Les meilleurs films de Johnnie To selon Hotsu

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LE film emblématique de Johnnie : classieux, style minimaliste, touches d'humour décalé. A voir prioritairement pour saisir l'essence de son cinéma.

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Conclusion noire et dure au diptyque mafieux, véritable chef d’œuvre du cinéma HK avec de multiples séquences chocs filmées avec la distance nécessaire montrant sans détour la réalité de la mafia, peu de films hong-kongais ont réellement su s'approcher de ce niveau de réalisme, on pense à School on Fire de feu Ringo Lam. Ce film n'a "que" une quinzaine d'années, mais il est infaisable en 2023 au vu de ce qui est montré dans le film en prenant en compte la main mise croissante du régime chinois sur l'ex-colonie. J'ai une admiration profonde pour le travail de Johnnie To en voyant ce genre de film.

Johnnie To n'a hélas jamais refait ni mieux, ni aussi bien depuis cette année 2006 où sortait aussi "Exiled" dans un registre très différent.

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Magnifique polar nocturne comparable à Collateral de Michael Mann qui sortira un an après PTU.
Véritable uppercut formel dont les éclairages en ont traumatisé plus d'un, il est aussi très emblématique de la quintessence du style Johnnie To, à tout point de vue, jusque dans le tournage qui a été étalé sur plusieurs années pour filmer uniquement dans des heures précises de la nuit afin d'obtenir une ambiance de ville vidée dans une ville qui ne se vide jamais.

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Premier opus du diptyque mafieux présentant les personnages, c'est un film qui peut être un peu confus à la première vision (aah, cette histoire de sceptre...). Il se revoit avec beaucoup de plaisir ensuite et est superbement complété par sa suite, il n'en devient donc que meilleur !
Tourné comme sa suite avec un scénario préparé à l'avance, c'est le projet le plus ambitieux de Johnnie To, et on peux dire que cela lui a très bien réussi. Ceux qui ne sont pas fan de son "minimalisme" sauront apprécier ce dyptique bien davantage scripté. Johnnie To hausse également sa mise en scène ici, tout est très soigné, c'est un régal à visionner.

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Polar noir ultra stylisé, qui est un hommage au genre du heroic-bloodshed. On sens de grosses influences du côté de Sergio Leone, Martin Scorsese, John Woo... avec cette personnalité très propre à Johnnie To. C'est magnifique.

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Polar autant bancal que véritable coup de poing, qui mérite à être davantage diffusé. La paternité n'est pas uniquement de Johnnie To, puisque Tsui Hark et Andrew Kam ont une grosse responsabilité sur la qualité de ce polar (dont on reconnais bien leur style respectifs), mais To a bossé dessus, à une époque où son style d'auteur n'était au contraire des deux autres, pas encore bien défini. Pour autant, on peux déjà trouver sa marque visuelle si la fusillade finale de la ruelle lui est due, on y trouve le statisme de The Mission (1999), et un travail sur les lumières qui lui correspondrait étonnamment bien. Quoi qu'il en soit, ce film mérite tout à fait sa place dans ce top.

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Gros film noir pré-Milkyway où l'on ressent étonnamment bien la patte de Johnnie To malgré le kitsch de l'époque et le côté commande. Fait penser à A Hero Never Dies!

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A vu de nez d'après moi, ce que Johnnie To a fait de mieux post 2006. Mais ne l'ayant vu qu'une seule fois il nécessite une seconde vision.

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Un excellent exercice de style autour du Judo, et une belle fraternisation Hong-Kong / Japon. Avec, encore, un travail énorme du chef op' Cheng Siu Keung.

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Pillant sous forme de remake officieux "Assassins" de Richard Donner (1995), Fulltime Killer est un film d'action qui parodie finalement de nombreux autres actionner célèbres (Terminator, Point Break...), et surtout... l'immense "Time & Tide" de Tsui Hark (2000), qui pastichait entre autres... le récent succès des polars virtuoses de Johnnie To !
Certains trouveront ce film faible et prétentieux (s'il faut comparer, nous sommes, effectivement, bien en deçà du génie narratif et formel de Time & Tide, on sens que Johnnie To a du être un peu jaloux). Je l'ai au contraire toujours trouvé très divertissant à voir et revoir par la variété de ses scènes, décors, ses nombreux plans esthétiques et son beau casting, il est difficile de s'ennuyer devant !

