Les meilleurs films de 2024 selon Adrast

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7,5 tendant tendanciellement vers une baisse du taux de profit par le 7,77

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Les répliques c'est toujours régulièrement un modèle de connerie à s'taper la tête contre les murs mais bordel grâce à ce minimalisme brutassier qu'est-ce que c'est rythmé... On ne s'ennuie jamais, tout est maîtrisé de bord à bord (ah), tout s'enchaîne dans une fluidité que même la mécanique des fluides jalouse. Certes au début on s'demande si le film n'aurait pas mieux fait de s'appeler "Démentus" plutôt que "Furiosa", mais au bout d'une heure, à l'instant même où Furiosa (le personnage) acquière ses lettres de noblesse - soit à partir de la scène du camion tout rutilant - ça prend vraiment son envol pour ne plus jamais atterrir.

Le numérique est pas toujours parfait [oh bordel ces 3 clébards sortis de leur cage, on s'croirait dans Le Hobbit] mais c'est le prix à payer pour tutoyer sa mère-grand la Majesté.

Dans la bande-son occasionnellement orientalisante on pense évidemment à l'objectif Thunes... Euuuuuuuuuuuuuh... à l'objectif Dune de Villeneuve, le désert Australien l'évoquant forcément.

Le générique de fin ringardise Fury Road et lui fout comme il se doit 10 ans dans la gueule [eh oui, les rides sur ton front te disent la même chose]. D'ailleurs à s'demander si le père Millère [non non pas Gérard lui il baise pas ses clientes sous hypnose [décidément Gérard c'est comme Jean-Marie c'est cancel-cancer]] n'a pas fait exprès de prendre un master cinéma d'origine un brin déguolasse pour creuser le fossé avec le chatoiement de Furiosa.

Bref, la meilleure adaptation au cinéma de Fallout existe déjà : elle s'appelle Furiosa.

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7,5

À revoir la salle vide ou en compagnie de dépressifs qui ont désappris à rire et s'y tiennent depuis 1945

https://catabase.wordpress.com/2024/11/12/the-substance/

EDIT (Mitchell) : revu avec des chômeurs/retraités à 2 doigts d'se flinguer et oh miracle aucun rire dans la salle, le calme le plus plat et cérémonial. Alléluia j'ai pu goûter comme il faut, c'est moins impressionnant que la première fois mais on y décèle aussi des choses et des réflexions éludées la première fois. La preuve que c'est pas si superficiel. Et surtout on s'rend compte que c'est une performance de film muet, ou presque, la narration se faisant largement de manière passive. L'économie d'mots, merci de ne pas nous soûler inutilement.

Par contre bon... J'suis toujours dubitatif sur l'prix d'la critique à Cannes pour son scénario. "Mise en scène" oui, scénario bof bof, c'est simplet.

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Pourquoi tout l'monde s'en fout alors qu'c'est l'meilleur film d'animation depuis perpét' et que tout l'monde préfère s'branler sur un film de chat pas cré cré bien fait ?

C'est la toxoplasmose ça. Moi j'ai l'brain rot, vous vous êtes cat brained.

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Wallez, encore un film mal-aimé. Oui il est un peu abscons, conceptuel à l'extrême, cloisonné, renfermé sur lui-même tel un plouc qui vote lézestrèèèèmmmmmmm, mais c'est une bonne grosse tranche de noirceur bizarroïde qui si j'me souviens bien renferme plusieurs films en 1. Tes poupées russes sur ta canebière, et mon envie d'le revoir s'amère.

Et si j'dis bien il contenait du puérile et du péremptoire et ça j'aime bien je valide car cetteuh vie n'a rien de pétain de sens, car rien n'a de sens, plus rien ne vaaaaaaaaaaaaa...

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7,5+

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On n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer tant il se passe de choses [mon smartphone est resté dans son logement en bout d'accoudoir], mais justement j'aurais préféré que des moments clés durent un peu plus longtemps pour marquer le coup. Un équilibre difficile à trouver entre le besoin de faire avancer le schmilblick et la nécessité de battre les oeufs en neige en faisant lentement monter la tension puis en figeant l'instant climax pour faire de beaux moments de cinéma. Alors je demande pas forcément de ralenti non plus, on n'est pas dans Matrix hein, mais c'est bien dommage que des rebondissements aient un goût de vite expédié, d'anodin au même titre qu'une scène de dialogue entre disciples. Un évènement marquant ou une bonne joute verbale est vite chassée par un truc osef comme l'apprentissage de ceci ou cela ou la pérégrination en groupe dans le désert du terter.

