Les meilleurs westerns selon Mogadishow

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Le Maître et l’Elève flinguent à qui mieux mieux au nom de la liberté. Avec ce western diablement moderne sur le fond mais d’une beauté presque classique sur la forme, QT utilise à nouveau le pouvoir de la fiction pour réparer les injustices historiques.
Dense, épique et cathartique, un instant classic.

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Symphonie pour gâchettes avec un casting majeur. Incroyablement moderne dans sa mise en scène, ses dialogues et ses punchlines.
Le western se divise en deux catégories : ceux de Sergio Leone, et les autres !

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Une déconstruction contemplative et poétique du mythe de l’Ouest Américain portée par la photographie de Deakins, la partition crépusculaire de Brad Pitt et la performance hantée par l’envie et la culpabilité de Casey Affleck.
Une fresque moderne sur la fragilité des héros et l'ombre de ceux qui les idolâtrent.

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Une réflexion sur la pauvreté, l'injustice systémique et les liens familiaux ne œuvre viscérale et profondément humaine, où la violence devient un écho des fractures d'une société en crise.

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Ce crépuscule funèbre d’un groupe d’hommes et d’une époque explore la violence inhérente à l’histoire américaine tout en offrant une réflexion sur la rédemption et la coexistence, se terminant ainsi en superbe western humaniste.
L’un des plus beaux rôles de Christian Bale.

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Un western opératique qui transcende le genre par son ambition et sa profondeur. Porté par une réalisation magistrale, une partition envoûtante d’Ennio Morricone et des performances iconiques, Henry Fonda en tête, Il Était une Fois dans l’Ouest est une réflexion sur la fin d’une ère et, par la même occasion, un hommage crépusculaire à un genre en fin de vie.

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Clint Eastwood revient au western pour déconstruire les mythes du genre avec une lucidité implacable.
Une œuvre sombre et réfléchie qui a redéfini à jamais les codes du genre.

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Ou quand un grand film de samouraïs devient un classique du western, une œuvre culte, vibrante d'énergie et d'héroïsme, portée par un casting d’un charisme insensé et une bande son inoubliable.

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Une galerie de personnages aux petits oignons à commencer par Jeff Bridges et Haylee Stanfield, des dialogues ciselés et une mise en scène raffinée. Du Coen tout craché, humour noir et brutalité compris, avec en plus une pointe de mélancolie.

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Conscient de la fin du genre, « Mon nom est Personne » l’assume parfaitement et s’avance vers celle-ci avec une grande élégance en mêlant burlesque et nostalgie.
Une œuvre singulière, oscillant entre légèreté et gravité, qui célèbre avec tendresse la fin du mythe de l’Ouest et, par la même occasion, du western.