Les meilleurs nanars selon DYNASTIA

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Merci Tom pour ce chef-d'oeuvre humaniste.

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Ça valait la peine de se la taper, l'intrigue bidon toute droit sortie des feux de l'amour...
Le début et les trente dernières minutes font de ce thriller au prétexte lesbo un nanar incontournable.

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Un navet, une fois de plus, sauvé par la VF. Transformant ce film de zombies inepte en pièce de Ionesco.
"- Est-ce que t’as encore fait un cauchemar ?
- Ce cauchemar était plus que réel."
"- Ah, ton chien a sans doute eu un infarctus."
"- Que dirais-tu d'un bon verre d'eau fraîche pour faire changement ?"

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Ce n’est pas parce qu’on est une petite personne qu'on a un petit pénis (ne pas confondre avec un nain).

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Film discriminatoire contre les êtres en peluche.

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Dans le top 5 des plus belles histoires d'inceste au cinéma.
Bon, le dynamitage et les tronçonneuses sont des trucs cool, mais je préfère la tatane.
Pallardy semble être en plein déni de tendresse si on en juge par l'entrevue sur le blu-ray, mais les mœurs du bonhomme sont plus que discutables si on se fie à la filmographie.

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La VF sauve le navet

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Un meilleur plan que le 9, car au moins ici on ne se fait pas chier et on extermine l'humanité au début du film.

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Je laisse le fin mot à un critique plus digne,
"Enfin, nous ne savons pas si les gentils battent les méchants, mais qu'importe dans cette fable onirique lorsque la kenyane tout kino. Délaissant les codes du genre pour une approche unique et foudroyante, Jaguar Force Thunderbolt bouleverse, transcende et emporte son spectateur vers une épopée d'une envergure qu'il est loin d'imaginer.

Chef d'œuvre"

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Les comédiens septuagénaires font la révolution sexuelle... jusqu’à ce qu'on retire le film des salles une semaine plus tard.

Une farce nanardesque de haut niveau, Gleason qui a des révélations dans une scène d'acide magique, Groucho qui s'allume un joint et fait du détournement de mineur, Carol Channing, Harry Nilsson, le pote de Bob Lennon, qui joue le drogué censé donner la "cote" à tout ce bon monde.

Les nanars réalises par les grands du cinéma sont (presque) toujours marrants et succulents.

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Très gai, très kitsch, très Xanadu-esque (en mois bien chanté)...

Mais il manque quelque chose... trop sage et posé, la musique et trop generico-variétoche pour être vraiment mémorable, Demy est un grand réalisateur, Legrand est un grand compositeur... Mais ils n'ont pas la "soul", le "RnB", "l'urbain" d'un Claude Francois.

Annotation :

Le moins bon film de Rudy Ray Moore, mais aussi sans doute celui qui frôle de plus près le nanar. Une sorte de Dolemite édulcoré en annonce de service publique sur les méfaits de la drogue. Ironiquement, les horribles effets vidéos kaléidoscopiques, parmi les plus laids possibles, donnent plutôt l'impression d'être dans un trip psychotropique ambulant. Un de ces rares films qui deviennent plus agréables dès qu'ils empirent.