J'ai toujours du mal avec la DA qui est moins jaune que sur ma télé, plus conforme à l'orange et à la faible luminosité que j'avais dans mes souvenirs du 1 au ciné, mais surtout qui maintenant présente des environnements blafards pas très fameux, pour coller à l'esthétique des Harkonnen, et pour le coup ça nous renvoie aux heures sombres de Prometheus, que tout l'monde a boudé alors que c'était pas 10 fois pire. Ou à l'esthétique laiteuse de l'environnement liquoreux des aliens de The Arrival, qu'il faut que je revoie. Enfin bon là c'est vrai qu'en termes de consistance de l'univers et d'investissement sonnant et trébuchant on est mieux servi qu'avec Prometheus faut bien l'avouer.

Après bon sur la cohérence on peut tiquer aussi, quand on voit qu'ils peuvent défoncer de grands vaisseaux de minage avec des canons laser bien à distance, on se demande parfois pourquoi cette débauche d'action au sol de soldats-résistants-moudjaïdines qualifiés de "rats" donc de "nuisibles" par les gentils FDO du coin. Surtout quand on apprend après que le Paulo Atréido dispose de par son héritage familial d'un arsenal apte à décorner les boeufs de 1000 planètes aux alentours. Mais bon c'est pour le spectacle ma bonne dame.

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6,5

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6,5

Un peu longuet mais le soin apporté au visuel et à l'atmosphère glauque aspirante 8mm compense l'enquête tendanciellement planplan. Nico la Cage nous affuble de scènes potentiellement cultes qui restent logées dans un coin de la tête parce qu'au bord du précipice du cringe et qu'elles touchent partiellement notre déliquescence ["c'est la déca-danse haaaaannnn"] mentale [eh vas-y Longlegs c'est moi dans 30 ans si j'suis toujours là inch'Allah hamdoulilah]. La pire scène étant celle de l'interrogatoire évidemment, où c'est dur de ne pas sous-rire tellement c'est outrancier. À s'demander comment il arrive à maintenir sa santé mentale avec ce genre de rôles invasifs le Nico.

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J'ai un problème avec la croissance hyper rapide des aliens et apparentés, mais dans l'ensemble c'est une bonne livraison et j'ai aimé l'interprétation de l'androïde aux traits de personnalité autistiques [oh non je vois déjà les bacs +5 en psycho me dire que non l'autisme c'est pas ça d'abord, et tatati et tatatère], ce qui me fait espérer une suite qui semble être au programme.

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6,5

A Scanner Darkly chez les paysous ukrainiens ou je sais pu d'où. J'ai acheté le blu-ray paske j'fais comme si j'avais encore des thunes mais ça y est c'est la banqueroute.

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C'est rythmé, c'est animé, c'est bougeant bougeant mais jamais complaisant, toujours avec un ton satirique qui tire des caricatures à grands traits, mais finalement des caricatures pas si éloignées qu'ça d'la réalité. "On vit en idiocratie han" [moi j'peux pas dire ça j'me trouve bien assez con comme ça, et j'fais pas grand-chose pour y remédier].

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7,5

Un des meilleurs thrillers FR de ces dernières années. En grande partie nocturne, forcément.

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Coen sans les Coen.

Bon j'étais pas esclaffé comme pépé qui tapait du pied [eh c'est une vraie maladie post-covid ça, j'vais vous faire passer l'envie de danser l'rock assis à l'équerre à vous la réserve de voix des marcheurs renaissants [des white walkers quoi, et même pas Texas Rangers]] et parlait à gueule déployée à sa mémère, MAIS j'ai apprécié la truculence générale de l'essai, parfois trop facile dans l'humour concon, principalement à cause du wannabe détective totalement délu (comme diraient les zoomères).

