Les meilleurs films des années 1970 selon Fritz_the_Cat

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Hypnotique, beau à mourir et hallucinatoire : l'un des sommets de la carrière de Coppola, doublé d'un voyage sans retour entre les lignes d'un conflit que le cinéaste pousse jusqu'à l'abstraction. L'un des rares films à mériter le terme "définitif".

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Inspiré par les conseils des Humanoïdes Associés, Ridley Scott signait ici la plus belle démonstration de son savoir-faire, et donnait à sa direction artistique des allures de manifeste. Un chef-d'oeuvre de huis clos qu'on ne se lasse pas de dévorer des yeux.

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Le meilleur film de Coppola avec Apocalypse Now, merveille de narration dont les aller-retour temporels densifient le propos à chaque nouveau virage. Puis quels comédiens, quels décors, quelle direction artistique...

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Un monument de tension visuelle qui fait jeu égal avec Le Salaire de la peur sans avoir besoin de copier sa mise en scène et sa narration, loin s'en faut. Excellent.

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Un chef-d'oeuvre atypique dont l'ambiance plonge tranquillement dans une folie terrifiante. Passionnant.

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Le meilleur Richard Fleischer que j'ai vu jusqu'ici, chronique nocturne à la fois pittoresque et humaine. Et, dans le dernier tiers, un mouvement de caméra inoubliable.

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Une histoire d'amour fou, sale, beau et viscéral qui est aussi le portrait réjouissant d'un jeune queutard magnifique. L'un des meilleurs Verhoeven.

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Un film à la hauteur de son affiche, à la fois pertinent et évocateur. Mise en scène très solide, casting en béton, propos tenu de bout en bout... L'un des meilleurs travaux du scénariste de Taxi Driver.

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Adaptation fascinante d'un fait divers criminel où un homme, habitué à séduire puis dépouiller ses conquêtes, prend pour alliée sa nouvelle victime. Un excellent road movie, tendu et sardonique, doublé d'une histoire d'amour réellement torturée.

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Une expérience rare et puissante, documentaire traversé de parenthèses anxiogènes où le quotidien pénible d'un jeune agriculteur prend des allures de cauchemar. Méchamment brillant.

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Vu une seule fois et pourtant mon Blier préféré, le plus dingue, le plus jouisseur, le plus truculent...et le plus infaisable aujourd'hui, encore plus que Les Valseuses.

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Le charme de Liza Minelli, la puissance d'un contexte étouffant, le tout sous l'oeil d'une caméra virtuose. Le chef-d'oeuvre de Bob Fosse avec "All that jazz".

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Le début d'une légende, réunion de talents dont la classe et la rigueur font encore école. Immense.

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Alain Corneau en pleine maîtrise de son style, le génie Dewaere dans un de ses plus grands rôles, un script drôle, sec et ludique puis, surtout, des décors et une ambiance inouïs. Grande réussite.

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L'un des tout meilleurs film de Alan Clarke, chronique d'une prison juvénile dont Dog Pound allait être le remake officieux 40 ans plus tard. Ray Winstone y est excellent, et l'approche réaliste de Clarke, sans musique aucune, souvent brillante.

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Mon Argenton préféré, expérience esthétique sans équivalent dans l'horreur 70's. Un vrai rêve éveillé, avec tout ce que ça comprends de mystère, de bizarrerie et d'abandon à l'irrationnel.

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Un monument de tension d'autant plus étouffant qu'il ne laisse pas de répit à son public. Peut-être le meilleur travail de la collaboration Siegel/Eastwood.

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Un délice blasphématoire d'autant plus sidérant qu'il évite l'anticléricalisme bourrin jusque dans ses scènes les plus folles. En prime, Ken Russel (secondé par l'agité Derek Jarman) se paye un festin visuel qui culmine dans un plan final sidérant. Tour à tour drôle et traumatisant, une perle qui n'a pas volé sa réputation.

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Drôle, intelligent, virtuose...Ou quand Dino De Laurentiis met ses billes au service d'un des plus grands cinéastes US de son temps. Aussi intraitable en flic intègre qu'il le sera en gangster mégalo, Pacino y est fabuleux.

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Hilarant, intelligent, pince-sans-rire, décalé, inventif, transgenre... Un bonheur absolu et, on l'imagine, l'autre ancêtre structurel du "Inception" de Nolan avec "Paprika".

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Peut-être l'un des films les plus attachants que j'ai jamais vus. 90mn de bonheur dont on aimerait que ça dure le triple. Casting délicieux, humour qui fonctionne à plein, mise en scène remarquable, rythme sans faille... J'en veux tous les jours, des road-movies comme celui-là !

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Un trip d'autant plus flippant que la terreur naît davantage des présupposés du public que de ce qui se passe à l'écran. Et l'ambiance est incroyable !

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Un modèle de divertissement intelligent, la drôlerie des situations entrant en osmose avec le discours qu'elle véhicule. Les comédiens sont énormes, le rythme impeccable et l'ensemble réjouissant. Décidément, j'aime le cinéma de Milos Forman...

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De l'anticipation intelligente qui est aussi l'un des chefs-d'oeuvre de Richard Fleischer. Puis quel cast, et quels décors !

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Une comédie tellement naturelle dans ses excès qu'elle n'a pas pris une ride, délice de bons mots et d'humour tendrement trash comme il serait impossible d'en filmer aujourd'hui.

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Passionnante étude du monde de la télévision, de ce qu'elle véhicule d'idées reçues comme du microcosme formé par le petit monde de l'information. Malgré ses Oscar, un film radical et digne du réalisateur de 12 hommes en colère.

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Coppola encore, décidément maître de cette décennie. Avec les moyens de surveillance de l'époque, le film bâtit un suspense parano inoxydable. Et quelle interprétation, bon Dieu !

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Malgré sa petite moyenne, un grand moment de tension et de malaise, superbement shooté.

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Voilà d'où vient le surnom de la plus jeune prostituée de L'Apollonide. Bien m'en a pris d'aller voir de quoi il retourne, c'est un très bon film sur le sujet, hollywoodien certes, mais empreint de la sensibilité de Louis Malle.

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L'un des meilleurs Polanski, illustration assez parfaite de "l'inquiétante étrangeté".