Hybridité de l’autofiction
Preuve de l’hybridité du cinéma d’Akira Kurosawa, Yume se compose de huit vignettes juxtaposées dans une organisation qui, de prime abord, semble relever du hasard, à la façon d’un recueil de poèmes, sans lien aucun sinon celui du « rêve » effectué