Privilégiant la scène au studio, les albums de Guerilla Poubelle sont des denrées rares : quatre seulement en douze ans. Rares mais denses – 20 titres sur Il faut repeindre le monde… en noir, leur première galette parue en 2005 ; 16 sur Punk = existentialisme, le second opus millésimé 2007 ; 14 sur Amor Fati, le troisième LP édité en 2013 ; et 13 sur La Nausée, le petit dernier qui déboule dans les bacs en cette fin d’année 2017. Si le groupe fer de lance de la scène punk-rock – voire alternative – a su se recentrer un minimum, passant de 20 à 13 titres au fil des disques, il n’a en revanche jamais fait aucune concession quant à son engagement et à la rugosité de sa musique. Et ce quatrième album est là pour nous prouver que de renonciation il ne sera jamais question !
Critique complète : http://www.litteratureetculture.com/guerilla-poubelle-la-nausee-chronique.html