Les meilleurs films de l'univers Star Wars selon LapinouBleu

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Rogue One est, pour l'instant, mon Star Wars préféré.

Distrayant sans perdre une goutte de ce que doit être l'univers Star Wars, Rogue One sait charmer par le mariage parfait entre l'inventivité de George Lucas et le savoir-faire de Disney dont il est le bébé tant chéri.

On le voit bien, les studios ont tout misé sur ce volet : le grand retour de Star Wars à l'écran n'est donc pas sous-estimé.

En premier lieu, les effets spéciaux sont servis. La photographie est alors elle aussi plus qu'agréable.

Mais, c'est surtout l'aventure qui apporte de la beauté à la saga. En effet, le rythme est maintenu par des scènes d'action, des passages humoristiques, des acteurs impliqués et des personnages bien écrits. Comme La Guerre des Etoiles nous le laissait espérer, Star Wars commence enfin à faire rêver son public.

De plus, c'est à l'évolution de l'intrigue que l'on doit le meilleur de l'œuvre. Osée est cette fin, attachants sont ces personnages.

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EPISODE VII :

Malgré un scénario relativement identique à celui de La Guerre des Etoiles, la fidélité ressentie aux anciens personnages et le vent de nouveauté qui souffle sur tout le métrage forment un aspect cinématographique plus que plaisant. A l'inverse de La Vengeance de Salazar qui se montrait plus qu'irrespectueux envers tout le monde dont il est issu et tous les premiers acteurs de la saga Pirates des Caraïbes, on sent dans Le Réveil de la Force un désir de bien faire. L'aspect monétaire de la chose n'est bien sûr pas à écarter de cette recherche du détail, cependant c'est bien la première fois qu'il n'est pas négatif pour un projet. On reste donc dans la continuité d'un Disney de qualité.

La progression des protagonistes nous les rend attachants et complets. Kylo Ren arrive même à s'affirmer en tant que méchant de caractère comme Darth Vader n'a pu le faire qu'un instant lors de Rogue One.

Un travail en détail est alors remarquée. Par exemple, l'humour déjà marquée dans Rogue One est aussi présente dans ce métrage, pour notre plus grand plaisir. De plus, colorée et pleine d'effets spéciaux réussis, la photographie nous impressionne.

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Le voilà enfin - le fameux - celui qui m'a fait pénétrer dans un univers hermétique mais surprenant, passer 1300 heures devant un écran, regarder neuf films et m'attacher à une dizaine de personnages différents. car oui, c'était bel et bien pour voir l'histoire de Han Solo que je me suis infligée un marathon Star Wars. Rien n'arrête la détermination ; et, cette bande-annonce haute en couleurs avait créé en mon être une détermination palpable.
Les amis, je ne regrette rien ! Ce fût une expérience mémorable, aussi riche en souffrances qu'en paillettes cosmiques. Mais nous ne sommes pas là pour parler de toutes les émotions que peut créer le visionnage de tant d'œuvres en si peu de temps dans un seul et même individu, nan ! Nous sommes ici pour nous arrêter sur un cas particulier : Solo.

Solo devait être réalisé. C'est certain. Mettant en scène le début de la plus grande amitié spatiale, son importance n'était négligeable.
Le scénario respecte d'ailleurs cet aspect en offrant au public une lecture divertissante de ce mythe.
Ces "nouveaux" personnages écrits avec intelligence sont d'ailleurs tout de suite attachants et ajoutent à l'ancien duo une valeur supplémentaire.

Evidemment victime de la recette blockbuster tant appréciée par Disney le métrage sombre parfois dans des facilités de scénario et de mise en scène qui peuvent lui porter préjudices. Seulement, on pardonne ces petits vices avec lesquels il est si facile de flirter pour la maîtrise de tous les genres cinématographiques présentés.

En effet, le film commence par une romance avant de montrer quelques séquences de guerre puis pour finir par une transformation durable en western.
Tous ces genres et thèmes sont gérés par une photographie admirable et un sacré budget 'effets spéciaux'.

