Les meilleurs films indiens selon Harlequeen

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[Film de Bollywood - Hindi]

Dans ma quête pour visionner des œuvres du cinéma indien, j'ai découvert assez vite ce film. Bien noté, de bonnes critiques, une bande-annonce assez propre, réalisé par Sanjay Bhansali dont j'avais vu précédemment "Devdas" ... Let's go, donc ... Et franchement, je n'ai absolument pas regretté. Quel chef-d’œuvre !

Trahie par son mari qui lui faisait miroiter un destin d'actrice, Ganga est vendue à un bordel de Kamathipura, le quartier rouge de Bombay. Elle n'en démordra pas et va progressivement se faire une place dans le milieu pour devenir la maquerelle la plus influente de la ville. Tiré d'un chapitre de roman présentant les reines mafieuses qui ont marqué Bombay à différentes époques, il s'agit donc d'un biopic mi-factuel, mi-légendaire. Bhansali présente ainsi une anti-héroïne sans montrer réellement le mal que la vraie Gangubai a fait dans la réalité. Qu'importe, c'était une féministe, une battante. Son combat pour défendre les droits des prostituées et de leurs enfants est admirable.

L'histoire est linéaire, sans réelles situations difficiles : un problème se présente, elle le résout dans la foulée. Simple certes, ennuyeux diraient certains, mais ça marche. Pas besoin de retournements de situation, d'artifices scénaristiques ou encore de coups en traître. Il suffit juste de présenter les évènements au fil de l'eau. Action / réaction. J'ai aussi décidé instantanément qu'il ferait partie de mes films préférés. Voilà.

J'ai également découvert à cette occasion Alia Bhatt dont le jeu était franc, piquant et juste.

Vraiment un beau film !

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[Film de Kollywood - Tamoul]

Difficile de sortir indemne d'un tel visionnage. J'ai du faire régulièrement des pauses pour évacuer le ressentiment - que dis-je, la colère sourde macérant dans mes tripes - face à ce qui nous est donné à voir : la bêtise, la haine, la pleutrerie.

Les scènes de torture envers les prisonniers intouchables sont crues, à la limite du soutenable. Les "flics" sont d'immondes enflures qui n'assument rien tout en profitant du système. Un système qui justement se replie tel un origami, pour ne pas voir ce qu'il est : injuste.

Le film sert avant tout à magnifier le combat de l'avocat Chandru - inspiré d'une histoire vraie certes, mais qui n'est pas à proprement parler un biopic. Il est charismatique, réfléchi et méthodique. En sortant différents atouts au bon moment, il se révèle aussi fin tacticien pour mettre en déroute les bourreaux et leurs avocats. Le combat qu'il mène est un jalon essentiel pour mettre à mal cet affreux système de caste indien où, sous prétexte que des êtres humains sont classés dès leur naissance dans des cases, cela permettrai de justifier les pires horreurs.

Suriya, l'acteur qui joue le rôle de l'avocat, a d'ailleurs reçu des menaces de mort et été placé sous protection policière. Les partis politiques conservateurs comme celui de Narendra Modi n'ont pas manqué de le blâmer à coup de boulets rouges. La connerie humaine, encore et toujours ...

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[Film de Tollywood - Télougou]

Ce film est aussi bon qu'il est effrayant ! On part sur un scénario classique de mariage idyllique qui s'avère en réalité toxique. On nous montre la réalité des abus - froide, sourde, injuste - que subit une jeune femme qui ne rêvait pourtant pas bien grand, souhaitant juste mener sa vie tranquillement avec une personne qu'elle pensait faite pour elle.

Ce film est aussi beau qu'il est critique ! On souffre avec Amudha : on partage ses doutes autant que sa haine, on apprécie ses instants de lucidité autant qu'on hurle quand elle chancèle. Ce combat, son combat, est vécu par bon nombre de femmes à travers le monde. Il est ardu et effrayant pour n'importe qui, car s'il est pourtant juste, il est craint autant par les victimes que par les agresseurs. Les victimes, car elles doivent avoir le courage d'aller au bout. Les agresseurs, car ils veulent conserver leurs dominations.

C'est cela, "Ammu". Un combat ordinaire.

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[Film de Bollywood - Hindi]

Une petite fille muette perdue dans un pays inconnu. Un homme va tout faire pour la ramener à ses parents. Une aventure rocambolesque à cheval entre l'Inde et le Pakistan. Ce pitch improbable pourrait faire sourire et il fait sourire. Il fait pleurer aussi.

