Activité sur Douze douzains de dialogues ou Petites scènes amoureuses

J'aime la belle sensualité de Louÿs, celle qu'il exprime dans Les chansons de Bilitis, Une volupté nouvelle ou La Femme et Le Pantin entre autres, beaucoup moins ses "cochoncetés".

Ah oui c'est assez déconcertant ! Il se trouve que j'avais commencé par ces 'cochoncetés', me plongeant à l'aveugle dans le package -Douze Douzains - Trois filles de leur mère - Manuel de Civilité ; puis je suis tombé par hasard trois ans plus tard sur Aphrodite qui a été un choc esthétique et poëtique ; happé j'ai fait des recherches et ai constaté que cette plume qui m'avait tant plu avec Chrysis & Démétrios était la même que celle des 'cochoncetés' qui m'avait beaucoup marré - sans plus. C...

Merci pour cette analyse intéressante voire pertinente de l'œuvre de Louÿs : tu es très clairvoyant, ce me semble, en allant au-delà des apparences. Cela étant, oui, "l'amour des mots", c'est ce qui m'a séduit chez lui,toutefois ce que j'ai lu de ses "cochoncetés" m'a laissée un peu sur la touche, et je n'aime pas me forcer, même si je reconnais la justesse de tes propos concernant la sexualité de la femme, notamment. En outre, ne l'avait-on pas déjà dans le petit bijou qu'est La Femme et Le Pan...