Les meilleurs films de Tsui Hark selon AlwaysBanana

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Mélange parfait d'action, de comédie et du naturel de la relation entre les personnages qui atteint une justesse sublime. Les chorégraphies des combats sont hallucinantes, les mouvements de caméra et le découpage de Hark saisissants, l'utilisation du décor, le charisme des acteurs, tout est fou.

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Le film d'action le plus étonnant et dense jamais vu, des scènes hallucinantes et surréalistes, des mouvements de caméra improbables et des idées de mise en scène abstraites qui se mêlent à des effets visuels magnifiques et impressionnants, une utilisation du décor urbain de Kong-Kong qui raconte tout sur cette ville et ses personnages. Un scénario moins complexe que ce qu'on pourrait croire dès qu'on se laisse porter par la mise en scène et les personnages. Un montage elliptique qui joue avec l'intelligence du spectateur qui reconnecte automatiquement les plans et les scènes entre eux. La symbolique biblique improbable donne une dimension poétique à tout ce chaos maîtrisé, symbole de la fin du cinéma Hong-Kongais post rétrocession et qui explose tous les autres films d'action.

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Largement inspiré des Sept Samouraïs de Kurosawa, Tsui Hark adapte l'histoire de 7 guerriers devant protéger des paysans des bandits et de la tyrannie du pouvoir. Que ce soit pour faire un parallèle avec la situation en Chine, actuelle ou historique ou juste pour proposer un grand spectacle, ce film en met plein la vue.
L'une des meilleures réalisations de Hark. On peut regretter le développement de certains personnages coupé au montage par manque de temps et quelques flashbacks un peu artificiel à la fin. Mais la photo est à tomber par terre, les scènes d'actions sont sublimes avec des chorégraphies toujours aussi folles.

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Malgré la présence d'autres réals au générique, Raymond Lee doit être responsable du début un peu déconnecté du reste du film puis c'est bien Tsui Hark qui s'est chargé de quasi tout le film et ça se voit. Les chorégraphies de combat et le découpage de l'action sont en symbiose parfaite. Encore une fois, la réal explose tout le cinéma d'action américain.

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Quand Tsui Hark décide de renouveler le genre du Wu Xia Pian il le dynamite complètement en remakant la légende du sabreur manchot. Une photo infernale, un chaos absolu, un méchant charismatique, des combats intenses et jouissifs, une mise en scène de "cinéma-vérité" immersive et différente de ce que Hark a fait jusque là en cherchant à rester plus proche du réel et des personnages. Le film peut décontenancer au début, mais le spectacle et le ressenti prime sur tout.

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Suite du premier Il était une fois en Chine. Toujours aussi fou visuellement, une baston culte entre Donnie Yen et Jet Li. Du Kung Fu comme vous n'en avez jamais vu et Rosamund Kwan la belle gosse.

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Deuxième Detective Dee, Tsui Hark pousse les potards à fond et propose un grand spectacle hallucinant (en 3D si possible) qui explose tout ce que pouvez voir au cinéma depuis 30 ans. Le mec mélange encore une fois l'histoire et les légendes chinoises, différents genres, du film d'art martiaux, de kung fu au film policier en passant par le fantastique. Encore un petit chef d'œuvre à voir absolument.

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Inspiré d'une légende chinoise qui rappelle Roméo et Juliette, mais là c'est mieux que Titanic.

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Aussi fun et impressionnant que le deuxième, moins intéressant au niveau du scénario mais ça reste du grand spectacle ultra inventif et du jamais vu.

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Un conte fantastique adapté d'une célèbre légende chinoise. il faut prendre le film comme un conte pour rentrer dedans dès le début et s'adapter à la mise en scène virevoltante. De l'émotion, du spectacle, bref du bon Tsui Hark. Et bien sûr on tombe amoureux de Maggie Cheung et Joey Wong.

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La symbiose de la comédie d'espionnage/action, entre les quiproquos et les gunfights où tout est bien chorégraphié, impossible de ne pas aimer.

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Vous rêviez de voir un film de cuisine filmé comme un combat de kung fu avec des éléments de comédie et de la romance ? Tsui Hark l'a fait avec ce film de nouvel an chinois qui rend hommage à la culture culinaire du pays tout en vous rendant crédible un délire visuel semblant sortir d'un manga de cuisine.