"Bajrangi Bhaijaan" déborde de bons sentiments. Pawan, le héros, est bêta mais super gentil. Munni, la petite fille, est adorable et touchante ... Bref, c'est un film feel-good qui met l'accent sur ce qui nous unit malgré les différences de confession ou de nationalité. Il enfonce des portes ouvertes et n'approfondit pas les relations et les ressentiments complexes qui se jouent dans ces territoires. Ce n'est pas son but. Il s'agit seulement d'éprouver de la bonté ... Et ça fait du bien !

Mention spéciale à la chanson enfantine sur le poulet, qui m'a littéralement plié en deux, kuk-doo-koo ! Mention également de la scène, hallucinante, où Pawan vend sans le savoir Munni à un bordel. Fallait oser ! Malgré cette petite touche "froide" rapidement résolue, le film est totalement accessible aux enfants et pourrait leur servir de porte d'entrée pour le cinéma indien.

Un très beau film !

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[Film de Bollywood - Hindi]

Petit drame familial autour de deux frères - beaux gosses, upper class - de retour au pays pour veiller sur leur grand-père souffrant. Ce dernier n'est qu'un prétexte pour percer les abcès et les non-dits dont souffre chacun de ses membres.

Les acteurs sont touchants, leurs motivations ne sont ni toutes noires, ni toutes blanches, mais toutefois sincères. J'ai eu l'impression de voir un de ces films d'auteur français, moraliste l'air de rien. Mais comme c'est étranger, ça passe tout de suite mieux.

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[Film de Bollywood - Hindi]

J'aime beaucoup ce film pour son mélange de thématiques en apparence hétéroclites, mais qui s'intègrent parfaitement dans le récit. Son but est de nous interroger sur le phénomène des mariages arrangés, encore bien présent en Inde. La danse est ici l'exutoire idoine pour aborder les relations femmes-hommes et remettre en question la masculinité. Suri / Raj incarne cette dualité entre l'introverti et l'extraverti, celui qui semble insignifiant et celui qui en fait trop. Les deux personnalités donnent chacun à leur manière de l'amour sans oser réclamer en retour, ce qui cause beaucoup de tracas au héros.

La dévotion est pour moi le thème central du film, son fil rouge. Suri est dévoué à sa femme Taani. Ils ne se sont pas choisis mais il cherche à la rendre heureuse tandis qu'elle reste au contraire aveuglée par son côté coincé et propre sur lui. Cette histoire est donc une quête pour ramener le mojo au sein du couple. Ni plus ni moins.

Et puis c'est kitsch bien comme il faut. J'aime beaucoup !

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[Film de Tollywood - Télougou]

Seconde partie - et meilleure partie - du diptyque de Baahubali. Encore plus dense que la première partie, c'est un véritable déluge de scènes d'actions toutes plus improbables les unes des autres : une parade nuptiale sous une pluie de flèches, une charge de vaches enflammées, des palmiers servant à catapulter des soldats pour pénétrer la capitale du royaume ... un joyeux foutoir avec une CGI plus que douteuse ... Mais c'est tellement jouissif !

L'histoire tourne en grande partie autour du père de Shivudu, Baahubali lui-même (et accessoirement avec le même acteur), avant de se recentrer sur le combat du fils contre Bhallaladeva. C'est téléphoné mais épique. Tout est fait pour qu'on ressente la grandeur et l'héroïsme.

N'empêche, quand on y pense, c'est juste l'histoire du "Roi Lion" en un peu plus chiadé.

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[Film de Bollywood - Hindi]

Estampillé comédie dramatique ... Surtout dramatique ! Le sujet du film me touche particulièrement donc j'ai eu bien du mal à accepter ce qui se passait à l'écran - surtout dans la première partie. La seconde partie tourne quant à elle au vaudeville et détourne légèrement le propos initial sur les violences conjugales en appliquant un verni doux-amer.

Je suis vraiment fan du jeu d'Alia Bhatt dans ce film. Jouant divers registres fait d'invectives et de domination, puis d'un coup passer à une fragilité détonante. Vraiment fan !

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[Film de Bollywood - Hindi]

Un scénario classique et téléphoné sur les boucles temporelles : enchainement de tuiles ; du fric sale qui disparait ; 50 minutes pour le récupérer ; une première erreur ; un mort ; reset ; une deuxième erreur ; un mort ; reset ... Jusqu'à ce que les évènements aboutissent à la bonne fin. Simple et efficace. J'ai énormément apprécié le ton décalé, ainsi que l'ensemble des acteurs, véritables loosers magnifiques ! Un bon film !

