J'en ai déjà parlé ici pour Numenor :

https://www.senscritique.com/serie/le_seigneur_des_anneaux_les_anneaux_de_pouvoir/critique/223742751

Toutefois quand j'ai vu le 8ème et dernier épisode de la saison 2, j'ai éclaté de rire. Je suis désolé mais c'est désormais impossible de prendre la série au sérieux, faut être honnête

A votre avis, Simon Tolkien il a touché combien pour être consultant sur cette merde ?

Ils passent leur temps à installer des trucs qui servent à rien :

- L'apparition de l'Ent femme

- La liaison Isildur/Estrid

- La famille de l'orque Glug

Tu retires tout ça, la série fonctionne quand même.

Et pour les connaisseurs de l'univers de Tolkien, ça chie aussi sur la chronologie :

1) Déjà le plus évident à mon sens, c'est que le magicien se révèle être Gandalf. En soi ça n'a déjà aucun sens, mais si c'est pas les deux mages bleus, alors l'autre magicien c'est qui ?

Ça peut être ni Saroumane ni Radagast, mais y'a que 5 magiciens connus je rappelle...

2) OK donc Anarion, il existe finalement ? Alors le personnage de Eärien il sert à quoi ?

3) La création de la Lorien

Là c'est un peu technique. Dans l'œuvre de Tolkien, la Lorien est un royaume elfique créé par un elfe assez anecdotique, au second âge. Galadriel a juste repris la fonction de protectrice par la suite

Et c'est là que la série fait de la merde. Dans la dernière scène, Galadriel décide d'utiliser les anneaux pour créer un sanctuaire elfique pour les survivants d'Eregion.

Donc la série est incohérente avec elle même puisque Elrond ne s'oppose plus à l'utilisation des anneaux elfiques

Et cette scène finale où Gil Galad tire son épée devant une foule d'elfes exaltés. Attendez c'est le seigneur des anneaux ou Vikings : Valhalla en fait ?

Le seul truc qui est intéressant finalement c'est la découverte du Balrog. Mais de l'autre on a Sauron qui pleure alors pourquoi les gens continuent de regarder ?

Je prends le pari que Jed Brophy sera au casting du film sur Gollum et d'autres projets SDA

Activité sur Contes et légendes inachevés, tome 1