Il est de bon ton chez les fans de Hammill de descendre In A Foreign Town et moi j'adore In A Foreign Town à l'exception des drums pas terrible. Let the people eat cake comme chante Hammill ! HAHA!
Je n'essaierai pas de convaincre quiconque en décortiquant l'album morceau par morceau.
Hammill a un côté Nadir sur cet album, il a un côté moqueur surtout vis à vis du dance et réussit avec des cuivres savamment montés à terrasser le dance par un meilleur dance.C'est un album entraînant où trônent Invisible Ink,/Auto /Vote Brand X /Sun City Nightlife. Tous dans la même dimension.
Sci-Finance , reprise de VDGG, ne souffre pas la comparaison. On s'ennuie de la puissance de VDGG mais bon c'est un autre angle, plus Nadir ! la version méritait quand même d'exister si ce ne serait que par curiosité.
Puis les perles comme le magnifique This Book, le théâtral The Play's The Thing et surtout le somptueux et triste Time To Burn écrit à la mort de Tony-Straton Smith (pdg de Charisma)
Cet album solo , c'est le cas de le dire seul Stuart apparaît au violon sur un morceau est certainement le plus politique de Hammill, le plus je me fous de mon image, je m'amuse, je plonge dans la piscine !
Hammill n'est jamais là où vous l'attendez, il se fout de tous et de tout . Il fait ce qu'il a à faire! C'est d'une insolence géniale comme In A Foreign Town !
Dans cette piscine Hammill nage sans scaphandre, sans bonbonne, palmes aux pieds et en apnée!