J'ai surtout en tête la chanson titre du film et son refrain entêtant :

"Is ki jaan ka loop lapeta !
Mere praan ka loop lapeta !
Is brahmaand ka loop lapeta !
Saare plan ka loop lapeta !"

Et ça s'écoute ... En boucle !

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[Film de Mollywood - Malayalam]

Ce film est assez particulier puisqu'il mélange drame rural et super-héros. C'est l'histoire de deux péquenauds pauvres ou déçus par la vie qui se voient octroyer une chance de tout changer. Ce pitch est déjà extraordinairement intrigant.

Ensuite, le traitement accordé à chacun d'eux diffère et s'avère plutôt nuancé. On est pas sur du 100% gentil et du 100% méchant. Non : on nous montre les raisons et les décisions qu'ils prennent chacun pour s'en sortir et en arriver à leur inévitable confrontation finale. Rien que pour ça, "Minnal murali" se démarque en profondeur de ses cousins américains et vaut clairement le coup d’œil.

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[Film de Kollywood - Tamoul]

Attention, ce film n'est pas à voir ou à conseiller à n'importe qui.

L'histoire de "Chittha" est dure et prend aux tripes. C'est assez difficile de trouver des films qui abordent le sujet des viols d'enfants et encore plus quand il s'agit de faire jouer des enfants dans des scènes de persécution sexuellement implicites (et j'insiste sur le "implicite"). Il n'y a en effet rien de répréhensible montré à l'écran, mais ça va suffisamment loin pour qu'on ressorte horrifié par l'enchainement des évènements.

La tension narrative est constante sitôt passé le point de non-retour. On prie pour que tout cela finisse bien malgré un sentiment latent d'impuissance et d'oppression. Les acteurs sont sensationnels à ce niveau !

Puis intervient une action vers la fin qui m'a énormément posé question au point de me sortir du film. On la sentait pourtant venir et a fini par arriver en dépit de tout bon sens. Elle a de prime abord fait balloter négativement mon jugement concernant sa crédibilité et sa moralité avant qu'intervienne un personnage féminin (forcément !) qui a su poser les mots justes sur ce que je ressentais : il ne s'agissait effectivement pas d'agir, mais au contraire de quérir / guérir. Dans ce sens, l'action problématique en était bien une et démontre toutes les contradictions de la pensée humaine sur un sujet qui, en définitive, ne laisse personne indifférent.

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[Film de Bollywood - Hindi]

Je considère "Devdas" comme ma véritable porte d'entrée dans l'univers chatoyant du grand cinéma indien. Si j'avais vu auparavant "Voltage", ainsi que le début de "The lunchbox" sans l'avoir fini, il me fallait un genre de film fondateur, un film-clé.

Film romantique par excellence, ce "Roméo et Juliette" sauce Bollywood est tout simplement magnifique et en constitue - en quelque sorte - son apologie ou encore son testament : les décors sont grandiloquents, les costumes sont chamarrés, les danses sont envoûtantes, le regard perçant d'Aishwarya Rai est inhibant ... Je comprends pourquoi cette œuvre est considérée comme un classique. Et quel classique !

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[Film de Bollywood - Hindi]

Le film aborde frontalement un sujet qui pourrait passer comme honteux aux yeux de beaucoup de personnes, issues le plus souvent de cultures à dominante patriarcales et / ou cultivant le secret : les moyens sanitaires alloués aux menstruations. C'est sale et dégradant, c'est au pire un non-sujet ou au mieux un problème de femmes (sous-entendu, ce n'est ni sérieux, ni important pour la marche du monde).

Le héro est attachant, mi-naïf et mi-obstiné. Il est en tout cas fondamentalement altruiste et cherche à résoudre un problème en apparence simple, malgré toutes les oppositions possibles, y compris des femmes elles-mêmes. En un mot : admirable.

S'il n'est pas exempt de quelques longueurs ou d'énervements ponctuels face aux situations ridicules - non pas parce que c'est idiot, mais parce que les réactions des fâcheux sont ... Fâcheusement réalistes - "Padman" n'en reste pas moins un film à voir, à montrer même dans les écoles pour que chacun puisse prendre conscience des enjeux.

