Activité sur The Limits of Control

Jim Jarmusch qui filme les errances de Issach de Bankolé sous fond de musique signée Boris. Pour moi c'est le genre d'alignement des astres que même des retours tiédasses ne peuvent retirer du titre de postulat de départ le plus alléchant de tous les temps. Vous imaginez donc bien quelle ne fut pas la stupeur que j'ai ressentie durant une bonne partie de ce film : celle d'assister à une mécanique tournant tristement à vide jusqu'à l'écœurement. J'étais même prêt à crier au scandale quand un truc...