Les meilleurs films originaux Netflix selon Darkgunner

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Voilà certainement la perle Netflix à ne pas manquer, qui nous propose un drame touchant et authentique. Une véritable émotion s'en dégage, avec des scènes d'une rare intensité.

Si les capacités de Scarlett Johansson ne sont plus à démontrer, Adam Driver révèle ici toute l'étendue de son talent d'acteur, bien loin du Kylo Ren en pleine crise d'ado.
Un film qui n'aurait pas volé son oscar du meilleur acteur, mais ce n'est que partie remise espérons.

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Parce qu'il s'agit pour moi de la série Netflix n°1, et que cet hors-série en est l'un des meilleurs épisodes !

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Le tout premier film totalement interactif de l'histoire ! Black Mirror est encore une fois en avance sur son temps.

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Une fable fantastique aux allures de pamphlet contre la société de consommation, et porteuse d'un message profondément écologiste.

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Pour son retour au Cinéma, Fincher livre ici son film le plus exigeant, qui nécessitera non seulement d'avoir Citizen Kane bien en tête, mais aussi une connaissance solide de la période hollywoodienne des années 30-40. Attention donc, il sera facile de passer à côté du film...

En revanche, une fois ce bagage acquis, les enjeux apparaîtront plus clairs, et Mank vous offrira de nombreuses subtilités à relever au travers de ses dialogues aiguisés et de sa réalisation soignée.

Un long-métrage assez riche, où Fincher montre bien les rapports d'exploitation des producteurs puis des réalisateurs sur l'auteur. A défaut de tout saisir lors d'un premier visionnage, vous pourrez vous consoler avec la patte très atypique de ce film noir, et une direction artistique épousant les états d'âmes d'un personnage principal tourmenté.

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Rythme haletant et dialogues ciselés, vous trouverez tous les ingrédients du style d'Aaron Sorkin au service d'un procès placé sous le signe de l'épopée et du panache, quitte à perdre en sobriété.

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Idiocracy : le commencement.
Le casting d'exception est ici au service d'une comédie satirique acerbe, peut-être lourdement appuyée par moments mais dont le portrait de la société dépeinte fait hélas trop souvent écho à notre réalité.

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Un dialogue captivant entre ces deux papes, qui met en lumière la divergence de leurs points de vue et les coulisses d'une passation de pouvoir loin d'être fortuite. Anthony Hopkins et Jonathan Pryce livrent tous deux une très belle performance, restituant à leur personnage au-delà de leur sacralité toute leur humanité.

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Précurseur de ce que sera sa série horrifique The Haunting of Hill House, ce film nous montre que Mike Flanagan sait utiliser le registre de l’Épouvante pour mieux le dépasser, et livrer un drame sensible.

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Une agréable surprise que ce Klaus, qui parvient à réinventer le mythe de Noël tout en gardant sa magie intacte.
Rafraîchissant !

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Le portrait sombre et nihiliste d'une Amérique profonde, où les destins sont livrés à l'arbitraire et se raccrochent désespérément à un Dieu absent. A mi chemin entre La Nuit du Chasseur et There Will Be Blood, la figure du prêtre n'est autre qu'un leurre égoïste, incapable de guider ses brebis égarées vers leur salut. Celles-ci se retrouvent dès lors condamnées à marcher sur les traces de leurs aînés, et à reproduire leurs erreurs.

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Poème mélancolique et désespéré sous forme de psychanalyse, le film offre de nombreuses envolées lyriques dans sa réalisation, et dévoile sous nos yeux souvent ébahis une œuvre folle et assez ambitieuse.

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Malcolm & Marie fait la part belle à ses personnages éponymes et à la performance de ses deux acteurs, le tout accompagné d'une patte visuelle léchée et d'une réalisation intimiste.
On regrettera néanmoins les dialogues parfois exagérément verbeux, pour une histoire qui aurait tendance à tourner en rond...

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En dépit de ses entraves à la réalité historique, cette adaptation de l'oeuvre de Shakespeare offre une reconstitution de très bonne facture, et un récit maîtrisé.

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La Plateforme développe un concept très intriguant, sans doute inspiré par le court métrage "Next Floor" de Denis Villeneuve. La métaphore sociale est assez explicite, pourtant de nombreux points laissent matière à interprétation.
Une oeuvre solide, crue et sans concession, meilleure que Cube... à tous les niveaux.

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Ce film à sketchs nous propose une déconstruction intéressante des récits classiques de Western, cassant les codes comme "Mon nom est Personne" l'avait fait en son temps. Si le dénouement de certaines histoires peut laisser le spectateur sur sa faim, les frères Coen nous gratifient néanmoins de quelques univers particulièrement inspirés, avec une mise en scène des plus soignées.

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Un film d'action bien filmé et très (trop) bourrin, mais qui fait office de bon défouloir à la manière d'un The Raid.

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Une œuvre difficile, qui montre la perte de l'innocence de jeunes violés par la guerre civile, arrachés à une enfance paisible et heureuse.

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Sous couvert d'une épouvante discrète mais efficace, His House ne se défait jamais du message profondément politique qu'il entend faire passer, et donne ainsi à ses protagonistes une raison valable et viscérale d'avoir peur.

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Sommes-nous face à un individu innocent victime d'un malentendu, ou bien un tueur en série calculateur et sanguinaire?
Le personnage reste tout aussi mystérieux pour son épouse que pour le spectateur lui-même. Tiré d'une histoire vraie, ce thriller offre une histoire des plus atypiques et captivante, et sème jusqu'au bout le doute sur sa possible culpabilité.

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Si la couverture du film laisse penser à un ersatz d'Expandables, il n'en est rien. Une très bonne ambiance à la Villeneuve vient napper l'aventure de ces anciens militaires sur fond de rock métal, aux frontières de l'éthique.

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Un film complémentaire à Sans un bruit ; ou lorsque la privation de l'un des 5 sens donne lieu à une palpitante dystopie...