Activité sur Dernier caprice
“Comparé au premier film en couleurs de OZU en 1958, l'image est pisseuse et sans aucun relief. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants. OZU refait le même film que les précédents.”
“Comparé au premier film en couleurs de OZU en 1958, l'image est pisseuse et sans aucun relief. La mise en scène et le jeu des acteurs sont inconsistants. OZU refait le même film que les précédents.”