Merci à Nicolas Philibert d'utiliser la médiation audiovisuelle pour nous partager les valeurs humaines avant se concentrer sur la psychose et les médicaments. C'est grâce à elles, aux passions, aux désirs et aux capacités des personnes que l'on réussi à se projeter et à en faire un projet et non en se concentrant uniquement sur les symptômes.

Anais59184
7
Écrit par

Créée

le 4 avr. 2024

Critique lue 94 fois

1 j'aime

Anais59184

Écrit par

Critique lue 94 fois

1

D'autres avis sur La Machine à écrire et autres sources de tracas

Du même critique

Pisse-mémé
Anais59184
7

Une bd qui donne envie de faire pipi !

Qui n'a jamais rêvé d'ouvrir son propre commerce ? C'est ce que Marie, Nora, Camille et Marthe nous prouve, qu'avec de la persévérance, de la volonté, de la solidarité et de la créativité, tout est...

le 2 avr. 2024

1 j'aime

Tremble
Anais59184
6

Je n'oublie pas qui je suis

Ramon est touché par la maladie de Parkinson. Ce roman graphique nous montre comment il fait face à l'annonce du diagnostic, aux rencontres avec les médecins. Il met surtout en avant, malgré...

le 23 avr. 2023

1 j'aime