Les meilleurs jeux en monde ouvert selon Kelemvor

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N°1 sans l'ombre d'une hésitation, Red Dead Redemption (et son stand alone inclus dans la GOTY) est l'une des plus grosses baffes que je me suis prise sur PlayStation 3. L'histoire, l'ambiance, les quêtes annexes, le multijoueur, les parties de poker, le trip "The Walking Dead"... Tout y est et offre la promesse de plusieurs dizaines d'heures de plaisir. Un must have de la septième génération de console.

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Le GTA le plus complet qui soit. Techniquement impressionnant pour un jeu PlayStation 3 (seulement un très gros temps de chargement au lancement du soft), les quêtes annexes sont aussi passionnantes que nombreuses, tout comme le multijoueur est particulièrement bien soigné. De plus, certains moments risquent d'entrer dans l'Histoire du jeu vidéo. Jouez-y, vous comprendrez de quoi je parle.

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Bethesda simplifie la formule des Elder Scrolls en matière de leveling et ce n'est pas un mal. Fini les moments bien chiants à sauter sur place, à jeter des sorts dans le vent et à nager pour optimiser d'une certaine manière le passage au niveau supérieur. Skyrim se recentre davantage sur l'exploration, la découverte de nouveaux horizons et la chasse aux dragons. Et c'est tant mieux.

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Un Batman très critiqué pour son aspect "actionner" et pourtant je le trouve meilleur qu'Arkham City. Pas d'un point de vue technique car Origins est truffé de bugs. Mais d'un point de vue scénaristique, il lui est clairement supérieur. Tout comme les combats de boss sont bien plus mémorables ici que dans City où seul le combat contre Freeze valait son pesant de cacahuètes.

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Pour moi, Brotherhood est une sorte d'Assassin's Creed 2.5 : il améliore et perfectionne les quelques défauts de l'opus précédent et offre à mon goût la meilleure expérience vécue avec Ezio Auditore. A part un bug sur un trophée, je n'ai quasiment rien à reprocher à cet opus (lire ma critique pour les détails).

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Le jeu le plus long du monde. Sisi. Si vous deviez explorer toutes les régions, faire tous les donjons, terminer toutes les quêtes, vous y seriez encore là, aujourd'hui, près de vingt ans après la sortie de Daggferfall. Et si par hasard vous vouliez vous faire le trip d'explorer la carte d'est en ouest à pied, je vous souhaite de très belles nuits blanches. Et un bon psy.

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Un excellent Batman qui m'a pourtant beaucoup déçu d'un point de vue scénaristique. Certes la fin est monumentale, mais l'intrigue qui sert de fil rouge finit en eau de boudin. Je continue de penser que cet opus est plombé par la cohabitation de deux histoires en une (celle de Strange, celle du Joker), et qu'il aurait mieux valu faire un scénario basé sur une seule trame plutôt que deux.

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Jeu découvert sur le tard (février 2014 pour être précis) car le premier Assassin's Creed m'avait fortement rebuté et ne m'avait pas motivé à découvrir la suite (lire mon test pour comprendre les raisons). Fort heureusement, j'ai passé cette appréhension pour découvrir un opus en tout point supérieur à son aîné.

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Idem qu'AC2, jeu fait sur le tard (sorti en avril 2008, fait en décembre 2012), et même si techniquement GTA IV m'a paru dépassé, le plaisir de parcourir la ville, de découvrir l'histoire et de foutre le dawa en flinguant flics et populace a été intact. Du GTA comme on l'aime, à la fois vaste et rempli de choses à faire.

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Morrowind avait fini par me gonfler à cause de son aspect particulièrement répétitif. Oblivion a réussi à retourner la situation en proposant davantage de variété et de défis tout en proposant une histoire plus passionnante que son prédécesseur. Seul son système de leveling (pour peu que l'on soit comme moi adepte de l'optimisation totale) continue de me gonfler, et il faudra attendre Skyrim pour que les choses changent.