Les meilleurs jeux vidéo de 2017 selon Akuma Link

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La quintessence du jeu vidéo japonais : visual novel, dating simulator, système de combat au tour par tour. Cela aurait pu être un manga, mais ils ont préféré faire un grand jeu. Un seul défaut, les dialogues laissent parfois à désirer, mais cela a toujours été le point faible des jeux japonais. Un jeu à faire absolument. Persona 5 sera pendant quelques années la référence du jeu vidéo japonais ! Que ça soit la musique (d'influence acid jazz) ou l'interface du jeu, ce Persona 5 est d'une qualité exemplaire sur tous les tableaux. Cent heures de bonheur. Expérience à faire une fois dans sa vie : la formule Persona à son maximum !

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Si BioShock c'est un System Shock édulcoré, alors Prey c'est un System Shock augmenté. La touche Arkane fait des miracles, à la croisée de l'immersive sim et du Metroidvania. Plus je me perds dans la station Talos I, plus j'aime ce jeu. De la progression à l'armement, des mécaniques RPG aux éléments survival horror, aux missions et à l'approche jeu de réflexion, Prey a tout pour plaire. Quelques reproches : les pouvoirs Typhon pas assez exploités par rapport à l'environnement, l'absence de new game + qui aurait permis d'expérimenter une fois les neuromods acquis pour refaire le jeu en difficulté cauchemars et la fin principale du jeu trop « check list » ce qui rend le backtracking agaçant. Dommage que le dernier "chapitre" soit mal amené, sinon ça aurait été 9/10.

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Ce jeu n'a pas compris à ce qu'est une courbe de difficulté, car la plupart des boss sont pétés en terme d'équilibrage. Je me retrouve bloqué au cinquième boss, qui donne accès à un pouvoir spécial nécessaire pour poursuivre le jeu, donc je suis totalement coincé… C'est vraiment dommage car Hollow Knight pourrait être un indispensable du jeu vidéo, mais finalement il restera un jeu fini uniquement par les PGM. Tout était pourtant parfait : sound design, level design, gameplay, soundtrack… mais il a fallu que les développeurs prennent exemple sur Dark Souls… sans même comprendre leur principale influence ! Je ne cesse de le répéter : Dark Souls n'est pas un jeu difficile, From Software a compris ce qu'est une putain de courbe de difficulté et les mécaniques RPG permettent de pallier au manque de skill des joueurs qui ne sont pas chaud de perdre 5h pour maitriser un boss. Finalement, ce jeu qui avait tout pour plaire et être génial a fini par n'être que frustration. Dommage, j'aurais voulu le finir.

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Est-ce que vous sur-kiffez l'ambiance post-apo de la série Fallout ? Vous avez toujours voulu jouer à un jeu de simulation basée sur l'univers de Mad Max ? Et quand vous jouez à Minecraft, vous êtes du genre aventurier survivaliste ? Alors The Long Dark risque de devenir l'un de vos jeux préférés, je le crains… C'est la première fois que j'ai envie d'acheter des goodies (en fait, ça doit être la seconde fois, car j'ai voulu m'offrir un bonnet Don't Starve, il y a un pattern survivaliste…), pour vous dire à quel point j'ai ce jeu dans la boite crânienne… The Long Dark, c'est un roman de H.-D. Thoreau qui aurait mal tourné, un film de S.-F. onirique où l'ennemi n'est ni zombie ni E.T., un tableau impressionniste apocalyptique, où tous les hommes trépassent face à fucking Mother Nature! Le jeu aurait mérité 9 s'il n'y avait pas un mode histoire bancal… Dommage…

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Ce n'est pas un jeu vidéo, c'est une œuvre totale. De l'interface en passant par la narration, des personnages à la musique, tout tient ensemble ! C'est un jeu d'auteur, à faire une fois dans sa vie, jusqu'au bout. Des partis pris audacieux pour une œuvre sans concession qui déroutera certains, mais sublime le jeu vidéo par sa maitrise et son propos. Les deux défauts sont des dialogues pas toujours au top et un système de combat qui méritait d'être plus profond. Ok, Platinum Games fait le taff, mais j'en attendais plus de leur part. Dommage…

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Un jeu de rôle papier comme si vous y étiez. Et surtout, le système de combat au tour par tour, c'est décidément mieux que le sexe. Que cela soit écrit. Une direction artistique formidable, l'humour à la Terry Pratchett comme on n'en fait hélas plus, cela fourmille d'histoire dans tous les sens, toujours aussi bien écrit, mieux ! je dirais même, car cette suite de Divinity se veut beaucoup plus sombre et mature. Défauts : une courbe de difficulté toujours mal gérée, trop facile, équilibrage dans les choux, des bugs et dernière acte à revoir. Attendez la "Enhanced Edition" si vous voulez jouer au meilleur RPG contemporain, ou appréciez-le dès maintenant, avec ces quelques imperfections. GG les belges.

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La suite du Civ-like spatial signée par les p'tits frenchies d'Amplitude Studios. Je ne sais pas si c'est moi, mais il me semble que le chéquier SEGA réussit pas mal à nos français car j'ai rarement vu un jeu vidéo aussi soigné. L'interface du jeu, par exemple, on dirait qu'ils y ont passé toute une vie à la peaufiner ! Cela fait plaisir de revenir sur Endless Space, que j'avais délaissé pour le petit frère Endless Legend. Seul point négatif, je ne trouve pas que cette suite apporte de bouleversements par rapport au précédent. Toujours excellent, pas innovant.

