Hum... Jamais un album de Schulze n'aura convoqué autant de ses pairs dans mes oreilles. Ce ne peut être la simple convergence vers le son des synthés de ce milieu des années 80, plus "gras" que celui si limpide des années 70, et que donc je ne pourrais jamais préférer. Non, même dans les rythmiques, les mélodies, l'utilisation d'instruments comme le piano ou la guitare, voire la voix, on retrouve des réminiscences ici de Vangelis ou Jarre, là de TD, ailleurs de Oldfield. Toujours avec la patte Schulze, surtout dans Klaustrophony d'ailleurs.
L'album se veut plus accessible, et comporte des pistes courtes, fait assez inhabituel pour Schulze. Un bon moment, à défaut de l'adoration qu'à pu susciter chez moi TD avec Underwater Sunlight au même moment malgré ces fichus synthés 80's.