Presque un an après son premier album Feed The Tape, Orson Hentschel propose Electric Stutter, une production où les musiques électroniques se font sombres, froides, répétitives et anxiogènes. Pourtant, malgré l’aspect expérimental et étouffant qui se dégage de cet ensemble riche en émotions diverses, Electric Stutter se révèle être un album plutôt accessible et très nuancé qui pourra s’écouter comme la bande originale d’un film de genre, type fantastique ou horreur. Une vraie curiosité à mettre au crédit d’un label toujours aussi passionnant nommé Denovali.