Les meilleurs jeux vidéo de 2009 selon Frakkazak

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Bien qu'elle reprenne les roues de dialogues et choix impactants de Mass Effect, ainsi qu'un énorme travail accompli sur la création d'un univers cohérent et crédible, la nouvelle licence Bioware se démarque par un système de combat tactique très poussé. Une perle de RPG, dommage que la série n'ait jamais réussi à reproduire ce tour de force.

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Le summum de la saga grâce à des scènes marquantes et un gameplay largement perfectionné par rapport au premier volet. Tout ce qui suivra derrière se calquera sur celui-ci sans rien apporter d'autre que de l'innovation graphique. Le blockbuster par excellence de la PS3.

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Enfin un jeu de super-héros pensé comme autre chose qu'une pompe à fric franchisée. Les combats sont brutaux, le ressenti est réel, et Batman peut se mouvoir comme une ombre prédatrice. Merci Rocksteady, qui aura su capitaliser sur le succès de ce premier volet pour nous pondre une suite encore meilleure.

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Sans doute le meilleur épisode de la série depuis le 3, notamment grâce à son mode histoire en beat'em'all qui se prolonge sur une quinzaine d'heures. Un contenu imposant pour une licence phare du jeu de combat, au gameplay toujours aussi accessible mais dur à maitriser.

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Si je me tente souvent au BTA, il est rare que j'y prenne beaucoup de plaisir. C'était le cas pour les anciens God of War, mais j'ai toujours eu du mal avec les DMC ou Metal Gear Rising par exemple, même si j'en reconnais volontiers les qualités.
Chez Bayonetta, j'étais un peu dubitatif au départ, avec tout ce côté japonais over the top qui me déplaît dans la license de Capcom. Et pourtant, j'ai finalement pris beaucoup de plaisir sur le jeu, grâce à un système de combat abordable, progressif, et où les possibilités d'amélioration du joueur sont vite apparentes. Une fois fini l'aventure en mode normal, je m'y suis replongé en mode Hard, prêt à déployer la panoplie de mouvements que j'ai assimilée assez rapidemment. Le gameplay est donc accessible mais profond, ce qui est tout ce que je cherche dans un bon BTA, contrairement à DMC5 par exemple où l'on te balance des centaines de moves directement sans avoir le temps de les digérer.
Reste une DA que je ne trouve pas très affriolante mais qui fait tout de même le taf.

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Capitalisant sur le succès du premier épisode, celui-ci s'offre plus de fluidité, des mécaniques peaufinés et un terrain de jeu toujours plus beau. La pièce maîtresse de la saga (Blackflag exclu, y'a des bateaux).

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LoL a su s'engouffrer dans la brèche laissée ouverte par DOTA pour démocratiser le MOBA auprès des foules. Le jeu est plaisant, sans cesse en renouvellement (à l'époque, aucune idée de ce que ça donne aujourd'hui). Dommage que la communauté soit plutôt toxique.

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De mémoire, ce doit être mon premier jeu "poétique". Une bouffée d'air frais à l'époque pour un concept minimaliste mais qui fonctionne à merveille.

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Pour moi l'apogée des Call of modernes (de ceux que j'ai fait en tout cas, ce qui en fait bien 4 ou 5).Toujours un film de Michael Bay en guise de campagne, et des cartes multis plus ouvertes que le reste de la licence. Des aprems passées dessus avec les potes en LAN.

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Puzzle plateformer sympathique qui prend tout son sens en coop locale.
"Tu la bouge ta caisse?"

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Jeu pas fou qui bénificie tout de même d'un bon travail d'ambiance. Et puis jouer en France, à l'époque, ça valait son pesant de trophées.

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Beat'em all assez générique, si ce n'est pour sa bande son signée RZA, les graphismes en cell-shading propres, la voix de Samuel Jackson, et son système de découpe au fil amusant. Une ambiance cool pour un titre oubliable.

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Si Machinarium a une patte graphique indéniablement splendide, toute de crayonnés gris et rouille, ça pêche un peu au niveau des énigmes proposées. Si certaines sont dans l'esprit le plus traditionnel du point'n'click, beaucoup d'autres font preuve d'un manque d'originalité flagrant puisque ce ne sont que des petits jeux de cahier de vacance (pour adulte hein, j'ai pas dit que c'était facile) : puissance 4, labyrinthe, sokoban, relier les points dans le bon ordre. Etait-ce bien la peine? Reste que le charme du titre est bien là, et sa courte durée empêchera d'arriver à un stade de frustration trop avancé.

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Un "jeu" barré au possible, sans but aucun sinon de manger des trucs devant vous pour grandir, et essayer ensemble d'atteindre la Lune. 'Nuff said.

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J'aurais voulu l'aimer ce jeu, signé Tim Schafer, avec Jack Black et Ozzy Osborne, et qui avait l'ambition de méler action-rpg à jeu de rythme, jeu de bagnole et STR. Seulement aucun des aspects du gameplay ne fonctionne, tout est bancal. Dommage, mais il garde un capital sympathie ne serait-ce que pour sa forme.

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Du sous Monkey Island où l'humour ne fonctionne pas souvent, les graphismes sont laids et les énigmes oubliables.

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Un party game tout ce qu'il y a de plus classique. A sortir à côté de Worms et Fifa.

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Héros insipide, histoire nulle, DA insignifiante.Reste un gameplay passable.

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Un parapluie pour deux

Je l'avais fait à l'époque de sa sortie, en solo : c'est un 5/10
Refait en 2019 en coop, et le jeu est beaucoup plus intéressant, 7/10. Ça reste un nanar avec plus grand chose à voir avec l'ADN RE, mais assez de variété dans les situations et les ennemis pour que ça fonctionne. Et la coop est vraiment bien foutue, pas moyen de réussir certains passages sans communication (certains boss notamment), et les phases où l'on se retrouve séparés rajoutent du piment. Ça me rassure pour le 6 que je vais faire dans les mêmes conditions.

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Les Sims... Je n'y joue pas pendant des années, fantasme sur les possibiltés offertes, puis j'en prend un, y joue quelques jours, et me souvient que c'est quand même super chiant de devoir le faire manger/pisser/dormir/etc...

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Rien de nouveau par rapport aux opus précédents, juste acheté pour renouveller ma tracklist

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Rien de nouveau par rapport aux opus précédents, juste acheté pour renouveler ma tracklist

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Ce remaster du jeu de 2009 est vieillot, comme semblait l'être le jeu initial, et ce tant en termes de gameplay que d'histoire. Si les différentes armes et le renouvellement du bestiaire permettent d'arriver au terme de ces 7-8 heures d'aventure sans trop forcer, on est quand même dans une structure archaïque qui fait pâle figure par rapport à ce que l'on nous proposait déjà en 2009.
Par ailleurs, je ne suis déjà pas un grand fan des films originaux, mais là l'humour est resté bloqué dans les années 80 avec les blagues sur le geek, le rookie, et le personnage de Bill Murray qui semble très mal venu dans l'ère du #metoo. Bref, très très moyen.

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FPS lourdeau à la DA grisâtre dégeulasse. Heureusement qu'il était beau pour son époque.