Les crimes de Grindelwald ont le syndrome du Hobbit et les animaux fantastiques font de la figuratio
Deux ans après le premier film qui ravivait la magie du monde d'Harry Potter (qui n'a jamais cessé d'être nourrie depuis la fin de la saga-mère), le deuxième volet des Animaux Fantastiques nous fait vite transplaner de New York à Paris pour entrer