Activité sur La Charte d'Athènes

M-e-r-c-i ! les choses s'agencent. Pour l'avoir finie-lue, la Charte d'Aalborg désoriente celle d'Athènes en re-donnant le pouvoir à une échelle de la collectivité plus locale — le beau souci du modernisme ? son utopie para-humaine —— et, de fait, son histori-cité : comme un échec à sauver esthétiquement et à protéger d'une reconfiguration nécessaire ; le poids du jour. (Apparemment : les transports publics ne sont même pas efficaces [à Brasilia, en tout cas].)

Dans tout ça, j'en connais encore peu aussi : ça peut provoquer des bêtises proférées sur un ton sûr (je m'en veux un peu encore pour le ton de ma première réplique), mais je trace ma voie (dans ce qui est un domaine où de toute manière on n'est pas seul à décider, bien heureusement - il y a beaucoup de choses qui relèvent de l'expérimentation et de la correction, de l'évolution dynamique, c'est un domaine qui n'a pas de vrais et faux absolus).

On y trouve au moins ce phénomène intéressant : l'amour–haine des habitants qui y vivent (c'est ouïe — à Brasilia & Le Havre, pour exemples).