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EPISODE IV :

Les Star Wars et moi menions jusqu'alors une existence conflictuelle. Méconnaître c'est mépriser. Et, après deux essais infructueux la tentative agréable se présenta. C'est alors que je me mis à aimer la saga.

La Guerre des Étoiles est une excellente introduction à l'univers de George Lucas. Les défauts sont pourtant nombreux. Par exemple, nous ne comptons pas les effets de changement de scène hideux, les petits passages creux, les personnages effacés (et l'insupportable C3-PO).

Cependant, tout le long-métrage garde une qualité constante.
Je dirais même, devant La Guerre des Étoiles l'ennui n'existe pas.
Ainsi, l'aventure garde son rythme jusqu'à sa fin et le spectateur ne peut s'empêcher de voir le second volet.

Les maquettes et les costumes, surtout, relèvent du génie. De plus, les effets à la 3D (malgré leur âge) ajoutent les détails souhaités à un monde complet.
La photographie apporte donc toujours un aspect positif au film.
Il règne alors sur l'œuvre une atmosphère vintage fascinante.

Han Solo, d'ailleurs, s'annonce être un personnage intéressant pour la suite.

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EPISODE VI :

Sans pour autant atteindre les qualités du premier volet de la saga, Le Retour du Jedi se montre plus distrayant que L'Empire contre-attaque. Pourtant, il est aussi victime d'erreurs nombreuses.

Pour commencer, il est clair que les protagonistes sont plus effacés que lors des deux films précédents. De plus, les faux-pas scénaristiques se comptent par dizaines lors de l'introduction. Luke et ses amis sont, en effet, impliqués dans un plan bancal.

Cependant, cet épisode VI a fourni davantage de travail sur les costumes et les décors. L'univers ressort construit avec nettement plus de force que précédemment. Les personnages secondaires qui peuplent l'univers sont variés et apportent une personnalité propre à la saga. Il n'est pas rare de rire du charisme d'un individu. Seul Darth Vader et sa part de bonté sont rebutants.

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EPISODE VIII :

Une fois n'est pas coutume, Disney avait commis l'exploit d'oublier sa recette habituelle en terme de blockbuster médiocre pour nous offrir un bon Rogue One et un Réveil de la Force sympathique. Les Derniers Jedi signe cependant la fin de cette beauté inespérée.

Les premières minutes déjà, n'annoncent rien de bon. L'introduction lance le public dans la mêlée sans le ménager. Puis, plus l'intrigue progresse plus le scénario semble se précipiter vers un remake bancal des épisodes V et VI. Pourtant, le rythme du film s'efforce à ralentir. On accuserait presque Rian Johnson d'avoir été payé pour nous endormir.

Le plus douloureux de l'œuvre se présente alors : de nouveaux personnages insupportables. Et, sans vergogne, je vais citer à nouveau La Vengeance de Salazar pour appuyer mes dires : Disney supprime les vieux acteurs cruellement en ajoutant de nouvelles têtes sans charisme.

Décevant, Les Derniers Jedi enfonce même la lame dans notre plaie en présentant toujours quelques bons aspects vus dans ses deux dernières productions de cette saga. Humour, bons personnages, univers respecté, photographie soignée et aventure palpitante sont encore là. Malheureusement, quelques retournements de situation gâchent ce qui aurait pu être superbe.

PS : J'apprécie moyennement la copie de Ragnarok et Dumbo.

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EPISODE V :

Après un épisode IV très positif, L'Empire contre-attaque commence déjà à sombrer dans la sorte de mélasse que je pensais croiser en regardant les Star Wars.

Cependant toujours agréable à bien des égards et fidèle à l'univers instauré précédemment le film n'est en rien repoussant.
On retrouve en partie un R2-D2 toujours aussi génial, des planètes diverses et les protagonistes appréciables.

Pourtant, certaines scènes apportent un creux à l'intrigue.
Une certaine construction répétitive montre parfois même le bout de son nez.

Mais, le plus gros point noir réside en Luke lui-même. Le scénario oubliant Han Solo pour se focaliser sur l'évolution du Jedi, le vide de ce personnage nous laisse perplexe.

