Âmes disparates
Je crois que De Palma hante mes jours, s'immisce dans mes nuits. Passer d'un Blow Out, d'un Dressed to Kill, ou même d'un Carrie, à Phantom of the Paradise, c'est s'écœurer au cliché, quand on croyait qu'on n'en pouvait déjà plus.Mais le cliché