Les meilleurs jeux vidéo de 2014 selon khms

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Le jeu. LE JEU !!!!!!!!!

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La véritable surprise de l'année. Un puzzle game accrocheur sur le thème des lignes de métro qu'il faut agencer de manière à avoir le meilleur trafic. Une superbe courbe de progression, instantanément fun, et à la difficulté rarement frustrante. Et en plus ça se passe dans des vrais villes qui toutes vitalisent le gameplay à leur façon ! Coup de cœur, vivement la version finale !

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Kentucky Route Zero n'a pas d'équivalent à ma connaissance dans le jeu vidéo. C'est un point'n'click racé, beau et avec une mise en scène absolument incroyable. Souvent ardu à comprendre, c'est un jeu qui demande au joueur d'entrer dans un état de béatitude et d'accepter mollassonnement sans se poser de questions les différents évènements poétiques du jeu. Cet Acte 3 recèle à mon sens les deux meilleurs scènes de la série pour le moment. Mais ce morcellement est agaçant, surtout que le temps de développement d'un épisode est extrêmement long, c'est un peu décourageant.

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Très décrié à sa sortie, je n'ai pourtant pas hésité à acheter tête baissée Nidhogg et je ne l'ai pas regretté. Les combats sont nerveux, les musiques accrocheuses et avec quelques potes, on multiplie vite les parties. Il a même supplanté Street Fighter IV dans nos meilleurs jeux de soirée à un moment, c'est dire !

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Une belle aventure pessimiste à l'enrobage sublime et aux mécaniques simples et efficaces... Mais pas spécialement jouissif. C'est un T-RPG très basique à l'enrobage parfait.

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Forcément. Presque une centaine d'heures malgré une maniabilité inconfortable, il se devait d'être là. Respect, je n'en attendais pas tant.

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Un très très bon Mario Kart, mais qui ne fait que se contenter d'être un Mario Kart...

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Après avoir torpillé en règle la version Flash de Luftrausers avec quelques amis, j'ai rapidement craqué pour la version complète. Bien qu'elle s'avère tout aussi fun, on en fait quand même vite le tour malheureusement. Quand même bien chouette.

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Out There est un des jeux qui m'a le plus dépaysé alors que j'y ai joué sur un minuscule écran. Les mécaniques sont accrocheuses, l'écriture top et chaque partie en annonce une autre. Je crois un peu au jeu sur smartphone grâce à lui désormais.

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J'étais un peu vert d'avoir attendu tant de temps pour un "simple" jeu d'aventure, qui en plus allait être divisé par deux, mais une fois le jeu lancé, impossible de décrocher jusqu'à la fin. Les décors sont magnifiques, les musiques et les doublages parfaits, l'histoire prenante et l'humour plein de goût. À tel point que maintenant je regrette qu'il n'y ait pas un Acte 3 de prévu.

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Respect pour Monument Valley, qui réussit le pari de faire un jeu intimiste sur smartphones et tablettes. Le gameplay autour des escaliers d'Escher est fascinant et chaque niveau offre son lot d'émerveillement. Dommage cependant que la difficulté soit aussi réduite, l'aventure en est moins intense.

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Jouer un poulpe qui essaie de se faire passer pour un humain avec un gameplay hasardeux était une franche bonne idée, et l'assurance de quelques bonnes rigolades. Mais bon, ça tourne vite en rond et lorsque bugs et imprécisions viennent ternir l'expérience, on range le jeu au fond de sa bibliothèque Steam. Pour ne plus jamais y retoucher.

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Un jeu d'aventure entre le film noir et The Shield, à l'atmosphère sombre et étouffante. On incarne tout à tour un inspecteur usé à la moelle et un ex-indic obligé de se remettre au boulot. La direction artistique est terrible et la maniabilité lourde au possible, mais les séquences d'action, avec QTE à la souris, sont plutôt réussis. L'histoire a bien du mal à décoller, mais le cliffhanger à la fin de l'épisode est plutôt bien géré, même si tout à fait prévisible. Ce qui compte c'est que j'avais quand même envie de voir la suite, donc mission réussie j'imagine.

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Stranded propose un voyage intimiste d'un homme perdu sur une planète, condamné à mourir lorsque ses réserves d'oxygène se videront. La note d'intention est louable et m'a suffisamment fait saliver pour que j'achète le jeu sur un coup de tête. Et puis on se rend compte que la jouabilité est très crispante et rend l'expérience terne, de même que la zone de jeu est très très réduite. Dommage, car la direction artistique est chouette.

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Un héros de jeu vidéo moche meurt au combat. Pour échapper à l'effacement de ses données, il va se battre et traverser des lieux de sa vie, hagard, pourchassé par des monstres moches. Pff. Le pixel art en 3D est à vomir et le jeu extrêmement prétentieux. Sa prose poétique n'est qu'esbrouffe et à vrai dire, on ne comprend rien à ce qui se passe, ni ce que l'on doit faire. Le tout avec de pauvres musiques tournant rapidement en boucle. Lorsque je me suis fait effacé au troisième niveau, causant un game over total et l'obligation de recommencer le jeu du début, je me suis empressé de désinstaller le jeu après un Alt+F4 salvateur. Vraiment non.

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D'une part c'est mauvais mais en plus ça concentre toutes les tares que je déteste dans les blockbusters modernes, en pire. Héros minable, histoire compliquée et nulle, fusillades ennuyeuses et incohérentes, conduite nulle, musique inexistante, plein de choses affreusement inintéressantes à faire dans un monde qu'on n'a pas envie d'explorer. Aux oubliettes.

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Récupéré depuis un Humble Bundle, j'étais curieux de voir ce que pouvait donner ce jeu représentant la découverte d'un monde par un cube. Bon, ça commence très mal puisque la direction artistique avec ses couleurs flashy dégueu et la narration avec sa prose poétique minable m'ont instantanément donné envie de quitter ce jeu. Mais bon, autant essayer.

On part donc à l'exploration d'un monde moche rempli de collectibles et de PNJ intéressant. Un peu au hasard, on acquiert des super pouvoirs pour industrialiser la nature et colorer le monde. Enfin voilà, pourquoi aller plus loin : ça n'a aucun sens. J'ai eu beau parcourir la map dans son entièreté, colorer plein de cases, ramasser plein d'insectes et faire plein d'immeubles moches partout, tout cela ne servait à rien.

Toutefois, il s'agit peut-être au fond de l'intention du jeu. N'avoir aucun sens. Se balader sans but et colorer des cases. Doppler Interactive fait une critique du jeu vidéo à sa manière, fustigeant les mécaniques de gameplay paresseuses et ennuyeuses pour nous laisser là, hagard, fatigué, lassé. Mais bon voilà, c'est prétentieux à en mourir et surtout bien mal vu d'un jeu aussi redondant et vide d'essayer de faire la morale aux autres. Une heure de jeu extrêmement chiante, donc.