Pris à contre-pied
L’impression sur ma pellicule corticale de ce film, en fin de séance, m’a laissé dubitatif … c’est souvent mon cas.Cependant, l’écriture a su libérer mes émotions et mes sentiments.Erwan Le Duc, via son personnage d’Étienne (Allez les Verts, allez