Activité sur Gitarrmongot
On peut reprocher à Ruben Östlund d'avoir fait de sa misanthropie une recette mais pas de manquer de constance, car dès ce premier long il pointait du doigt la bêtise humaine. Sous forme de pastilles, comme il le fera plus brillamment quatre ans après dans "Happy Sweden", il démonte, de manière plus ou moins convaincante, tout et tout le monde. Un petit film fauché qui comme souvent permet de comprendre le pourquoi du comment d'une filmographie à venir.
Le 26 janv. 2024