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Une très bonne "romcom" de la Milkyway Image où l'on reconnais tout à fait la patte de Johnnie To. Il serait dommage de passer à côté de ce qui est sans nul doute le meilleur exercice de style de sa part dans le genre.

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Un très bon souvenir, mais je dois effectuer une seconde vision pour un meilleur avis.

Ecris en 2009 après ma vision :

Mené avec un bon rythme malgré d'étranges longueurs probablement dues à la complexité du scénario (peut être qu'à la seconde vision tout cela se décante et s'apprécie mieux), ce polar est magnifique. Brillants en de nombreux points et à la réalisation tellement typique des débuts de la Milkyway. Ce fameux mélange de virtuosité (la mise en scène très stylisée) et de toc (les bandes son mélodiques, cheap et peu inspirées mais carrément planantes), avec des acteurs supers : Andy Lau sobre est parfait, Waise Lee est chauve (et charismatique) et le flegme de Lau Ching Wan est un régal. Mélangeant plus ou moins les genres avec un humour bon enfant qui se fond admirablement dans le sérieux du scénario, typique Milkyway (j'adore), ainsi qu'une belle romance (clairement bienvenue), Running out of Time est à ne pas rater dans la filmographie de Johnnie To.

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Premier film de Johnnie To pour le cinéma, c'est un wu-xia pian de "série b" qui s'inscrit dans le style de la Nouvelle Vague Hongkongaise, le film rappelle d'ailleurs parfois Butterfly Murders de Tsui Hark sorti un an plus tôt et tente de nombreuses expérimentations ce qui rend sa vision très agréable.

Tourné en Chine en décors naturels ce qui est l'une des principales qualité du film, l'intrigue multiplie les genres et les ambiances assez variées, mais la principale source d'inspiration semble être le western spaghetti. Fait plutôt notable étant donné que de nombreuses réussites des futurs polars de Johnnie To s'inspirent clairement du genre. On semble déjà trouver un certain goût pour les séquences étirées et une forte utilisation de la musique qui fait presque penser à The Mission (1999) surtout que le thème principal comporte des synthétiseurs. On découvre aussi la charismatique Cherie Chung (Peking Opera Blues) pour la première fois au cinéma. Le final est d'une grande intensité et conclue brillamment ce wu-xia pian toutefois inégal mais qui constitue une des œuvres les plus intéressantes du Johnnie To pré-Milkyway.

Hélas, The Enigmatic Case sera un échec obligeant Johnnie To à retourner pour la télévision puis ne revenir sur le grand écran que six années plus tard. Son style d'auteur si reconnaissable n'apparaîtra lui vraiment qu'une quinzaine d'années après ce premier essai, enchaînant alors plutôt les commandes très inégales jusqu'à la fondation de la Milkyway Image en 1996.

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A revoir, mais une comédie hospitalière qui m'avait beaucoup surpris et divertis. Si Needing You est la meilleure romcom de Johnnie To, voici la meilleure comédie pure du duo Johnnie To / Wai Ka-Fai.

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On a peut être la meilleure bande son "gimmick" d'un film Milkyway, elle participe de superbe manière à l'ambiance particulière du film. L'intérêt de tourner à Macao ici, c'est de donner l'impression d'une intrigue hors du temps. Les personnages, mais aussi la mise en scène, renvoient directement aux vieux westerns italiens (sans la surenchère visuelle de Exiled). La scène d'ouverture est l'une des plus prenante et mémorable de la carrière de Johnnie To, voir Lau Ching Wan se lever et dessouder littéralement par ses poings plusieurs bonhommes ne s'oublie pas. En effet, il campe ce genre de personnage de gros dur macho mais qui va apprendre à se contenir et finalement s'ouvrir au monde normal au contact de "la" femme (merveilleuse Ruby Wong). Le flic campé par Lam Suet n'est pas un simple commissaire mais un Shérif. Et puis les mouvements de caméra sont si évocateurs. Et que dire de la photographie de Cheng Siu Keung, les fameux ton ocres de Macao couplés au style spaghetti rendu à merveille, à chaque Milkyway sa photographie adaptée, ce type est un génie dans sa profession. Le scénario pourra décevoir, comme assez souvent chez To, mais ce sont ces nombreux moment en apesanteur qui marquent vraiment.

