Les meilleurs films de l'univers Star Wars selon Adrast

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Catastrophe au cinéma, énorme déception, puis à force de le revoir on se rend compte qu'il est bien dense, malgré la transition trop rapide d'Anakin du côté obscur. C'est sûrement un des meilleurs Star Wars, en tout cas le meilleur de la prélogie, suivi de l'épisode 1 qui lui aussi se bonifie à la revoyure, surtout grâce aux remasters Bluray et compagnie qui comme d'habitude avec les Star Wars anciens et plus récents ajoutent des corrections aux FX.

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Je le mettrais bien plus haut mais les quelques infidélités à l'univers m'en empêchent

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Potentiellement un 7 quand j'aurai définitivement perdu toute dignité. Faut avouer qu'il contient son petit lot de bonnes scènes (l'explosion du vaisseau de la Fédération du commerce de l'intérieur, la découverte de la cité sous-marine, puis la découverte de la faune sous-marine), voire de scènes devenues cultes (la course de pods, le combat final contre Dark Maul).

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Une impression de mieux par rapport au 7, mais un scénario stationnaire très discutable et quelques incohérences (par rapport à l'univers) qui servent de raccourcis assez agaçantes. Peut-être moins spectaculaire et best-of que le 7, mais avec plus de caractère, de noirceur et d'homogénéité au final.

J'ai du mal à trancher sur la note. Le premier visionnage équivalait à un 6, le deuxième à un 5... Le troisième a validé ma deuxième impression. Partons sur un 5,5.

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Une histoire simple et sur le papier assez anecdotique voire risible (le sauvetage du fils de Jabba pour obtenir un traité de passage des forces de la République sur le territoire du gros bousin) mais bien menée, avec des rebondissements et un petit coup de théâtre final assez rigolaw. Un peu trop d'esprit enfantin dans les répliques, comme dans la version de Tartakovsky et les Disney plus récents, mais les petites trouvailles comme l'arrivée d'un nouveau padawan, l'introduction de l'oncle de Jabba ou l'utilisation à bon escient de Ventress (moins teenage impulsive darkikoo que chez Tartakovsky) et de Tyranus, et le focus sur les combats au sabre, nombreux, sont des petits plus qui réhaussent l'univers initial ou permettent d'envisager la prélogie sous un angle légérement différent. Le nouveau duo formé entre Anakin et Asoka donne d'ailleurs l'illusion d'un Anakin plus humain, encore assez proche du "bien", plus raccord avec le personnage des films canons, alors que l'Anakin des Tatarkovsky le montrait sur la pente descente, sur le point de basculer du côté obscur, sûrement à cause de la durée (2*1 heure contre 1h30 + les 6 saisons de la série).

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Belle déception, belle, mais déception quand même. Et ce même si Kylo Ren remonte dans mon estime à chaque fois que je dois le revoir/y réfléchir pendant 2 secondes et demi entre 2 calculs mesquins.

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Un court forcément trop court avec un scénario très moyen (pour pas dire inexistant), mais qui a le mérite d'exister et s'avère plus que satisfaisant compte tenu des moyens alloués.

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Finalement pas si catastrophique qu'on le disait. Y'a du spectacle même si dans mes souvenirs la photographie était pas fantastique, plutôt orange-ma(c)rron c(r)ac(r)a.

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Star Wars Clone Wars 1 et 2 : un peu trop de scènes d'affrontement sur Coruscant qui cachent difficilement le manque d'intérêt du scénario, avec des choix de design grand-guignolesques (ces chevaliers des temps modernes sur leurs fidèles moto-destriers, wouarf) et des chevaliers Jedi aux pouvoirs un peu trop pétés. C'est cool de voir Windu faire du kung-fu et Anakin user et abuser de l'antigravité sur ses ennemis, mais c'est pas très raccord avec les limitations physiques et techniques des films. De plus la patte Comics est pas non plus renversante. Autant le Clone Wars full synthèse est pas très beau, autant celui-là manque de détails dans pas mal de plans volontairement simplifiés. Niveau écriture des dialogues on n'est pas non plus à des sommets de sagesse Jedi-esque, les petites répliques malignes et caustiques de Kenobi étant toujours là, la candeur et l'impétuosité d'Anakin elle aussi, et Yoda use toujours du minimum syndical pour dérouler sa grande sagesse.

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La dominante colorée du film est comme celle de l'affiche : orange marron cracra. Les bestioles de l'arène ont toujours un design gerbifiant (tout comme les autochtones de l'arène), l'idylle Macron/Brigitte [la différence d'âge, vous comprenez] à base de roulades dans l'herbe haute restera toujours mièvre, et les dialogues débiles difficilement rattrapés par l'interprétation geignarde de Christensen enfonceront définitivement le dernier clou dans le cercueil de Dark Vador. "Oh mais tu les as tous tués ? Oh mais c'est pas grave mon chéri, ne t'en fais pas, tout ira mieux demain" ; sous-entendu ce ne sont que des sauvages du désert, des bédouins quoi, alors que dans le 3 elle est terrorisée par le massacre des marmots du temple Jedi.
C'aurait été plus malin de la voir rongée par le doute mais captive de l'emprise d'un futur Sith qui sait déjà très bien manipuler les esprits, plutôt que les voir batifoler après qu'Anakikin ait fini de lui faire la cour ["tu veux bisous ou tu veux pas bisous ? Allez fais bisous ! (en plus dans Clone Wars de Tata Tarkovsky je mange des vers donc c'est bon pour l'haleine, hein Woody !)"] et qu'elle cède enfin à ses avances anti-protocolaires, m'enfin bon...

Christopher Lee est là, c'est déjà ça. Son Comte Dooku est un peu trop Lee-esque (la classe de Dracula et la magie de Saroumane) mais ça permet d'épaissir le quota de charisme assez malingre du film. Même Jango Fett me semble fade, alors que son clone/fils Bobba en imposait plus rien que par sa présence dans la première trilogie.

Ah si, la petite référence à la future Etoile Noire, que je n'avais pas trop remarquée jusque-là, m'a fait plaisir.

Annotation :

Mis au pif, juste parce que je sais que j'en ai vu un des 2 pendant l'enfance, et qu'il faudrait que je me les refasse pour être sûr de mes goûts d'chiottes.