Les meilleurs livres sur l'histoire du cinéma selon Kaptain-Kharma

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Ça manque quand même grandement de photos ne serait-ce que pour illustrer des films emblématiques (surtout quand on voit celle à la toute fin).

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Intéressant et plein de chouettes anecdotes (l'autrice d'oublie pas d'épingler les manquements de ces héroïnes du cinéma) on désolera quelques coquilles, l'absence d'écriture inclusive (oscar du meilleur REALISATEUR c'est quand même débile pour un bouquin qui veut montrer que les femmes font aussi bien) et le choix des photos pour certaines égéries qui n'ont pas le droit de vieillir (parce que oui B B on sait qu'elle a été une déesse mais vu qu'on parle aussi de sa carrière anti spéciste ce serait ptêt bien de la montrer actuellement.

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Un brin daté en a peine 10 ans le livre passe forcemment à côté de la révolution des plates-formes de streaming qui a encore changé notre vision d'un cinéma numérique. Ou digital. Ou peut importe tellement le livre s'emporte dans des considérations linguistiques parfois pour abuser de jeux de mots involontaires pourtant bien volontaires. Oui les expressions ne veulent plus rien dire mais beaucoup de pages sont quand même considérés à des éclaircissements sur des termes alors que le livre passe à côté de la dimension extrêmemement bourgeoise du point de vue pessimiste qui voit le cinéma comme uniquement le fait d'être dans une salle obscure pour un film argentique. Parce que oui le numérique à ouvert cet art à des cinéastes qui n'étaient pas des enfants de et oui le magnétoscope ou les dvd ont permis à des populations moins aisées de pouvoir bénéficier de grands classiques. Les auteurs ne font pas partie de cette pensée jusqu'au boutiste mais un brin de critique sur cette vision aurait été bienvenue. Et purée même dans un bouquin sur le ciné je n'évite pas un chapitre entier sur CE GÉNIE DE HERGÉ OMG LA LIGNE CLAIRE TROP BIEN. Surtout pour défendre le film en 3d de manière malhabile mais c'est un autre débat. Le livre reste cool mais à récrire en 2024.

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Beaucoup, beaucoup de Ghibli et Myasaki, dommage pour le reste même si il y a de bonnes découvertes mais la page sur les films expérimentaux par exemple est rachitique quand on sait tout ce qui peut sortir maintenant. Un livre avant tout pour celleux qui ne s'y connaissent pas top en animation japonaise.

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Livre qui possède presque autant de qualités que de défauts. Déjà parce que ce type d'ouvrages "listes" se prend forcément les pieds dans le tapis à vouloir être exhaustif et à en même temps ne pas traiter tout les films pareils. On retrouvera essentiellement des films sur la seconde guerre mondiale, la violence et le sexe. Alors au bout de 80 films l'auteur se répète (jusqu'à certains formules vraiment redondantes, et puis pourquoi ne pas intégrer le nombre de spectateurs dans la présentation de base plutôt qu'en fin de textes ?) et à une présentation chronologique peut-être aurait-il fallu un rangement par thématique. Et puis il y a le choix des photos où le père Guillaume se fait tout de même bien plaisir quand il est question de cul plutôt que de montrer les affiches (sauf quand celles-ci font partie de la polémique). Et enfin le plus gros problème : à vouloir défendre corps et âme chaque film il met de côté quelques détails de tournages un poil gênants. On apprend alors que pour la Horde Sauvage le réal était une ordure (avec ses hémorroïdes à l'air (?!) ou encore que le pauvreeeeee Brando s'est senti vio*** dans le Dernier Tango à Paris alors que Maria Schneider l'a vraiment été. Mais qu'importe car les chefs d'œuvres priment toujours et on se retrouve alors avec le même genre de discours que l'autre naze de président à propos de Depardieu. C'est donc un brin malaisant surtout qu'à côté de ça plein de thématiques passionnantes sont abordées via des polémiques retorses, des plaies qui ne se referment pas dans la conscience collective et des films qui ont fait avancer la société (on retrouvera souvent la droite en contestataire bizarrement).

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Intéressant dans son propos général même si des fois ça suranalyse ou se contredis un peu (on comprend plus quand est-ce qu'on est dans du male gaze mais en fait non). Et surtout tout le passage sur le vi*l qui après avoir vu l'excellente trilogie Youtube de la chaine bichette praxis me laisse un peu pantois.

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Sympathique petite anthologie qui a le mérite d'avouer quand certains films n'ont pas été très éthiques mais du coup on se demande pourquoi les avoir sélectionnés. Un bon éventail de films du monde entier et de genre différents.