Les meilleurs films sur la vieillesse selon takeshi29

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N'écrivez pas le mot "Fin"...

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Mon Dieu c'est pas humain ce truc, encore plus beau et déchirant que "Le Voleur de bicyclette". Y'a des œuvres qui comme ça, en un plan, te déchirent le cœur, et là je vais vous dire, je ne me suis toujours pas remis d'avoir vu ce petit chien faire la manche.

NB : Dorénavant ma vie va se compliquer, si je croise dans la rue un truc au bout d'une laisse qui ressemble à Flike, je vais entendre la musique d'Alessandro Cicognini et fondre en larmes.

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Lucky" ça prend son temps comme une tortue terrestre prénommée Roosevelt ou un vieil homme qui aurait perdu sa tondeuse à gazon (Tiens tiens déjà du Lynch)

"Lucky" c'est libre comme des verres sirotés pour refaire le monde ou un vieil homme qui fume et fait des mots croisés

"Lucky" c'est beau et déchirant comme une chanson de Johnny Cash ou... un sourire de Harry Dean Stanton...

https://youtu.be/JWnUItw1ElU

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C'est en voyant un tel film que je me rappelle pourquoi j'aime tant l'animation, pour le grand écart qu'elle propose, parce qu'à côté de la folie furieuse d'une famille d'Indestructibles, une petite grand-mère parvient à se frayer un chemin, à nous déchirer le cœur par sa simplicité et ses silences.

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Stéphane Brizé porte-voix de ceux qui n'ont pas les mots...

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Pixar survole le monde de l'animation...

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A peine sorti de ce "Mikey and Nicky" impossible de ne pas retourner voir Cassavetes, avec même une double dose (acteur et réalisateur) et d'enfin revoir cet "Opening Night".

Pour une fois mes souvenirs ne m'avaient pas trop trompé : je me rappelais de quelques longueurs, d'un scénario qui accroche parfois, mais surtout de cette mise en abyme qui fait mal au bide, de cette incroyable description de l'actrice en tant qu'objet de désir, et de non-désir, et donc en prolongement de l'émotion que procure la manière dont John filmait Gena, de cette impossibilité à faire de sa vie autre chose qu'un plateau de théâtre, et inversement.

Et ça je m'en souvenais moins, à quel point les captations de la pièce étaient longues, à quel point, et c'est là son génie, Cassavetes se servait de la durée pour épuiser ses acteurs et donc ses spectateurs, pour les (nous) amener à un état de quasi-transe.

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Clairement la surprise à laquelle je ne m'attendais pas parmi les sorties de ce mercredi. J'allais voir un objet facile, conçu pour faire pleurer dans les chaumières, avec un Anthony Hopkins en mode bulldozer comme trop souvent.

Et je me suis retrouvé face à un premier film intelligent, fin, complexe, un huis-clos à la fois suffocant et bouleversant, à l'image de sa BO, avec un acteur qui EST ce père perdu.

Je pensais voir du théâtre filmé, ce qui aurait été logique de la part de Florian Zeller, mais celui-ci a tout compris à ce qu'est le cinéma, soit une question de point de vue. Point de vue du spectateur et point de vue des personnages, qui selon leur sensibilité et leur maîtrise de la situation, des émotions, peuvent décider (ou non) ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas.

"The Father" nous place à hauteur de sénilité, nous donne le choix entre regarder du drame ou du fantastique. Qu'importe le genre, ce sera de toute façon un sacré film dont on ne sort pas indemne.

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A la fois inventif, tendre, émouvant, le tout teinté d'un humour subtil, ce court met en scène un personnage que l'on pourra rapprocher du Carl Fredricksen de "Là-haut"...

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Micky ou la noblesse du doc nordique...

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Aride, austère, battant probablement le record du nombre de plans fixes dans un même film en 2017, ce "rire de Madame Lin" se rapproche bien souvent du documentaire en terme de structure formelle. On pourra être ennuyé ou captivé, et perso si la première solution m'a dragué pendant la première moitié, j'ai fini par céder à la seconde.

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Ils sont forts ces vieux rosbeefs !!!

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Payne ne va pas révolutionner l'histoire du cinéma mais...