Les meilleurs films de 2024 selon PabloPatarin

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Pour m'autociter : "Du Cap-Vert à la Chine, Black Tea conte un monde en mouvement échappant souvent au regard occidental, où les histoires de chacun nous emmènent vers l’universel."

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"À travers le regard d’une petite fille mal dans son corps, la réalisatrice basque Estibaliz Urresola Solaguren aborde la question de la transidentité chez l’enfant. Un tour de force porté par l’interprétation poignante de sa jeune actrice."

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"Bertrand Bonello expérimente, tord l’image tout autant que la narration, déroute, à la manière d’un David Lynch, son récit tendant vers un fantastique dérangeant. Sans toujours nous permettre de saisir les tenants et aboutissants de chaque séquence, Bertrand Bonello nous enjoint à parcourir sa Bête en nous laissant porter par nos propres sentiments."

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"Porté par une mise en scène efficace, le Déserteur s’autorise des touches de burlesque et quelques jolis plans-séquences qui viennent soutenir le rythme du récit. L’œuvre pointe alors du doigt, sans concession ni lourdeur, ce que le réalisateur décrit lui-même comme la « réalité refoulée de l’occupation »."

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Bon film social sur les différentes strates du capitalisme.

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"Mis Hermanos est une fiction basée sur des faits réels. En 2007, la tragédie du centre de détention de Puerto Montt, où plusieurs enfants meurent des suites d’un incendie, met en lumière les conditions de vie d’adolescents laissés à l’abandon par l’institution. Un cas loin d’être isolé puisque, entre 2005 et 2020, près de 1 800 jeunes décèdent dans ces « prisons » gérées par l’État chilien. Claudia Huaiquimilla, enseignante et réalisatrice issue de la communauté Mapuche, s’empare de ce sujet dans un film âpre. Sans misérabilisme, elle dépeint la tragédie humaine provoquée par la violence institutionnelle à travers le parcours d’Ángel et Franco.

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Chouette film quasi-documentaire sur les "punks à chien".

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C'aurait pu être un divertissement un peu chiadé, avec un beau casting (Kristen Dunst extrêmement juste, sans être dans la performance), des idées intéressantes, bien que vide de réel propos ou partis pris. Il a fallu une fin douteuse pour faire semblant d'en avoir. Pas dégueu, mais sans plus.

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Lourdeur. Oui, le film est beau. Mais une fois que le propos, à savoir montrer l'inhumanité sans montrer l'inhumanité, est connu... Tout tend vers cette seule et même idée, les dialogues sont construits pour y faire référence en permanence. Comme souvent dans l'histoire du cinéma, les films souhaitant dire l'horreur de la Shoah sans la montrer échouent. Pas de façon cuisante, mais au regard de ce que l'enthousiasme général suscitait : suffisamment pour que le film soit une déception.

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"Un premier long métrage drôle et touchant, où l’identité juive et l’antisémitisme rencontrent des questionnements générationnels et universels avec une subtilité salutaire."

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Sympathiquement bête. Là où Gosling brille le plus.

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Pris comme un film intello-féministe, c'est lourd et sans grand intérêt. Pris comme un film de genre (ce que je n'aime personnellement pas, mais qui est sûrement le vrai propos), c'est bien fait, amusant, un peu intéressant et la surenchère rend le tout moins prétentieux.

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Mignon, quelques belles idées, un peu cringe.