Les meilleurs films de la Nouvelle Vague selon guyclem

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Le plus grand chef d'œuvre du cinéma. Le film du bonheur. Toujours aussi savoureux même après 101001938 visionnages.

"Comme ce type doit m'aimer puisqu'il m'a inventée"

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Poésie, philosophie, beauté, amour, absurdité, laideur, ennui, cruauté... Ce petit ovni du cinéma, unique en son genre, nous fait passer par tous les états. Le duo Belmondo/Anna Karina est incomparable.

"Ah la vie est peut-être triste mais elle est toujours belle !"

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Un film tendre, drôle et loufoque qui nous fait aimer encore plus le petit Antoine Doinel. La rencontre entre l'élocution loufoque de Jean-Pierre Léaud et la voix enivrante de Delphine Seyrig.

" - Vous aimez la musique Antoine ?
- Oui Monsieur. "

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Gaspard est triste parce qu'il n'a pas d'amoureuse, puis il est triste parce qu'il a TROP d'amoureuses.
Des dialogues sur l'amour et l'amitié dans un paysage maritime et avec en bonus les jolies boucles de Melvil Poupaud. Les personnages peuvent être exaspérants, mais sans eux ce ne serait pas du Rohmer.

"L'amitié c'est sérieux, peut-être même plus que l'amour"

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Immersion dans les rues de Paris, caméra sur l'épaule, en improvisation totale. Les dialogues sont absolument savoureux et la longue scène dans le lit entre Belmondo et Jean Seberg restera toujours inoubliable. On aimerait remonter les Champs Elysées et entendre crier "New York Herald's Tribune".

"Quand on parlait, je parlais de moi et toi de toi, alors que t'aurais dû parler de moi et moi de toi."

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L'atmosphère, les dialogues, les couleurs, et Blanche. Tout est tout simplement délicieux. Rohmer nous donne même envie d'aller à Cergy.

"– Tu pleures ? C’est le soleil ?
– Non, je ne sais pas, c’est peut-être ce silence."

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Romy est sublime dans ce portrait de femme amoureuse et tourmentée qui ne sait quel cœur choisir. Un trio inoubliable - il y a Romy Schneider, Yves Montand, Sami Frey, ... et les autres.

"Ce n’est pas ton indifférence qui me tourmente, c’est le nom que je lui donne : la rancune, l’oubli. David, César sera toujours César, et toi, tu seras toujours David, qui m’emmène sans m’emporter, qui me tient sans me prendre et qui m’aime sans me vouloir…"

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Je donnerais tout pour passer une nuit dans le salon de Maud, auprès de Jean-Louis Trintignant et Françoise Fabian, et discuter d'amour et de philosophie, un verre de vin rouge à la main.

"Moi aussi je choisis. Mais il se trouve que mon choix est toujours simple"

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Être follement hypnotisé(e) par Anne-Laure Meury pendant 1h46. On la suivrait bien aux Buttes Chaumont.

"Personnellement, j'aime la vie quand ça ressemble à un roman."

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François Truffaut a créé Kill Bill, avec une mariée aussi terrifiante que fascinante : Jeanne. Un film qui mérite vraiment plus de reconnaissance.

"Quelque fois dans la rue, il y a devant moi une belle fille qui marche les cheveux au vent. Les battements de mon cœur s'accélèrent, je presse le pas pour arriver à sa hauteur. Je la regarde, elle est moche. Et bien je vous assure, je suis soulagé. Je trouve ça rassurant."

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Ecouter, observer, admirer Antoine Doinel qui grandit encore et devient cette fois-ci lui-même papa. Beaucoup de rires, de poésie et d'émotions.

"– Est-ce qu’il y a des trompettes, dans votre roman ?
– Ah non…
– Est-ce qu’il y a des tambours, dans votre roman ?
– Ah non…
– Ah ben alors vous avez qu’à appeler ça “Sans tambours ni trompettes” !"

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A travers le portrait du jeune Antoine Doinel, un écolier rebelle et attachant qui fait les quatre cents coups, François Truffaut nous livre les secrets de sa propre enfance.

Les notes de Jean Constantin, Antoine qui court vers la mer, regard caméra transperçant d'émotions.

"Ben, j'mens, j'mens de temps en temps quoi… des fois je leur dirais des choses qui seraient la vérité ils me croiraient pas, alors je préfère dire des mensonges."

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Dialogues savoureux sur la vie, l'amour, la mort. Jean-Pierre Léaud et Chantal Goya.

"- Est-ce que vous pensez qu'on peut vivre tout seul ? Sans arrêt tout seul ?
- Non j'crois c'est pas possible, j'veux dire on peut pas vivre, c'est c'que j'disais, comme ça, sans tendresse. Il y a de quoi se flinguer."

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La Maman et la Putain c'est 3h40 de Jean-Pierre Léaud qui dit des choses parfois vraies, stupides, attendrissantes, philosophiques, et toujours drôles. La démonstration de la perte de sens et de l'oisiveté dans toute sa splendeur. Les 3h40 passent étonnamment vite.

“Quel plus grand hommage peut-on rendre à un homme qu'on admire que de lui prendre sa femme.”

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Tourbillon amoureux coloré tragique sublimé par le génie de Michel Legrand.

"Mais je ne pourrais jamais vivre sans toi."

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Jeanne Moreau fascinante en femme tourmentée addicte aux jeux d'argent. Une belle illustration de la psychopathologie des troubles addictifs.