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Nouvelle adaptation de Dragon Inn avec une histoire différente du film de 92. Premières expérimentations 3D de Tsui Hark complètement folles, des scènes d'actions dantesques et le retour de Jet Li. Bref, à voir absolument en 3D si possible.

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La Bataille de la Montagne du Tigre ou "Comment détourner un film de propagande en faisant un film de guerre impressionnant visuellement avec des personnages tout droit sortis d'un jeu vidéo et des scènes de guerre jouissive pour un délire complètement assumé et justifié dans le scénario". Un très bon film sur la transmission, l'héritage et le pouvoir du cinéma avec des références à l'opéra de Pékin.
Et si possible, à voir absolument en 3D !

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Un très bon film, presque trop sage pour du Tsui Hark visuellement, mais qui raconte plein de choses intéressantes et renouvelle sa filmographie. Mais ce premier Detective Dee n'est qu'une mise en bouche par rapport aux suivants.

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Une très bonne comédie bien dosée avec de bonnes scènes d'action. Seule collab de Tsui et Jackie Chan.

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Après un quatrième Il Était une fois en Chine catastrophique, Hark rempile et propose un film dont l'histoire n'a plus grand chose à voir avec les 3 premiers. On part dans l'aventure complet et une violence graphique plus poussée. Un bon film bien fun.

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Une comédie romantique avec du voyage dans le temps. Ça fonctionne bien malgré certains passages comiques un peu moyen notamment à cause du gros mec. Mais le duo principal (le même que The Lovers) a une bonne alchimie.

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Même s'il n'est pas crédité à la réa, Tsui Hark a réalisé quasiment tout le film. Un mélange d'horreur et de fantastique très intéressant et des idées visuelles toujours plus impressionnantes.

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Une jeunesse hong-kongaise complètement paumée, des personnages tous détestables et une fin de film d'action typique des années 80-90.

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Du jamais vu. Bon le scénario est un peu foutraque et on comprend pas tout aux enjeux ou aux persos, mais le délire visuel et les idées de mise en scène sont affolantes. On croirait voir un manga adapté en live et ça marche une bonne partie du film.

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On sent une lassitude avec ce troisième épisode d'Il était une fois en Chine. Une baisse de rythme, le scénario est moins intéressant et la comédie moins bien gérée. Quelques bonnes scènes de kung fu mais un final complètement bizarre avec ce fameux "tournoi" dont je ne comprends toujours pas les règles.

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Bon c'est le bordel mais c'est jouissif et vénère.

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Un trip sous acide en acceptant les effets visuels moches et c'est encore plus incompréhensible que le premier.

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Une triple réalisation dont le résultat est plutôt pas mal malgré le manque de choérence entre la dernière partie et les deux premières. Le premier segment de Tsui Hark est plutôt nerveux et pose pas mal de bases efficaces. Ringo Lam enchaîne en se refermant sur la psychologie des personnages. Puis Johnnie To arrive, change d'ambiance et n'en a rien à foutre de l'heure qui précède. Arrivent des nouveaux personnages inutiles pendant que les principaux passent au second plan pour raconter quelque chose de complètement différent.

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Malgré le scénario con con et alambiqué de Steven de Souza, de bonnes scènes d'actions et d'expérimentations visuelles de Tsui Hark rendent le film très sympathique.

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Un peu dégénéré, avec des passages de kung fu plutôt efficace et de la comédie aléatoire. On remarque déjà le style de Tsui Hark dans sa mise en scène et dans ses thèmes, le film ayant un sous-texte anti-communiste.

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Comédie assez sympathique mais sans grosse folie.

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Après le mélange un peu bancal et le conflit entre les 2 réals sur le deuxième épisode, Hark tente de marcher sur les plates-bandes de John Woo en s'inspirant d'Une Balle dans la tête et fait lui aussi son film sur le Viet Nam. C'est pas si dégueu mais pas nécessaire.

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Sympa pour les scènes d'actions avec déjà des cadres et des mouvements de caméras typique du gars. Beaucoup moins intéressant lors des dialogues très plat, ça raconte trop l'intrigue, c'est confus (les sous-titres anglais dégueulasses m'ont pas aidé).