L’histoire prend place dans un monde steampunk où des chasseurs de dragons parcourent les cieux à bord de dirigeables à la recherche de dragons variés et juteux, car leur chaire si prisée est vendue gros. Mais ce n’est pas sans risque, et les chasseurs risquent leurs vies tout les jours.

Bon, voilà. Vous savez tout. Maintenant, la critique:

Niveau graphique, ce n’est pas moi qui vais me plaindre: avec ses jeux de crayons et de lumières,Taku Kuwabara nous tire dessus à coups bienvenus de cieux infinis et de dragons aussi différents les uns que les autres, sans jamais rater!

Niveau intrigue, c’est la que ça se corse... Le manga est rythmé par de nombreux éléments: les chasses aux dragons, la vie des personnages, les scènes de bouffe (on ne peut plus réussies) et des épisodes de drames/faits divers. Cette dernière catégorie est bien ce qui m’a fait baisse la note. Peut être ne suis-je pas le public ciblé, mais ces histoires pour gamins de 6 ans qui durent des chapitres (exemple: 30 pages pour découvrir qui avait dessiné un dessin d’une fille en train de dormir, c’est vous dire....) cassent le rythme de ce manga pourtant si prometteur et innovant.

Roman de cuisine et d’action, il est malheureusement taché de chapitres usés et enfantins. Dommage.

Activité sur Drifting Dragons