à voir l'avenir a ainsi fait le travail. Donc je ne pourrais pas tellement juger son caractère larmoyant car les scènes où tout le monde à pleurer, je n'ai pas pleurer. Bref, j'ai beaucoup aimer ce film, j'avais peur au départ car on disait que ça ressemblait à la ligne verte, mais je ne trouve pas tellement (les thèmes qui se rejoignent étant: le système carcéral et les larmes provoquées en quantité hyperboliques par les réseaux).
Encore un film qui divise...

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Pas mal de surprises au niveau des films français. Celui là est rafraîchissant, rempli de bonne humeur. Une histoire sympathique qui porte la joie de vivre.

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Une surprise pour le registre donné, avec un film d'action prenant de bout en bout, les actions s'enchaînent avec précision. Intéressant de voir Ramzy dans ce style de personnage, où il arrive à être convainquant.
Les chorégraphies de combat ou de course poursuite sont également maîtrisées.

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Très cool, du très bon divertissement avec de la vraie réalisation.
Des scènes d'actions, drôles, badass qui rendent le récit agréable.
Je suis triste sur la fin qui à mon gout dispose d'une plus grande rapidité dans l'histoire, avec des ellipses qui m'ont laissé interrogatif vis à vis de la compréhension de ce film. Mattwew est très classe, Colin est très drôle.

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J'ai beaucoup apprécié ce film qui remet en lumière l'oppression qu'a exercé Franco lors de son régime dictatorial de 1939 à 1975. On y voit les horreurs commises, les décisions politiques ainsi que le rapport à la délation chez les artistes, en l’occurrence l'écrivain Miguel de Unamuno (en passant, l'acteur qui l'incarne, Karra Elejalde, le fait à merveille).
Pour continuer, dans les acteurs, j'aime beaucoup le traitement du Général Franco joué par Santi Prego.
Brièvement, Amenábar signe un bon film historique.

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Un documentaire captivant, toujours important à montrer pour faire évoluer les esprits les plus réfractaires. Mais il ne peut pas relever ce défi car malheureusement j'ai le sentiment que la voix de Sasha est délaissée par rapport au regard des parents, il manque sûrement un questionnement plus global autour de son identité propre où elle puisse incarner sa parole devant la caméra sans appuis parentaux ou professionnels, qu'elle ouvre son cœur seule pour témoigner son identité. En outre, cet aspect qui peut être discutable, nous assistons à des moments de cinéma qui mettent en scène les multiples émotions qui sont liées à ce combat pour l'acceptation, dont Sasha heureuse de pouvoir danser hors des "normes" de la société...

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Heil Hitler!
Taika Waititi est taré! Un deux trois, croix gammée!
Le film ne s'inscrit pas seulement en tant que comédie et il arrive à changer de registre et c'est très bien. Certaines blagues sont très drôles et le style très coloré, rappelant le style de Wes Anderson est maitrisé.

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Moins fanatique des "histoires vraies", on peut dire que c'est maitrisé, les acteurs sont bons (mention pour Sam Rockwell). Je ne retiendrai pas forcement ce film de Clint Eastwood mais il est tout de même bien.

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Un film très spécial, très particulier qui s'ancre dans un récit horrifique avec des scènes vraiment dérangeantes. Malgré cette étrangeté, il y a une véritable atmosphère qui se dégage de ce film avec un concept fort intéressant. Pas fan habituellement des films de ce genre, celui ci dégage une mise en scène soignée, qui nous livre quelques moments marquants.
Une certaine philosophie en découle dans des scènes qui prennent leur temps avec une fin qui impose son message sans en montrer trop.

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Voir ma critique https://www.senscritique.com/film/Kubrick_par_Kubrick/critique/217841896

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Un documentaire assez intéressant, bizarrement; on s'attache au narrateur qui raconte son histoire par rapport à la tournée d'Antoine, qui semblait au départ plutôt mou et différent pour un gars qui tourne avec un rappeur/chanteur mais qui donne son charme au documentaire.
Personnellement j'ai ressenti de la nostalgie alors que je n'étais pas avec eux sur les lieux des différentes tournées.

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Découverte de ce personnage.
J'adore, c'est tellement con et bien écrit. Je me suis bien marré, moins que le premier en revanche.

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Le caractère de ce film est assez paradoxal, d'un côté on est repoussé par le design et de l'autre toute l'animation est très bien maitrisée. L'univers qui nous est présenté est détaillé et maitrisé avec quelques blagues qui passent bien. J'aime beaucoup le traitement des licornes =D
La relation entre ces deux frères est touchante et l'aventure devient assez distrayante. Finalement, si on suit son instinct, on a un apriori avec ce film avant même de le voir, je ne sais pas si c'est le design des elfes bleus, si c'est la ressemblance avec notre monde mais une chose est sure, on s'attache aux personnages et ces designs ne me posent pas de problèmes négativement (même si ils manquent peut être d'une touche de magie en plus)

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Pourquoi il n'est pas plus long!
Je m'estime déjà heureux d'avoir vu le moyen métrage au cinéma contre un simple court métrage qui était prévu précédemment.
Pas tellement fan de la discussion du début entre Charlotte et Béatrice, néanmoins; le reste se trouve intéressant et bien chorégraphié.

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J'ai bien aimé ce film, prenant dans sa mise en scène et son esthétisme. L'histoire est intéressante, je peux y voir des parallèles avec "Mid'90" ou encore "Queen and Slim" sauf qu'elle m'a bien plus touchée que ces derniers.

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Mark Ruffalo, Anne Hathaway et Tim Robbins dans le même film, je suis ravi.
Le film propose un biopic assez intéressant et rend compte des faits historiques avec minutie. Je dirai même plus!
Il rend compte des faits historiques avec minutie!