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EPISODE I :

Le changement de trilogie est assommant.
Douloureux est cet épisode I.

Les premières secondes nous amènent déjà devant toutes les atrocités que nous allons devoir supporter.

La première est la pire : Le visuel d'un film n'a jamais été aussi laid. Entre la 3D infâme présente dans chaque recoin d'image, les personnages secondaires hideux, les paysages vides, le manque de décor conséquent il est difficile de ne pas souhaiter mourir lors de notre visionnage pour en stopper les trop nombreuses souffrances qu'il cause.

De plus, perverti par le diable comme ce métrage l'est, l'affreux ne se contente pas de ça.
En effet, le rythme est d'une lenteur inégalable. Les raisons de cette tortures sont, en plus, multiples.
On commence déjà par voir qu'aucun acteur n'est réellement impliqué dans ce qu'il fait. Les personnages sont creux tandis que la prestation s'enlise dans une pâte visqueuse à chaque seconde. Seul Dark Maul arrive un peu à se frayer un chemin vers notre considération.
Ensuite, les scènes sont toutes inutiles et leur format expéditif nous pousse à décrocher du visionnage.

Pour simplifier la chose, je dirais même que l'univers est oublié... voir même massacré au service d'un projet monétaire.

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EPISODE II :

Après la torture qu'est La Menace Fantôme, rien ne pouvait être moins beau. C'est donc d'un pas décidé que je me suis mise devant cet épisode II. Pourtant...

L'introduction marquant la nette amélioration espérée entre les deux volets, le spectateur se replace dans son fauteuil tout en joie, sourire aux lèvres.
- Anakin se dévoile sous un jour nouveau : ado téméraire imposant son propre rythme.
- Ewan McGregor est enfin fidèle à lui-même : charismatique et charmeur.
- La photographie est beaucoup moins gâchée par les effets spéciaux virulents.
- L'écran évite de représenter Jar Jar Binks.
En gros, tout va mieux.

Sauf que sans prévenir mais en croissant discrètement, le cauchemar caché derrière cette trilogie s'exhibe au grand jour.
- Anakin se transforme en pervers insupportable.
- Et Ewan McGregor s'efface pour laisser place à la romance détestable des deux protagonistes.
Le rythme pâti forcément de tout cela. L'ennui connu devant L'Attaque des Clones est magistralement chiant.

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EPISODE III :

La deuxième trilogie allant de déceptions en déceptions, regarder La Revanche des Sith s'annonçait déjà comme étant une torture bien avant de débuter le visionnage.
L'instinct se trompe rarement.

Des six films Star Wars que j'ai eu l'occasion de voir jusqu'à présent, cet épisode III est bel et bien le pire. Dès ses premières minutes il est aussi un des rares métrages à causer l'ennui... Le pire c'est qu'aucun scrupule nous habite lorsque que nous nous occupons à tout autre chose pendant la séance.

Anakin étant ce qui pouvait arriver de plus nocif au cinéma, chaque scène où la tête de Hayden Christensen apparaît est horrible ; pourtant, l'intrigue avait repris son format initial dans lequel chaque séquence est expédiée sans respect ni rythme.

Suivant donc ses deux prédécesseurs, La Revanche des Sith poursuit les erreurs dans lesquelles la saga s'était déjà enfoncée pour en grossir les traits.
Mais, ajoutant un aspect détestable à son scénario, George Lucas sombre dans le néfaste en faisant de Palpatine un personnage important.
Se laissant alors embrigader comme une andouillette, Anakin devient davantage stupide à chaque instant tandis que l'Empereur le regarde avec insistance et omniscience... pendant deux heures.

Tout cela n'étant pour autant pas invivable, j'aurais pu mettre 02/10... si seulement le soi-disant "réalisateur de génie" n'avait pas chié sur son propre univers :
- Le sabre qu'Obi-Wan Kenobi devait ramasser après avoir vaincu Darth Vader (pour le donner plus tard à Luke) devait être vert.
- Dans Le Retour du Jedi, Leia dit à son frère avoir des souvenirs de sa mère... Je ne pense pas avoir besoin de développer cette idée...