Les meilleurs romans post-apocalyptiques selon amrbis

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Borrowed time and borrowed world and borrowed eyes with which to sorrow it.

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“How we gentle our losses into paler ghosts.”

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Oui c'est cela. Que les étoiles le prennent, que les étoiles l'aspirent, qu'il sombre dans le ciel.

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Je vois la croissance, verte, dense et silencieuse des plantes. Et j'entends le vent et toutes sortes de bruits dans les villes mortes (...)

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Je confie ce manuscrit à l'espace, non dans le dessein d'obtenir du secours, mais pour aider, peut-être, à conjurer l'épouvantable fléau qui menace la race humaine.

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A mesure qu’il marchait seul, Jeevan se sentit disparaître dans le paysage. Il était tout petit, insignifiant, dans son errance le long du rivage. Il ne s’était jamais senti aussi vivant, aussi triste.

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Men go and come, but earth abides.

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Personne n’a jamais eu de bonnes séquences de tremblement de terre jusqu’ici. Tout est sur vidéo. C’est de la merde, ça ne raccorde jamais avec le reste du film. Le public sait tout de suite que c’est bidon, et on doit dépenser une fortune en maquettes et en images numériques. Ce n’est plus le cas. Je tourne en 35 mm. Ce sera la première archive d’images de qualité d’un tremblement de terre cataclysmique. Les séquences seront impérissables.

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Les vivants couraient dans la poussière des morts, comme ils l'avaient toujours fait.

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“To put it coldly, my friends, all the ones who should have died years ago, would have died years ago without beta-blockers, stents, angioplasties, pacemakers, exotic medications, well, now they’re dying all at once.”

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Quand sa gourde fut à sec, il dit : "je te demande pardon, dune de sable, mais je suis venu récupérer ma femme et ma fille. Avec ta permission. Je n’en suis pas à mon premier désert, vois-tu. Je n’en ai pas fini avec ma vie – je dirais que j’en suis à peu près à la moitié."