Bien que Matthew Sweet sorte des disques depuis la fin des années 80, je n’avais jamais entendu parler de cet artiste avant de tomber sur la somptueuse pochette de Catspaw au détour d’une chronique dans Rock & Folk. La lecture de ladite chronique m’a ensuite convaincu d’approcher pour voir ce que ce joli chat noir avait à me dire. Et ce que ce dernier m’a alors susurré à l’oreille m’a instantanément conquis et, depuis, j’écoute le nouvel album de l’auteur-compositeur-interprète américain en boucle.
Critique complète : http://litteratureetculture.com/matthew-sweet-catspaw-chronique.html