Les meilleurs films de sous-marin selon abscondita

Annotation :

Le film s'inspire des missions vécues pendant la guerre par L. G. Buchheim, alors journaliste. Hans-Joachim Krug, embarqué comme officier à bord du sous-marin allemand U-219, participa au tournage en tant que consultant.

D'anciens commandants de sous-marins ont témoignés que le film est très réaliste et rend très bien la vie dans un sous-marin.

Au sud de Munich, dans les studios Bavaria, on peut visiter les décors dans lesquels ont été tournés le film. La réplique du U96 mesure 55m, un peu plus que le bâtiment d’origine. « Le décor était monté sur une grande bascule, en 6 secondes on pouvait changer son inclinaison avec une amplitude totale de 80°. Elle était donc extrêmement mobile et permettait de reproduire tous les mouvements auxquels peut être soumis un vrai sous-marin. Les acteurs ne savaient pas à l’avance dans quelle direction, l’installation allait bouger, ça a été un élément essentiel pour trouver une certaine authenticité sur le tournage. » (Stefan Bryxi, directeur de la « Bavaria Filmstadt »)

« Tous les jours, ou presque, les acteurs devaient repousser leurs limites aussi bien mentales que physiques. Lors d’une scène tournée sur le kiosque, on leur a déversé 1000 litres d’eau glacée sur le visage par seconde pour vous donner une idée. Wolfgang Petersen est un perfectionniste, il voulait de vraies victuailles à bord, mais à force de baigner dans l’eau, elles ont fini par moisir. C’était donc très désagréable. Dès le début de leur journée, les acteurs se retrouvaient dans cette puanteur. Pour leur rendre la tâche un peu plus supportable, on versait de l’eau de Cologne dans l’eau, sinon les acteurs seraient repartis en courant dès le matin. » (Stefan Bryxi, directeur de la « Bavaria Filmstadt »)

Annotation :

Histoire tirée de l'une des plus dramatiques tragédies de l'histoire russe. Le 4 juillet 1961, le sous-marin nucléaire K-19 est victime d'une avarie du système de refroidissement de l'un de ses réacteurs, alors qu'il demeure dans les eaux de l'océan Atlantique. Afin de remettre en marche le système manuellement, huit marins se sacrifieront pour entrer dans le compartiment du réacteur et seront mortellement irradiés.

Kathryn Bigelow a entamé le tournage de K-19 : le piège des profondeurs à Moscou en février 2001. Grâce à la normalisation des relations entre les Américains et les Russes, l'équipe a eu la permission d'accéder à pluseurs bâtiments offficiels. Elle a bénéficié en outre de la collaboration des autorités russes puisqu'un ancien commandant de sous-marin et un conseiller naval ont vérifié l'authenticité des protocoles et des manoeuvres lors du tournage.

Le vrai K-19 repose dans un cimetière à bateaux et son état de délabrement est tel qu'il était complètement inutilisable pour les besoins du film. Le producteur Sigurjon Sighvatsson a donc entamé des négociations pour louer un ancien sous-marin soviétique. Après le film, celui-ci a été revendu à un groupe de Rhode Island qui s'en sert aujourd'hui comme pièce d'exposition.

Annotation :

Le fabuleux sous-marin du pirate Artigas

Annotation :

Le sous-marin japonais qui cherche Hollywood