L’abord de « 342 » est un peu moins immédiat que celui de son prédécesseur, les morceaux demandant un peu plus de temps pour être domptés. A noter également que l’album prend une teinte sans doute un brin moins metal - le groupe se rapprochant plus d’un Stolen Babies que d’un Carnival Coal en bout de course -, et qu’il laisse un champ d’expression plus large à la part sombre d’un groupe à la sensibilité à fleur de peau. M’enfin n’ayez crainte, le chroniqueur qui vous parle, bien que largement plus client du côté Bleuargl Pouêt Pouêt que des douceurs acidulées, n’arrive pas à départager ce « 342 » de « 2 Unlimited » au coup-de-cœuromètre.