Le genre de truc que j'aimerais conseiller à un ami de droite [ça s'compte sur les doigts d'une main cisaillée à la tondeuse à gazon [mais bon j'compte pas ceux qui ont pas encore fait leur coming out aussi...]] allergique au ciné français [pourtant v'là-ti pas qu'ça suce la VF, en long, en large, et en travers chez la classe populo-moyenne qui crâne sur Facebook en montrant ses derniers 4K tout beaux tout frais émoulés mais en râlant qu'la VF est pas en 5.1 Supra HD mon cul Dolby Atmos de Rastapopoulos, ou alors qu'la VF est pas assez bien d'chez nous mais VFQ]. Parce que oui bon forcément y'a des relents (Garros) du pays d'la liberté d's'armer et de voisin-vigilanter tout l'quartier, et pas forcément sous un angle critique, au contraire, à c'niveau-là ça devient presque un art de vivre ; heureusement pas au niveau d'endoctrinement pré-fasciste et post-pubère [c'est rien c'est l'esprit macronien (des écoles de comex)] des publicités pour les JO(-jo le gilet jaune) dont le réseau Gromont-d'Pathé - forcément macroniste [vite vite j'ai hâte de voir la série sur Bronchite Trogneugneux, tout ça pour qu'j'me r'trouve à dire "oh bah ça va c'est pas si mal en fait". À c'rythme dans 3 ans j'vote Attal, et même pas pour faire barrage comme les castors à mâts [c'est rien c'est l'héritage familial des matelots bretons, eh oh laissez nos résidences secondaires tranquilles svp les sales communissssssssssss]] - nous abreuve.

LaRoooooooooooooooooooooyyyyyyyyyyy Jenkins... Euuuuuuuuuuuuuh, Texas.

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6,5

Vous êtes pires pisse-froids qu'moi

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7,5

Les gens sont des fions d'ratons, et même pas laveurs ces souillons.

Voilà qui z'aiment pas qu'on leur foute de la chansonnette dans un film carcéral qui transitionne en film de procès alors qu'ils s'attendaient à du riot porn bariolé. Y z'en voulaient pas, au fond du fond - malgré leur relative appréciation du premier - du Joker fragile, déjà qui z'avaient pas trop aimé le Ba(b)tou fragile du Batman Pattinsoné. Alors forcément, le voir minable et manipulé, cherchant l'attention et la validation comme un jeune rentier, ça colle encore moins à l'image qu'on s'en fait habituellement, de ce sociopathe ricanant, notamment à cause du père Ledger, et encore + à cause du père Nicholson.

Et pourtant, et pourtant bordel, avec 2 bouts d'chiffons et 2 bouts d'bois qui s'battent en duel le père Phoenix [alerta semi-cancelada je crois] fait passer toute une gamme d'émotions qui donneraient presque envie de chialer parce qu'elles questionnent notre rapport à l'adulation, à la sacralisation, à l'incelité, aux relations (souvent) asymétriques, qu'elles soient hiérarchiques ou amoureuses. Mais aussi à la folie ordinaire, comment la désensibilisation et le manque d'empathie d'une personne peuvent paradoxalement entraîner dans leur giron toute une ribambelle d'empathes parasociaux tout c'qu'il y a d'plus normaux. Et comment, plus classiquement dans le film de super-héros/super-vilains un rôle/masque est trop lourd à porter et qu'il est plus léger de s'auto-saborder. Pour regagner un soupçon d'authenticité, l'intégrité n'en parlons pas elle est morte depuis des années.

Bref c'est sûrement trop lent et aride en moyens pour certains mais c'est pour mieux faire résonner du bouzin dans le coeur des spectateurs qui ont tous quelque-chose en eux de Tenness... Euuuuuuuhh de Joquère. Ou pas tous, justement, c'est bien ça l'problème. Ou l'avantage, après tout le Joquère c'est la mascotte des incels en quête de Gretel, c'est turbo-cancelado faut l'rappeler.

Bref bref, j'ai pas regardé mon tel une seule fois et j'ai eu une impression de maîtrise malgré le sentiment de pauvreté en budget due au cloisonnement du Joquère et de l'intrigue. Les dialogues sont au cordeau, presqu'aucune ligne est dispensable, la transition dialogues-chansons est fluide, surtout en VO, et même si ça chante faux justement l'intention c'est d'y mettre du coeur et de la sensibilité plutôt que de la maîtrise vocale de professionnel de la mise en scène de soi froide comme la Mort Artistique.

Annette.

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Au départ c'est entre 6 et 7 parce que c'est mou du zgueg mais le film développe déjà une atmosphère particulière toute 80's par la bande-son utilisée intelligemment et par l'imagerie qui a tendance à insérer des images subliminales qui marquent. Au fur et à mesure que la saloperie se développe au sein des persos et à l'écran, ça devient + qu'intéressant. Tout du long malgré le rythme oblong on reste captivé par ce Breaking Bad X Killer Joe 80's bodybuildé.

C'est noir et c'est fantasque hic.

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6,5

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6,5

J'osé j'osé j'osé j'osé fine. Il fait l'con éco-délinquant [oui oui c'était avant les éco-terros conspués par VALEURS et le fifigagaroro] mais c'est pour not' bien.

Amen.