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Drame avec l'immense Chow Yun-Fat, très bon souvenir. Généralement considéré comme l'un des meilleurs films de Johnnie To dans son début de carrière.

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Remake d'Un Prince à New York, le film vaut notamment le détour pour son casting avec en particulier Chow Yun-Fat et Sylvia Chang. Certain comique de situations rapprochent presque The Fun, the Luck and the Tycoon en qualité de l'excellentissime Diary of a Big Man... on est bien encore dans le burlesque hong-kongais des années 1980 (le film a été réalisé pour le nouvel an 1990). Scénario prévisible bien entendu, mais j'ai vraiment passé un bon moment, et à titre personnel je le préfère au film américain qui prend beaucoup plus son temps.

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Un polar tourné en et avec des fonds de Chine continentale, ce qui le fait différer sur un certain nombre de points de ses films hong-kongais. A revoir, peut être, un relatif bon souvenir, sans plus.

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Je n'étais pas trop tenté par ce film au vu du scénario et des trailers, et finalement j'ai vraiment accroché dès les premiers plans. On reconnais bien le style de Johnnie To qui permet de faire passer le film comme une lettre à la poste: la réalisation dynamique, les acteurs bien dirigés,... un nouveau coup de chapeau également au français Xavier Jamaux pour les compositions (le thème jazzy!). C'est peut être juste un peu long (1h52), ce n'est pas aussi culte que Needing You, mais on passe un bon moment.

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Comédie de mœurs typique des années 1980 hong-kongaise, un beau casting puisque le producteur/comique Raymond Wong est accompagné de l'excellente Silvia Chang et la sulfureuse Nina Li Chi que l'on retrouvera également sur le chouette The Fun, the Luck and the Tycoon trois ans plus tard.
C'est très bien rythmé par Johnnie To et jamais nian-nian. Le vaudeville est parfois pas loin qualitativement de The Diary of a Big Man produit par Tsui Hark l'année suivante. Une réussite méconnue.

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J'avais beaucoup aimé ce film à la première vision, c'est toujours et depuis sa sortie un des Johnnie To les plus acclamés. Mais pourtant, je l'ai trouvé fatiguant les dernières fois que je l'ai vu. A revoir encore une nouvelle fois, dans de bonnes conditions.

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Malgré un scénario brouillon un peu lourd, le film se suit bien surtout si les atmosphères Milkyway sont acquises à votre cause en fait (c'est toujours aussi impeccablement original et classieux quoi). Les deux réalisateurs livrent des scènes assez surréalistes de poésie comme le dîner où Lau Ching Wan pense être à côté de sa femme...
Notons l'arrivée du français Xavier Jamaux à la bande son qui fait un très bon boulot. La direction d'acteur est toujours aussi impeccable.

[à revoir, la note de 6 me semble sévère]

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Le film qui m'a fait non seulement connaître Johnnie To (il a été médiatisé par le Festival de Cannes 2004), mais m'a carrément amené à découvrir le cinéma HK dans son ensemble. Je lui en saurais éternellement reconnaissant pour cela. C'est un polar / action, qui a beaucoup de qualités, et quelques défauts, parmi un scénario un peu trop mince, pourtant loin d'être idiot, un jeu d'acteurs pas toujours au top à mon sens, là où le casting est excellement dirigé dans de nombreux autres To... La réalisation est très soignée, mais pourtant moins personnelle que sur bien d'autres de ses polars.
Johnnie To a dit faire ce film en mixant son style auteur avec sa facette commerciale dans le but justement de vendre ce film à l'étranger, en résulte une œuvre un poil bâtarde.
Vu sur un grand écran, le film a quand même pas mal de gueule, tout dépend de ce que vous venez rechercher, mais il donne un peu trop souvent l'impression d'avoir le cul entre deux chaises comme on dit.

