Les meilleurs jeux vidéo de 2012 selon Frakkazak

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Avec une petite pause entre les deux premiers volets et celui-ci, j'ai replongé dans l'univers de Shepard avec joie pour la conclusion magistrale d'une trilogie qui l'est tout autant. Je pensais me souvenir du jeu, mais au final ce fut une redécouverte totale, amplifiée par l'ajout des DLC que je n'avais jamais touché et qui sont une véritable plus value à l'aventure. Et force est de constater que Mass Effect 3 a gommé beaucoup des défauts du 2 (qui était déjà une grosse avancée par rapport au premier), rendant les phases d'explorations spatiales moins chronophages et redondantes, l'action durant les missions est également plus poussée, tout en réduisant le nombre d'arènes à s'enfiler pour avancer (ce qui est une bénédiction lorsque l'on joue en Insanity).
Niveau histoire, c'est un plaisir de voir chacune de nos interactions dans les volets précédents passées au crible, ne serait-ce que par un mail ici ou une ligne de dialogue là, cela contribuant grandement au sentiment d'immersion totale que l'on ressent jusqu'à la dernière ligne droite.
Je ferais également une mention spéciale au DLC Citadelle qui est une véritable lettre d'amour aux fans et qui offre de bonnes tranches de rigolades (cette soirée avec tout le monde, quel enchantement).
Terminer le jeu est évidemment bien difficile tant il laisse un vide une fois le générique déroulé. Un vide qu'il est difficle à combler tant je peine à trouver une aventure immersive et épique de cette trempe que je n'ai pas déjà fait. Je me suis bien pris Dragon Age Inquisition à 5€ que je lancerais après mes vacances, mais je sais déjà qu'il n'a pas la carrure cette trilogie fantastique.

Tous les espoirs sont désormais portés sur la suite Mass Effect annoncée l'année dernière, mais difficile de se hyper vu le palmarès de Bioware depuis la trilogie space-opera, cumulant jeux sympathiques et échecs totaux. Ce ME5 sera soit le jeu qui relancera le studio vers le haut, soit celui qui le détruira pour de bon.

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Choc émotionnel que ce Telltale qui a fait connaître le studio auprès du public. Dommage qu'un deuxième playthrough ait ruiné la magie, et pour celui-ci, et pour tous ceux à venir.

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Une véritable surprise à l'époque que cet immersive sim au level design imparable et et la DA maîtrisée.

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Musique envoutante, décors sublimes, glisse magique... Le jeu qui a inspiré toute une floppée d'ersatz plus ou moins inspirés.

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Une extension qui a beaucoup changé la donne sur un jeu que j'ai retourné dans tous les sens.

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Après la déconvenue partielle de Birth By Sleep, j'étais un peu moins chaud pour ce nouvel opus. Mais finalement, j'ai adoré. Pourtant ça partait mal, avec ce système de deck de compétence repris de BBS que je n'aimais pas. Heureusement, la mécanique a été assez retouchée pour la rendre intéressante. On rajoute par dessus le système de flow qui vient dynamiser l'ensemble des combats et déplacements, le système des Spirits qui réadapte les lvl up/fusions des compétences de BBS et donne une petite touche Pokémon au jeu, des mondes beaucoup plus inspirés avec un vrai effort sur la mise en scène, la narration et les variations entre les runs parallèles de Sora et Riku, et on a un sacré coup de coeur. Même les musiques ne sont plus en mode repeat (le thème de Traverse Town à même été remanié!).
Bref, j'ai adoré le gameplay, sauf pour un point qui, s'il ne m'a pas dérangé outre mesure, s'est avéré totalement inutile : le système de drop. Sur le papier, ça m'aurait fait chier de lâcher mon perso parcequ'un timer me l'impose. Dans les faits, vue la facilité d'obtention et de consommation des potions Drop-me-not, ça ne m'est jamais arrivé.
D'un point de vue scénar, on comble des trous, on raccroche des wagons, on balance de nouveaux concepts, mais on intrigue toujours autant :du KH pur jus donc.