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7,5 pour pas dire 8

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Jesuisduper'/vain

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7,5 et +.

Cette fois la fatigue a joué en sa faveur, j'ai été bien bien bien bien ébaubi par le rendu et l'anim des singes, les 3/4 du temps. Les scènes en contre-jour rendent moins bien mais bon... On a presqu'atteint la synchronicité numérique/réel là. Ou pas, c'est comme le photoréalisme dans les JV, c'est la cible ["c'est utopique" comme diraient les sarkozo-macronettes] sans cesse visée mais jamais atteinte parce que le point de mire est sans cesse repoussé.

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6,5

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6,5

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Ohlala j'les entends déjà gueuler les pisse-froids, mais laissez-vous aller, laissez-vous tenter, appréciez ces chorégraphies de conneries embrochées, en brochettes.

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7,5 même si la fin est décevante de facilité.

Envie d'faire un jeu d'mots genre "Hereticary" mais en fait non.

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7,5 pour la 1re partie, entre 5 et 6 pour la 2e qui manque clairement de souffle et de rythme.

J'ai vu la première partie (qui fait déjà près de 4h) restaurée en 5k d'mes balls au ciné. Bon évidemment faut être un peu de droite pour apprécier tellement c'est long [mais bon ça va askip j'le suis à 30% [à moins qu'ce soit 70 je sais pu], j'ai fait l'test ADN] MAIS visuellement c'est pouah pouah pouah pictural, ça donnerait presque envie de s'inventer une persona de fana PP Napoléon sur Twitterix et de glisser des bulletins de gentils enfoiros' dans l'urne ["Philiiiiiiiipe, je sais où tu t'caches, viens ici qu'j'te flûte encollé !"]. Et puis ça permet de prendre un peu de recul sur ce type un peu trop aimé par la droite, justement, tout en voyant que ce film est un pur éloge de la figure illustre de la Fronce. Danton, Marat et Robespierre sont des colériques/imbus entourés d'ignares [oh bordel on dirait la vision de Mélenchon qu'en ont les droitardos'] tandis que le Naboléon est l'enfant prodigue du peuple, en gros.

On attend le blu-ray 4k à trouze mille balles, avec un peu d'espoir je serai devenu PDG d'ici là. Ce sera en partie grâce aux enseignants d'honnête homme prodigués par ce film. Guegueguerre militaire, guegueguerre autoritaire. Gare à vous garde à vous.

Note à Béné : spéciale dédicace aux looks casquette streetwear VA+ X école de comex dans la salle [merde moi aussi je vois les apparences comme Rokhaya Diallo, j'vais m'faire cancel par Charles De Consigny, adieu les salaires à 5 chiffres, adieu la Benz Benz Benz].

Suite : déçu par la 2e partie qui met en exergue les défauts de la première. Trop de place laissée à l'anecdotique, ce qui fait que certaines scènes s'éternisent. Ensuite l'accent est trop mis sur sa liaison avec sa douce, au détriment de la guéguerre qui faisait l'intérêt majeur de la 1e partie, couplée aux filtres de gros bâtards d'instagrammeurs qui là se font désirer : c'est gris-gris, tristounet, pas très gai. Où sont les rouges et les bleus qui pètent ? A la fin, on les retrouve, mais malheureusement un peu trop tard. On nous r'file du rose et du jaune, bien pâlots et bien trop fugaces au final.

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6,5 à 6,75.

GTA chez les oligarques expats, ou plutôt chez leur rejeton qui fait rien que faire des counneries et jouer à la pet-stésheune.

C'est GTA 4 quoi, mais Niko Bellic a 16 ans et a déjà complété toutes les missions principales, ou plutôt son papa les a déjà complétées et c'est môman qui gère la fortune familiale.

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Bien bien même si en bout de course ça sent le Printemps Républicain X Binette Bidoche se coupe les cheveux en soutien aux iraniennes. Symboliser la liberté par le retrait du voile je pensais qu'on était au-dessus de ça en 2024 mais visiblement non. La liberté de le porter apparemment c'est pas une option. Faut avoir un look de marcheur blanc renaissant pour être bien vu.

Pareil pour le fait de parler de démocratie et de liberté pour désigner la France, je crois que les derniers mois voire les dernières années relativisent ce diagnostic. Mais bon... Que voulez-vous la France adore se faire mousser, après les US of A c'est l'aut' pays d'la libertay, à c'qui paray. Lumières, lumières, je suis Lumières, que ta volonté soit faite, que ton règne Vienne.

Annotation :

Entre 7 et 7,5