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Un mélo polar qui va contribuer à forger son style d'un point de vue auteur, nous sommes en 1995, cela fait déjà x années que Johnnie To tourne, mais cette fois il commence à prendre son indépendance artistique. Les quelques scènes d'action sont inventives (et bien foutues) mais le film se concentre vraiment sur le couple Lau Ching Wan (très bon comme souvent) / Carmen Lee (trèèès belle actrice que l'on retrouvera dans plusieurs productions Milkyway). Les compositions de Chung Chi Wing sont par contre vraiment cheaps et peu originales, empêchant un peu l'implication du spectateur, compositeur qui pourtant fera des merveilles plus tard sur The Mission ou PTU. A noter quand même que Johnnie To utilise des chansons (chantées en anglais) à de multiples reprises, une petite bouffée d'air frais mais vraiment rien d'extraordinaire. Enfin, j'ai trouvé que le tout ressemblait beaucoup au style de Ringo Lam: le côté mélo, les scènes de couple, la violence sèche du film... bref, un film à découvrir dans la riche filmo variée de Johnnie To.

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Un Johnnie To qui donne envie de vivre à Hong Kong. Son seul défaut reste sa légèreté tout de même, difficile d'y voir grand chose d'autre qu'un bel exercice de style, mais pourquoi pas.

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J'ai bien accroché à ce drame, jusqu'à un final totalement overthetop, à la hong-kongaise, tout à fait marquant... mais il n'a pas super bonne réputation, certains lui reproche son côté larmoyant voire peu inspiré et opportuniste car le film arrive après quelques réussites dans le genre dont une de Johnnie To : All About Ah-Long !

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Après un Loving You (1995) prometteur, Johnnie To réalise ce sympathique film d'action dans l'univers des pompiers de Hong Kong, qui cependant lorgne un peu vers le téléfilm. Pas simple en effet d'imaginer à la vision de cet honnête film que le réalisateur sera consacré pas plus tard que l'année suivante (ainsi que pour la décennie à venir) pour ses films ultra stylisés (The Longest Nite, The Mission, PTU...). C'est toujours agréable de voir évoluer à l'écran Lau Ching Wan et la regrettée Carmen Lee. Il faut vraiment souligner la bonne tenue des scènes pyrotechniques (un climax de 40 minutes), l'équipe du film a fait un effort pour le respect du spectateur (tout ce qu'on voit est vrai) et dans les risques pris (c'est tout aussi hallucinant que les mecs qui sautaient des immeubles dans les films des années 1980 !). Mais quoi ? Et bien a part ça c'est a peu près tout. Bien sûr comme je l'ai dit, le film est sympa à suivre, mais on ne trouve pas grand chose de l'univers de Johnnie To ici, on penserait même plutôt à Ringo Lam mais le talent en moins (le côté très téléfilm avec en gros le cliché du quotidien du pompier lambda des grandes villes), alors oui, ce n'est pas plus terrible que ça. Et on pourrait même essayer, en rigolant, d'imaginer que Johnnie To a pu laisser la réalisation de ce film à un certains Patrick Yau, tandis que To lui même aurait pour le coup bel et bien signé The Longest Nite ! Lifeline est néanmoins un film à conseiller à tous les amateurs de fillm d'action hongkongais.

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Un étrange film qui n'est pas déplaisant. Une intrigue mystico-policière un peu difficile à cerner (en particulier la dernière demie heure) mais menée avec la fougue habituelle des productions Milkyway. Cecilia Cheung est vraiment craquante... Par contre, le film n'est à mon avis pas simple d'accès pour quelqu'un qui n'est pas habitué au cinéma HK.

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Un bon petit film de kung-fu dans la mouvance du début des années 1990, avec un beau casting, à la mise en scène hélas impersonnelle.

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Film assez important dans la carrière de Johnnie To qui réuni trois actrices très emblématiques (et charismatiques). Sorte de mélange fort original entre film noir, superhero movie hollywoodien et néo wu xia pian typiquement HK, avec en plus ce côté totalement féminin bien badass, en bref, un film assez inédit.
Pour épauler le réalisateur, l'excellent Ching Siu-Tung est derrière la réalisation de toutes les scènes d'actions !
J'ai trouvé le film hélas un peu fatiguant personnellement malgré les ambitions déployées. N'est pas Tsui Hark qui veut, on ne va pas se mentir.