Ici les pistes sont courtes, accompagnent un état d’esprit sans cesse en mouvement – à l’image du cœur qui bat –, un enjouement une tristesse un apprentissage que Danna et Simonsen parviennent à capter de façon juste par quelques instruments. Tout y est léger, ensoleillé, gorgé de vie et de douceur. Si l’on retiendra surtout le sifflement initial puisqu'il ouvre le long-métrage de manière mémorable, la partition mérite une considération pour la joie qu’elle transmet sans pour autant révolutionner quoi que ce soit ; telle n’est pas son ambition. (500) Days of Summer est un kaléidoscope de bonne humeur.