Presque 10 ans la série revient avec ce qui me semblerait une série parallèle (quoique...), j'ai débuté en premier cette série et en même temps je me tape celle d'il y'a 10 ans.

Autre chose il se peut qu'il y'est des spoils (un mot un peu trop éloquent pour cette anime)

Tout d'abord pour ce qui est du graphisme, je vais pas m'attardé dessus c'est beau, bien animé avec un chara design qui plaira à tous les aficionados d'anime dans leur globalité (excepté les hater/élistes qui crache sur la création)

Pour ce qui est de la bonde-sons c'est correct sans être transcendant, c'est du classique bien rythmé avec quelques ost remarquable, mais rien qui suscite le petit kikoos en moi à bondir de ma chaise, cependant l'op est magnifique et c'est l'un des points fort de l'anime hélas que le second op ne soit pas si entraînant que son prédécesseur, pour l'end de même le 1er est bien meilleurs que le suivant (bah c'est comme dans les film la 1erè version est la meilleurs: Saw,/Terminator/Matrix)

En gros pour la forme on a un bon animé dans un emballage réussi cependant pour le contenu...humm

Les personnages, ils sont assez nombreux, mais bon pour une série de 25 ep c'est normale....du moins je pense... le problème c'est qui ne sont presque pas développer et en plus leurs personnalités sont rigides voir archétype, ce qui en soit n'est pas une mauvaise chose, mais confondre code et cliché en se retrouve avec un ensemble de persos qui tend du correcte/satisfaisant en passant par le moyen/passable vers la nullité cosmique (bon c'est quelques perso.... 1/3 je pense).

le perso principal est lui sympa dans le genre ou tu n'as pas besoin de prendre un billet d'avion pour tuer son créateur ce qui hélas pas le cas de sasuke (y'avais pas d'autre exemple sur la main) en outre son acolyte féminin (faut bien des fille pour le fan service) est remarquablement bien écrit bon rien de très originale juste qu'elle arrive à ne pas devenir chiante et pour moi cela compte comme un bon point. Groso modo on a là un melting-pots de perso varié mais mal exploité voir fait à la va-vite.

En fin on attaque le point qui fâche; le scénarios, alors les elistes/hipters/2deep4u/hater et weebos en manque de scénario pseudo dramatique pour le festival de films indépendants de Sundance ou encore des baston dantesque.... fuyiez putain FUYIEZ, c'est un anime plus tranche de vie/surnaturel/S-F (et merde du spoil) car pour vous dire la vérité objectivement parlant cette anime est très moyen avec des histoires cousus de fil blanc dans tu prévoir le déroulement (du moins les grande lignes) à des Km avec un humours parfois lourdingue et des scènes de fan service ma fois sympathique, difficile de tout dire sans spoilé. Concrètement un gars amnésique recueillie par une jeune fille et vont rencontré plusieurs péripéties et de personnages dans leurs aventures (un bien grand mot) et la je ne peux m’empêcher de faire la similitude avec la 1ere version Putain même un trisomique aveugle et attardé pourrais faire le rapprochement au vu de comme la série avance (le rythme est saccadé par moment lent parfois pour le début et expéditive vers la fin) c'est cramé comme un pétard que cette série à un lié avec son prédécesseur outre son nom. En plus pour ce qui est des combats bah comment dire....c'est juste....banal excepté parfois les combats au corps-à-corps pour le coup celui de haku (le perso principale), les running gag sont drôle mais je suis un fan de Gintama donc le minimum syndicale pour me laisser un sourire sur les lèvres.

Conclusion: Utawarerumono : Itsuwari no Kamen, est un anime moyen, mais bizarrement je ne sais pas par quelle force je l'aime c'est comme l'anime Hitsugi no Chaika, Jitsu wa Watashi wa ou encore Dagashi Kashi des animes ou tu peux prédire les événements à l'avance mais qu'ils arrivent à te gardé en haleine. c'est comme l'élève moyen dans une classe qui amène des note passable, mais tu es obligé de le soutenir avec ses efforts qu'il fait, même si tu sais que ce dernier va pas devenir Président des USA comme Bernie sanders

Activité sur Le chant des rêves : Le masque de l'imposture