Les meilleurs films de Maurice Pialat selon Yasujirô Rilke
7 films
créée il y a presque 5 ans · modifiée il y a plus de 3 ansVan Gogh (1991)
2 h 38 min. Sortie : 30 octobre 1991. Biopic, Drame
Film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 8/10.
Nous ne vieillirons pas ensemble (1972)
1 h 50 min. Sortie : 3 mai 1972. Drame
Film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Dans une réalisation réduite à l'os, Pialat remet en scène ses propres amours. Dans un trio composé de Jean Yanne, Marlène Jobert et Macha Méril, se cristallise la mort qui prend l'âme de ceux qui finissent par rompre.
L'Enfance nue (1969)
1 h 23 min. Sortie : 22 janvier 1969. Drame
Film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Une frappe ! Comme pour "Mes petites amoureuses" d'Eustache, j'ai l'impression d'avoir vu sur grand écran projeté l'imaginaire rural de mon enfance. L'authenticité brute de la Mémère et du Pépère m'ont mis les larmes aux yeux.
L'Amour existe (1960)
20 min. Sortie : 11 février 1960.
film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 7/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Pialat évite le formalisme Nouvelle Vague, non pas que ce soit plus juste ou plus éthique, mais plutôt que cela prouve que le cinéma français existe par différentes voies. Par la poésie, Pialat sourd de la banlieue l’espoir qu’y renaisse l’amour.
Loulou (1980)
1 h 50 min. Sortie : 3 septembre 1980. Drame, Romance
Film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 7/10.
Sous le soleil de Satan (1987)
1 h 38 min. Sortie : 2 septembre 1987. Drame
Film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 5/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Tout dans ce grand classique français (Palmé) correspond moins à l'adaptation de Bernanos qu'à celle du sublime "Mouchette" de Bresson, jusque dans ses coquetteries de style. Et résonne, par-delà sa crudité, comme assez artificielle.
Police (1985)
1 h 53 min. Sortie : 4 septembre 1985. Policier, Drame, Romance
Film de Maurice Pialat
Yasujirô Rilke a mis 4/10 et a écrit une critique.
Annotation :
La limite du système Pialat. Tout ce qui l'intéresse ici c'est de désosser le polar pour saisir les visages à nue. Dans la lumière crue de Tovoli, le film rate la grâce de l'austérité, le dépouillement du naturalisme et a le goût de la fadeur.