Les meilleurs livres japonais selon Kaptain-Kharma

Annotation :

Un orage
à chaque éclair
le monde est meilleur

Annotation :

Voyageur
Ainsi m'appelera-t-on
Première bruine

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Excellent concept mais dieu que c'est looooooong. Les 4000 retournements de situation sont expliqués en loooooongueur, chaque perso fait son reveal de manière looooooongue. Même le concept des livres dans le livre est looooong. En fait il y a des trucs qu'on comprend vite mais pour donner un air solennel au tout Yumeno détaille tout. Et le héros ne fait que ressentir les mêmes émotions tout du looooong sauf qu'il les décrit à chaque fois sur des paragraphes et des paragraphes. Les dialogues sont des monologues avec juste le (anti)héros/criminel/victime(?) qui réagit par 3 petits... non 8 petits points. Même les points de suspension sont looooongs. Vraiment dommage car on a un high concept qui retourne pas mal le thriller habituel (surtout qu'on est bien looooongtemps avant l'overdose) mais trop de digression. Et as usual comme beaucoup de livres de l'époque que je n'ai pas pu rentrer dans le top du coup, les écrivains japonais était bien misos. Ici on utilise carrément le concept principal de l'hérédité psychologique pour dire que les femmes rêvent de se faire tuer. Humpf.

Annotation :

Banale histoire d'une fan d'idol avec un petit plot twist. Malheureusement celui-ci est très peu exploité et au final très extérieur à l'héroïne. Elle n'en a que foutre, elle ne change pas d'un iota son avis sur la question et le roman ne réfléchit que très peu sur la question. La quatrième de couverture laisse entendre un peu plus de réflexion sur le sujet et au final c'est juste des commentaires de haters sur un mec violent. Dommage dommage il y avait moyen d'écrire un truc un peu fou à la Satoshi Kon mais au moins la lecture est rapide.

Annotation :

Toujours un kink poème japonais sur les saisons, le reste un peu chiant.

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Avec quand même un rapport ultra problématique travail. Y a une meuf qui se fait rétrograder pour s'occuper de son gamin mais elle veut à tout prix revenir au top (et donc on fout la gamine en garde h24 s'il le faut), un chômeur qui estime qu'il est la fange de la société, un mec qui veut cumuler deux jobs et ne plus penser à la farniente et un retraité qui a décalé de 5 ans (!) parce qu'il ne conçoit pas de ne plus travailler. Alors oui c'est sociétale mais justement que la littérature et donc l'art ne puisse pas faire changer les choses ou au moins les mentalités en 2020 ça reste chaud. La fascination pour les gens qui entreprennent des choses peut être mignonne à certains moments et malsaines à d'autres (mais je crois que j'ai du mal avec la littérature jap en général). Et puis la "grosse dame" a le droit à 5 métaphores pas ouf.