Dommage qu’on ne puisse pas mettre de note négative
Si le gorafi écrivait des bouquins, celui-là en ferait probablement partie : il n’échappe à aucun cliché. Les femmes (qui “aiment les cancans”) y sont t réduites à des objets de décoration, les personnages sont plats et stéréotypés, l’intrigue et