Les meilleurs films de 2024 selon Seenzek7

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25 janvier

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21 mai

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06 janvier

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26 septembre

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24 juin

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18 décembre

Par son dispositif scénique, LA ZONE D'INTÉRÊT transcende son sujet en plus de marquer les sens durablement. C'est une glaçante et nécessaire auscultation de la banalité du mal où s'enfermer en soi, dans sa demeure et dans son idéologie permet de faire abstraction des horreurs commises. Remarquable.

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11 mars

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04 novembre

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23 juillet

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10 octobre

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09 novembre

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22 avril

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03 septembre

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12 novembre

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08 novembre

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28 février

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08 septembre

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30 août

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07 août

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20 novembre

A mon grand dam, je n'ai pas pas été totalement convaincu par THE SUBSTANCE malgré la pertinence et les différentes facettes de son propos. La faute à un découpage redondant, à son surplace thématique et à ses personnages peu fouillés qui entraînent des longueurs et, étonnamment, un certain ennui.

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11 décembre

Amusant, et même émouvant, WICKED est une réussite surprise pour moi ! Les quelques scories (la longueur diluant les enjeux et le propos, la photo numérique souvent fade) n'ont pas entaché le charme transmis par ce duo Erivo/Grande parfait. Et ces beaux costumes et décors en dur font plaisir à voir.

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02 décembre

On ne pourra pas enlever à Legrand son prodigieux sens du cadre ni son excellente direction d'acteurs. LE SUCCESSEUR est même brillant dans sa tragédie pour peu que l'on accepte certains partis pris. Pour autant, à vouloir creuser sans fin ses thématiques, il en perd sa subtilité et son efficacité.

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31 octobre

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03 juillet

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05 juin

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04 décembre

Une génération décrépie, une Rome pas si éternelle que ça, une police corrompue par un monde qui l'est tout autant et une jeunesse à sauver. Voilà le programme d'ADAGIO, un polar tragique et apocalyptique du plus bel effet dont le rythme (très) lancinant et le ton élégiaque rappel le cinéma de Mann.

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17 novembre

GLADIATOR II n'est pas un mauvais film et même s'il raconte des choses intéressantes sur la décadence d'un monde profitable aux arrivistes ou sur l'acceptation d'un héritage pour voir au-delà de la haine et du ressentiment, il souffre de son efficacité et de son décalque en négatif du premier.
Je garderai toutefois la très belle scène finale, la seule à convoquer une émotion palpable digne du premier, et les prestations d'un Washington charismatique et de Mescal en synthèse de Lucilla et Maximus. Mais aussi la belle relation Acacius/Lucilla sous-exploitée et trop vite écartée.
Le véritable point faible est cette intrigue plutôt simplette laissant pourtant entrevoir de superbes idées, mais dont le montage chaotique plombe tout développement. Pareil pour l'abrupt transformation d'Hanno en Lucius et la facilité de l'évolution et la prise de pouvoir de Macrinus.
Enfin, même si les affrontements sont bien chorégraphiés et efficaces, ils demeurent oubliables.
Ils manquent cruellement de l'aspect organique et de cette tension/implication émotionnelle du premier. La faute à ce scénario efficient et ce montage pantouflard.

Divertissant mais oubliable, donc.

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08 juillet

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05 décembre

Doté d'une jolie direction artistique et d'un brillants quatuor de jeunes, RIDDLE OF FIRE est un premier long prometteur. La première partie est un régal entre l'utilisation des codes du jeu vidéo et son ode à l'imagination et à l'aventure. Mais, à l'arrivée des adultes, le charme s'estompe et ça patine.