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XCOM 2.5. Un contenu supplémentaire de fou, DLC qui tient plus de la grosse de la grosse extension. Il mérite son prix. À recommander uniquement à ceux qui ont retourné XCOM 2 dans tous les sens. Une extension très généreuse !

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Je ne l'attendais pas spécialement, j'avais eu ma dose de HearthStone. Le plus drôle, amateur de jeux de cartes, je n'avais pas beaucoup joué à gwent sur The Witcher 3. Mais l'erreur fatale est enfin réparée, car je n'avais plus autant pris plaisir avec un jeu de cartes depuis ma découverte de Magic et du Poker. Bluff et stratégie sont de la partie, il va falloir réapprendre à compter si vous voulez l'emporter sur votre adversaire ! Que l'on gagne ou non, une partie de plaisir !

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Mais tellement ! J'espère que ce jeu aura du succès ! C'est le Hearthstone du RTS ! Je crois que les dév ont parlé de popcorn RTS, j'aime bien l'expression ! Vous n'avez pas le temps de jouer plus d'une heure la même partie ? Tooth & Tail, ce sont des parties de cinq à quinze minutes ! Et vous ne voulez pas vous prendre la tête avec la micro-gestion ? Cela tombe bien, Tooth & Tail c'est plus de « stratégie » pour moins de gestion. C'est la première fois depuis Offworld qu'un jeu tente de réinventer le RTS, de le rendre plus accessible, sans passer par le placébo en mode jeu d'action que sont les MOBA. La musique déchire, la direction artistique est très sympa, bref, ce jeu m'a réconcilié avec les RTS.

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Une histoire sympathique, un système de combat aguicheur qui fait le taff et une grosse production visuellement époustouflante, oui, nous sommes bien en face d'un grand moment de divertissement, n'en déplaisent aux pleureurs, à celles et ceux qui ne veulent pas reconnaitre Horizon pour ce qu'il est : une putain de claque visuelle qui envoie du steak, un gameplay aux petits oignons pour divertir petits et grands, joueurs occasionnels ou vieux poilus ! Horizon, c'est le Pirates des Caraïbes du jeu vidéo. Posé dans le canapé, on se détend.

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Arkane, encore. Cette fois-ci, c'est le studio français qui s'y colle. La Mort de l'Outsider vient cloturer une série qui aurait mérité d'être une trilogie, si les ventes avaient été au rendez-vous… Peut-on regretter qu'il soit vendu 30€ ?, alors qu'il est trouvable pour 20€ dans le commerce et qu'un DLC est souvent vendu à 15€ ? Or, ce standalone a le mérite de pouvoir se jouer sans posséder Dishonored 2, et cela tombait bien, car j'avais revendu le mien en occasion… On regrettera toutefois qu'il n'y ait pas de ng+ et que le « jeu original + » ne comporte que trois pouvoirs de Dishonored 2 et ne soit pas très intéressant. Un peu court, aussi bien en durée de vie sur le premier run qu'en rejouabilité. Ce standalone m'aura surtout donné envie de rejouer aux Dishonored 1 et 2.

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Une aventure narrative à la Blade Runner ? Avec Rutger Hauer dans le rôle principal ? C'est une sorte de fantasme ou quoi !? Je ne suis pas trop fan des walking simulator, et là, ils ont su m'appâter avec leur ambiance cyberpunk.

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Ça c'est ce qu'on peut appeler du vrai remastered ! Wonder Boy entièrement refait, des graphismes à la musique, en passant par des éléments techniques comme la hitbox de certains ennemis. Pour le reste : le même jeu, en mieux ! On aimerait voir des jeux remasterisés comme ça plus souvent. Une leçon !

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Pas pire que le premier, mais pas beaucoup mieux. Ok, l'ambiance totalement déjantée, le KKK et nos camarades nazis sont de la partie, une méchante que je trouve pas crédible pour un sou… Faut aimer l'humour South Park, sans le talent d'écriture des deux gugusses. Je suis déjà pas fan des FPS, voyez-vous. Sur ce coup, je pense qu'ils auraient eu tout à gagner à se la jouer open world, et là encore, c'est un type pas fan d'open world qui vous le dit… Je ne me suis p'être pas remis de la claque qu'a été Prey, hum, ou j'ai p'être pas d'humour ?

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Je suis passé à côté… On m'avait vendu un Dark Souls like, je me suis retrouvé face à un beat'em all. Il y a un malentendu… Si le marketing du jeu m'avait pas vanté son inspiration Dark Souls, je n'aurais pas passé mon temps à comparer tout ce qui n'allait pas face à son illustre voisin de chez From Software… C'est couloirdesque au possible, les couleurs sont ternes, les mobs y sont répétitifs, les boss sont des sacs à PV, le level design est poussiéreux… J'y ai pris un peu plaisir, mais le plus souvent, j'ai ressenti de la déception et de la frustration…

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J'aime beaucoup les jeux vidéo japonais, mais là, je ne comprends pas la hype. Ce jeu est archaïque. L'interface et les combats sentent la PS2 et les mini jeux me rappellent les heures sombres de GTA. C'est la première fois que je joue à un Yakuza, je pense que cela sera la dernière, car je n'ai pas compris le délire… Comme GTA, ce jeu veut tout faire au risque de faire tout mal. L'expérience de jeu y est très rétro, ce qui laisse dubitatif pour un jeu sorti en 2015 au pays du Soleil Levant. Yakuza, c'est un peu l'école de tout ce qu'il ne faut plus faire…