Les meilleurs films de 2024 selon Roinron

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Voyage initiatique "rétro-futuriste" magnifiquement mis en scène et en image, avec en prime une très belle prestation d'Emma Stone !

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Deuxième volet d'un triptyque sur la psychiatrie à Paris (après Sur l'Adamant).
Très beau film humaniste, qui fait la part belle à la parole des patients. Passionnant et touchant !

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Un mélange des genres surprenant (polar, critique sociale, univers carcéral, histoires d'amour, glorification de la nature, ode à la liberté). Une mise en scène soignée, un humour attachant et un générique de fin interminable, ce film argentin est un vrai petit OFNI ! Et un bon !

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Troisième volet de la trilogie sur la psychiatrie à Paris de Nicolas Philibert et encore un très beau film, pudique, intimiste, touchant et drôle. Le dispositif est dépouillé, et crée une complicité évidente entre le cinéaste, les soignants et les soignés. Un travail remarquable.

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Bon polar réaliste, en immersion dans l'Inde contemporaine, où sévissent le machisme, la corruption et l'injustice sociale. On est proche du documentaire, avec en prime deux actrices convaincantes.

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Proche du documentaire, très bien filmé et superbement interprété par son charismatique acteur principal, ce film nous montre, sur trois jours, le parcours d'un émigré guinéen, livreur de repas à domicile à vélo dans Paris. qui doit passer incessamment un entretien pour obtenir un droit d'asile.
C'est vif et intense, sans manichéisme ni pathos excessif.

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Il est question d'amour, de violence, de désir, de jalousie et de miséricorde en milieu rural, avec une louche de tension sexuelle et une bonne dose d'humour. J'ai beaucoup aimé.

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Conte de fée néolibéral, entre une danseuse escort girl et le fils infantile et fêtard d'un couple d'oligarques russes. Beaucoup d'humour corrosif et jouissif, belle mise en scène et acteurs convaincants. Pas forcément un grand film, mais j'ai passé un bon moment.

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Jonathan Glazer film la banalité du mal à travers l'histoire de Rudolf Höss et sa famille, qui logent dans un nid douillet avec vue su le camp d'Auschwitz. Glaçant !
De l’importance du son hors champ pour signifier que les nazis ont évacué l'inhumanité de la solution finale.

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Bel hommage au surréalisme, plus à Bunuel qu'à Dali, d'ailleurs. Quentin Dupieux continue son travail d'artisan du cinéma dans un style qui lui est propre, en signant le scenario, la mise en scène, la photo et le montage du film.
C'est parfois très drôle et toujours complètement barré !

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Rencontre entre deux cabossés de la vie; l'un perd la mémoire, l'autre ne parvient pas à oublier ses traumatismes. Un beau film.

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Jolie surprise de fin d'année, où l'on suit une bande de marginaux dans un Marseille underground bariolé.
C'est drôle, tendre, avec une pointe d'amertume. Christophe Paou est top(less) !

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Que ce soit en France ou en Allemagne, ce n'est pas facile d'être prof !
Bon film, qui cerne bien son propos, bien rythmé, bien mis en scène et bien joué.

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Au début, ça fait un peu penser à du féminisme pour les nuls, mais finalement c'est assez utile de montrer encore aujourd'hui qu'en 1945 en Italie (et sans doute aussi en France) les hommes mariés pouvaient battre leur femme sans que ça ne pose de problèmes à quiconque.
A un moment, un jeune homme dit à sa fiancée "je veux que tu sois à moi et à moi seul". C'est peut être ça le problème...
Film agréable à suivre, avec quelques effets stylistiques et de l'humour.
L'actrice principale et réalisatrice est très bien.

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Le destin de trois femmes indiennes à Mumbai. Un beau film d'atmosphère, nonchalant et charmant.

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Malgré quelques défauts (un début un peu obscur, une certaine lenteur) un bon film sans sensationnalisme, sans pathos excessif, ni manichéisme outrancier sur la pédophilie, qui incite à réfléchir sur le sujet.

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Bonne petite comédie de gauche sur le racisme ordinaire et les préjugés éternels. C'est parfois drôle, mais aussi émouvant ou grave par moments.

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Une histoire de motards américains dans les années 60, à priori ça ne parait pas passionnant. Et pourtant, grâce à une bonne mise en scène et une bonne interprétation, ça tient la route.

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Un premier film sympathique, comédie atypique et un peu foutraque, parfois drôle et matière à réflexion sur notre rapport aux animaux domestiques et notamment aux chiens.

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Comme toujours, Emmanuel Mouret explore les rapports hommes/femmes, entre amitié, amour, passion, désamour, rupture...
Je n'ai pas aimé le début, qui crée de la distance avec le spectateur, mais Il y a de l'intelligence, de la finesse, de la complexité et certaines scènes sont émouvantes.

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Retour dans les années 90, dans l'Est de la France sinistré. On suit Anthony et son entourage sur 4 dates marquantes. Le déterminisme social, les figures parentales qui s'effondrent, la violence ordinaire sont au menu. On suit surtout, en fil rouge, l'amour contrarié d'Antony pour Stéphanie.
La B.O. d'époque fait son petit effet.
Pas un grand film, mais plaisant à regarder.