Activité sur Le Samouraï du crépuscule

Bonsoir :) Je suis étonnée de ton texte bien que je te fasse confiance étant donné ta connaissance du cinéma de ce pays là (film dont je ne me souviens pas si ce n'est que je l'avais beaucoup apprécié, il m'étonne de lire les aspects "miteux" que tu décris et que je n'aurais su voir). Tout comme je m'étonne de ton 8 au "Zatoichi" de Kitano dont tu n'as malheureusement pas fait de critique, ce qui m'aurait éclairée sur cette bonne note.

@sawatie Bonsoir, merci pour ton appréciation. A quelques exceptions près (Sword of Desperation, le Zatoichi de Kitano), je suis toujours déçu lorsque je vois un film de sabre moderne. Le ton n'est plus le même, les moyens techniques ont évolué. Les goûts du public aussi ont évolué, il faut des films plus romancés, plus "grand public" aussi. La magie n'est plus là, tout simplement. Pendant des années les studios japonais n'ont tourné qu'autour de ce genre, avec des réalisateurs et des équipes te...

Zatoichi par exemple, est un excellent exemple de ce que savait être le cinéma populaire de divertissement. Kitano a réussi un beau pari en redonnant vie au personnage du masseur aveugle, 30 ans après l'avant-dernier épisode en 1973 (Shintarô Katsu avait rempilé pour un "dernier" épisode en 1989). Kitano a su remarquablement conserver l'esprit original de la série, burlesque, potache, incisive, et a même apporté ses qualités propres comme le travail sur le son et la musique (dans un registre trè...