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[Film de Bollywood - Hindi]

Des scènes d’action improbables avec des combats rudes à faire pâlir Alex Pereira, des ralentis à la pelle avec des explosions qui feraient passer Michael Bay pour un cinéaste du dimanche ... Ne cherchez pas, "Tiger 3" est un sacré client. Bon en vrai je déconne, je survends le bousin, mais c'est un peu vrai quand même ! Je préfère cent fois regarder ce genre de délire que les productions normatives des films d'action hollywoodiens. Même si ce n'est pas forcément bon ou bien amené, les films indiens prennent plus de risques, sont plus inventifs voire plus jouissifs. Et je ne demande que ça : innover quitte à se foirer. Et dans ce film, contrairement aux deux premiers, le réalisateur s'en sort plutôt bien ! On ne s'ennuie pas et on se paie même le luxe de pacifier façon coup de boule le conflit réel entre l'Inde et le Pakistan.

Depuis mon visionnage, je me reprends parfois à imiter Salman Khan quand il rabat son petit keffieh vers l'arrière, cheveux laqués au vent et le regard du mâle alpha. Ce swag, ma gueule !

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[Film de Tollywood - Télougou]

Première partie d'une fresque épique et légendaire dont j'en suis ressorti globalement charmé.

Il faut dire que malgré sa durée, il y a beaucoup à raconter. Si le début est poussif, l'histoire s'accélère une fois que Shivudu, le héros, a grimpé l'immense et improbable chute d'eau à coup de sauts de la foi et de balancelles façon Tarzan. De ce côté-là j'apprécie étrangement le côté ridicule et cheap des scènes d'action. J'ai cependant moins aimé les longues scènes de drague, lourdingues et malvenues selon moi (mais peut-être est-ce interprété autrement ailleurs). Sérieusement, le gars lui tatoue les bras et la rhabille de manière sexy, le tout dans une chorégraphie paon-paon, sourire beauf en prime ! Dans la vraie vie, non seulement la fille n'en serait pas amoureuse, mais en plus, il se serait fait encorner les couilles par un taureau - le même qui est combattu par Bhallaladeva, son méchant oncle.

Mais ne boudons pas notre plaisir car ce film a une belle vibe.

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[Film de Bollywood - Hindi]

Ce film est à la fois un hommage et une satire du cinéma indien. On comprend que le milieu du cinéma est assez fermé et ne s'ouvre que très rarement au tout venant, que ce soit en Inde ou partout ailleurs. Ayant eu fait des études supérieures (abandonnées depuis) dans l'audiovisuel, je me suis reconnu dans le désarroi du personnage principal, qui doit faire face à cette réalité bien cruelle.

Ce film nous narre également une romance impossible qui se transforme en vengeance d'outre-tombe. Comme quoi, dans le cinéma bollywoodien, on aime le mélange de genres, tel un smoothie aux multiples saveurs. Dans tous les cas, "Om shanti om" est une production sympathique !

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[Film de Bollywood - Hindi]

Assez dérangeant dans son propos, mais magistral dans sa réalisation. "Haseen Dillruba" nous présente un mariage arrangé qui fini littéralement par exploser ! Tout au long du film, on vibre devant les multiples rebondissements et on essaye de comprendre comment ce couple mal assorti a pu en arriver là.

J'ai adoré la prestation de Tapsee Pannu, que je retrouve avec plaisir après avoir visionné l'excellent "Looop lapeta".

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[Film de Kollywood - Tamoul]

J'ai éprouvé quelques difficultés à rentrer dans l'histoire de ce diptyque, mais c'est entièrement ma faute. J'ai en effet voulu regarder un blockbuster tamoul sans rien connaître de la culture, des codes ou même de l'aspect historique sur lequel c'est basé. Il faudrait que je le revisionne d'ici quelques années, quand j'aurais plus de bouteille sur ce type de production, afin de m'en faire un autre avis.

Si on omet certains passages CGI un peu douteux, le reste des décors, les paysages, les costumes et les acteurs sont fabuleux.

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[Film de Bollywood - Hindi]

Visiblement pas mal décrié - ce qui peut objectivement se comprendre - j'ai cependant beaucoup aimé ce côté kitch et nanardesque. On sent qu'ils ont traité sérieusement le sujet sans pour autant avoir l'expertise des blockbusters américains. Résultat : ça frise le ridicule et c'est pour moi ce qui fait paradoxalement son charme. En ce sens, ça me fait très fortement penser à "L'uomo puma", un film Cinecittà qui se rêvait à la hauteur de "Star wars".

Il fut l'un des premiers films indiens que j'ai vu et il m'a apporté tout ce que j'imaginais sans rien connaitre de ce cinéma : les danses, le cheap, l'indolence et le surjeux des acteurs ... J'ai vraiment passé un bon moment à rire et à me prendre au jeu.