Dans un premier temps, je tiens à remercier les éditions La joie de lire et également Romain Puértolas, qui m’a permis de relire le roman de Romain que j’avais découverts en août 2012. Les romans de Romain Puértolas tout comme leur auteur sont comme une bonne bouteille de vin, ils se bonifient avec le temps, de petites retouches qui font que le résultat final est toujours exceptionnel.

Cet été, je fus agréablement surpris de trouver dans ma boîte aux lettres, un petit cadeau livresque de Romain Puértolas. Mon premier acte, après avoir bien entendu ouvert mon petit paquet, fut de commencer ma lecture et dès les premières lignes du roman, ma tête fit un petit flash-back quelques cinq ans auparavant, lorsque Romain Puértolas n’était pas encore l’auteur que nous connaissons aujourd’hui, mais bien un agent de police, qui me donnait en main propre un texte intitulé « Le jour où Shakespeare a inventé le Moonwalk » et moi de découvrir un auteur avec une plume et un univers totalement loufoque plein d’une imagination débordante. Cependant, n’allez pas croire que Romain à donné un texte écrit cinq ou six ans, auparavant, a son éditeur, non, le texte a était retravaillé pour donner une perle rare de cette Rentrée Littéraire 2017.

Vous comprendrez donc, qu' « Un détective très très très spécial » ait pour moi une saveur toute particulière et agréable.

Un détective très très très spécial », tellement spécial qu’il faut trois « très » pour définir à Gaspard, jeune homme qui soufre de trisomie 21, que l’on suivra dans une enquête également très très très spéciale, roman tinté de loufoqueries et non dénué d’une certaine tendresse pour ce narrateur auquel je suis certain vous finirez par vous attacher.

Anecdote : Petite anecdote qui n’en n’ai pas une, mais les la fanosphère Puertolesque notera qu’il s’agit du premier roman de Romain Puértolas qui ne commence pas par « Le premier mot que prononça…. »

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