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Un jeu décrié à sa sortie car buggué comme pas possible et moche comme un pou. Seulement, une fois patché, on a un jeu moche mais aux mécaniques intéréssantes, et qui brille surtout par son histoire qui te prend aux tripes. Laissez lui une chance si vous êtes ne serait-ce qu'intrigué par l'univers de Game of Thrones : GRR Martin a bossé dessus !
Et puis c'est Cyanide : ils font plein de jeux pas fous, mais qui ont toujours des bonnes idées et un univers travaillé. J'ai un gros capital sympathie pour eux.

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Le retour de Max Payne, carhallo ! Nettement moins bons que les deux premiers volets, on a quand même le droit à une mouture propre où les cliquetis des douilles sur le sol fait écho aux cervelles qui éclaboussent les murs, le tout en slo-mo. John Woo au Brésil en somme.

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CS ne change pas la formule mais la réactualise. Si vous en avez marre de Source/1.6, mettez vous à la page, sinon c'est la même, et c'est cool.

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Electro dingue, défouloir sanglant, gameplay sous speed. Vive les 80s.

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Ink achevé

Conte alliant parfaitement sa narration et son game design, et qui arrive sans peine à renouveler l'intérêt sur sa courte durée. Rétrospectivement, on aurait pu voir arriver Edith Finch. A parcourir détendu, pour profiter de son originalité.

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Le jeu marquait pour Vaas, et malgré ses similitudes avec AC, il avait une patte propre. C'est malheureusement lui qui a fourni à Ubisoft (et à bien d'autres) le mètre étalon de l'open world.

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Bon petit point'n'click avec des énigmes abordables, une DA sympathique, un humour fonctionnel et une histoire qui me donnera tout de même envie de m'atteler à la suite un jour ou l'autre. Si le jeu ne relève jamais du génie, il est également exempt de défauts sautant aux yeux, donc je ne peux que le conseiller aux avides du genre.

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L'épisode fanservice pour le joueur de Tekken assidu que je suis. Tout le roster est là pour un gameplay toujours aussi accessible et technique à la fois.

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Meilleur que l'épisode XIII-1, moins bon que le XIII-3, l'idée de voyage temporel est assez bien exploité. Et la fin m'a bien fait rire.

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Un TPS mou du genou qui ne vaut que pour son message pas toujours subtil (revoyez Apocalypse Now : c'est mieux foutu, c'est plus intéressant et c'est moins long).

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Mouais, j'ai trouvé ce Dust assez chiche en contenu (bestiaire et attaques principalement), pas très beau même si techniquement ok (les zones n'ont aucun caractère, c'est du vu et revu) et assez brouillon lors des gros combats (la dernière zone où on a des alliés, je ne voyais strictement rien, je me contentais de bourriner et sauter). Sa structure semi metroid est également mal exploitée, les retours dans les zones ne débloquant rien d'autres que de petits morceaux de map déconnectés de tout le reste, même au sein d'un niveau (donc pas d'imbrication dans le level design). Ca se parcoure sans déplaisir, mais on ne prend clairement pas son pied.

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Le début de la fin pour les AC, la formule commence à rendre nauséeux, on pourra juste remercier cet épisode d'avoir initié les phases navales de Blackflag.

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J'ai pas de soucis à ce qu'on pompe Smash Bros, après tout CTR faisait tout mieux que Mario Kart (Si si, je vous assure), mais les conditions de victoire sont absurdes et cassent tout le jeu.

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Pourquoi abandonner sa singularité pour essayer de se fondre dans le moule? Au moins cet épisode aura remis Io Interactive dans le droit chemin pour l'épisode 2016.

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Alors que le premier Darksiders était très sympathique, celui est mou et moche, d'une fadeur tout à fait oubliable. Jamais fini, et c'est pas la Deathinitive Edition offerte sur PS4 qui me fera le relancer.